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 "Mari et Femme" (Husband & Wives)

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Copetan
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Muezza
Miss Smith
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Miss Smith
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeMer 15 Fév 2006 - 19:36

Je viens de finir Mari et femme et j'ai pas pu le lacher avant de l'avoir fini!! Il est incontestablement le roi de suspens (un ptit smiley pour Wilkie?). Qu'est ce que j'ai pu angoissé en le lisant pale , il fait tout pour qu'on s'attache à ses héros. J'ai aussi empruté Armandale à la bibliothèque, j'ai laissé le meilleur pour la fin! Malheusement il n'y avait pas La Dame en blanc et La pierre de lune. Enfin c'est ptet une bonne chose, faut que je bosse aussi! Ah si j'échoue dans mes études ce sera la faute de tout ces auteurs anglais!! Evil or Very Mad
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Muezza
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeMer 15 Fév 2006 - 19:43

C'est vrai que "Mari et Femme" est pas mal dans son genre. On peut encore citer "Sans nom".
Mais pour moi, "La Dame en Blanc" les surpasse tous avec "Armadale" (mais ce dernier est un peu plus "difficile").

Contente de voir que l'effet Wilkie fonctionne en tout cas et que tu n'as pas envie de t'arrêter en si bon chemin ! "Mari et Femme" (Husband & Wives) 553975

Sinon, tu vas rire... j'ai acheté "Udolphe" à midi à la FNAC. Côté reliure, c'est du Folio classique (il vient de sortir, car il y a qulques mois je l'avais cherché et il n'existait qu'en 2 tomes grand format à prix prohibitif). Côté contenu... il va falloir attendre que je finisse ma liste actuelle ! lol!
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Miss Smith
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeMer 15 Fév 2006 - 19:53

lol! eh bien j'attend de savoir ce que tu en passera quand tu l'auras fini! Mais fait attention dans ta critique à ne pas blesser Catherine, qui sait son fantôme rode peut être sur ce forum...
houla je m'égare là! lol

Pour en revenir à Collins, si ne trouve toujours pas La dame en blanc à la bibliothèque je crois que je vais être obligé de l'acheter! Enfin c'est pas un problème pour moi, si je pouvais j'acheterais tout les livres que je trouve!! cheers
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Muezza
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeMer 15 Fév 2006 - 20:00

Citation :
si ne trouve toujours pas La dame en blanc à la bibliothèque je crois que je vais être obligé de l'acheter!
Ce sera un bon investissement lol! .
Mais surtout prends l'édition Phébus Libretto (chez Labyrinthe elle est écourtée de l'équivalent de 100 pages affraid j'ai environ 540 pages avec des caractères plus petits chez Phebus Libretto contre 440 chez Labyrinthe : j'ai vérfié à midi cyclops !!!)La traduction a l'air aussi bien meilleure
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Miss Smith
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeMer 15 Fév 2006 - 20:06

OK merci du conseil! "Mari et Femme" (Husband & Wives) 567661
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Miss Smith
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeMer 22 Fév 2006 - 17:26

J'ai été à la Fnac lundi et yavait que l'éditions Labyrinthe, mais grâce à ton conseil je ne me suis pas laissé avoir 8) et j'ai commandé l'édition Phebus Libretto!
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cat47
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeDim 26 Fév 2006 - 17:00

Miss Smith a écrit:
Il est incontestablement le roi de suspens (un ptit smiley pour Wilkie?).
C'est fait!
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Copetan
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeMar 24 Avr 2007 - 11:54

J'ai découvert Wilkie Collins quand quelqu'un sur le Net a mentionné The Moonstone comme étant le premier roman policier. Quand je me le suis procuré, je n'ai pu poser le livre que lorsque je l'ai fini, tellement il m'avait absorbé.
:wilk2:
La narration par plusieurs protagonistes est très bien maîtrisée, bien que le personnage de Ms Clack soit passablement ridicule.

Mon deuxième livre de Collins était The Woman in White et je l'ai lu en un week-end. On retrouve le même style qui accapare complètement le lecteur qui ne peut plus poser son livre avant de l'avoir fini.

Mais finalement, je pense que mon favori reste Man and Wife. A part le suspense, on trouve une touche d'émotion qui n'est pas présente dans ses autres oeuvres. Son personnage d'Anne Silvester est vraiment très attachant et on tombe sous son charme en même temps que Sir Patrick, le célibataire endurci. Je dois aussi avouer que la dernière phrase du livre m'a fait éclater de rire, mais pour savoir pourquoi, il faudra lire tout le livre...

En ce qui concerne les deux adaptations à la télévision, The Moonstone respecte assez le livre, mais elle était nettement moins prenante, probablement dû au fait que je connaissais déjà l'histoire. Malheureusement, c'est un défaut des livres de Collins; la deuxième lecture n'apporte jamais autant que la première, car le suspense disparaît.

Par contre, l'adaptation de The Woman in White est à mon avis complètement ratée. Les scénaristes n'ont pratiquement rien gardé de l'histoire originale et les acteurs, malgré tous leurs talents, n'ont pas pu sauvé le téléfilm.

Si vous voulez savoir plus sur la vie de Collins, je vous conseille vivement de visiter cet excellent site:

http://www.wilkiecollins.com/

On y trouve aussi tous ses écrits.


Dernière édition par le Dim 20 Mai 2007 - 15:51, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeMer 30 Sep 2009 - 21:59

Bonsoir à vous amis et amies de littérature victorienne et plus spécialement de Wilkie Collins

M'étant remis récemment au goût de la lecture(la faute en incombant à mon premier Jane Austen lu pendant ces vacances en bord de plage d'Agadir), je me suis tout naturellement tourné vers Wilkie Collins pour un digne retour au plaisir de la lecture. Que dire ma foi, si ce n'est que le plaisir est toujours autant intact pour un vieux briscard de ma trempe, fan de Wilkie Collins depuis les années 90, du temps de la bonne vieille époque des éditions Néo, lesquelles ont eu, à mon humble connaissance, le mérite d'avoir exhumé du tombeau de l'oubli un excellent auteur victorien, passé maître dans l'art du storytelling.

Mérite qui ensuite est passé en digne successeur sous l'excellente coupe des Editions Phebus qui ont fait un fantastique travail pour rééditer les œuvres de Wilkie Collins et remettre ce dernier sur le grand piédestal des auteurs victoriens qui comptent.

Après avoir lu Mari et Femme au sortir de sa publication il y a de cela bien un lustre, je me suis donc attelé à une seconde lecture( j'en connaissais le sujet ainsi que la trame mais en avait oublié le dénouement) et cinq bonnes années après, je ne me suis guère ennuyé pour me replonger dans l'univers de Wilkie Collins, là où duplicité et dualité s'acoquinent si bien en amants et maîtresses, là où faux fuyants et mensonges ne font qu'un, là où l'honneur de la bienséance obséquieuse si chère à la société victorienne en prend un sacré coup de remontoir...

Bref, pour tous ceux qui aiment que l'on remette en question la société et ses rouages prétendument bien huilés, vous aimerez la verve de Wilkie Collins tirant à boulets rouges sur l'institution du sacro-saint Mariage dans ce roman pavé de 650 pages que l'on lit aisément sans concession d'ennui ou de fatigue d'autant plus que ce diable de Wilkie Collins est un conteur par trop retors dans l'exécution des ses desseins les moins avoués, vous plonger au cœur de son histoire pour n'en vouloir émerger qu'à la toute fin, satisfait d'avoir enfin pu démêler l'écheveau machiavélique d'une intrigue fort bien menée...

Dès les premières pages, à la faveur de cette seconde lecture(oh pardon, devrais-je rectifier en disant deuxième, qui sait ?), j'ai été agréablement surpris de l'humour contenu en filigrane du récit, notamment celui qui a pour trait le caractère des hommes et femmes de l'époque. Caractère vu ici en ordre dispersé, qu'il s'agisse de l'homme ou de la femme séparément en solo ou conjointement lorsqu'il s'agit des relations hommes femmes, notamment ceux issus du carcan des épousailles et des fiançailles avec tout les devoirs et les droits que cela incombent. A mon goût, le récit était émaillé de tant de piques cocasses sur la gente féminine et masculine qu’il m’arrivait de rire tout seul comme un fou lors de mes lectures, celles-ci faites en majeure partie dans les transports en commun (c’est fou le nombre de gens qui lisent) avant et après le rude labeur du matin.

Deux siècles après sa parution, certains propos de l'auteur tenus dans la bouche de Sir Patrick, vieil esthète de la bonne école anglaise et formidable contempteur de la modernité victorienne sans pour autant paraître vieux jeu, touchent par leurs sens de l'à-propos( combien de fois me suis-je vu sourire à la lecture d'un passage en me disant in petto, tout à fait vrai, je partage cette opinion).

Les personnages principaux du roman sont Anne Silvester, orpheline recueillie par la meilleure amie de sa mère, Lady Lundie. Celle-là s’entiche d’un malotru de sportif de haut niveau à la cervelle pas très grise et pourvu d’un caractère bourru des bas-fonds de la bonne(sic)société anglaise, lui le fils d’un avocat devenu membre du Parlement et adoubé Lord, le mal-nommé a pour idendité Geoffrey Delamayn. Quel contraste ! Son frère Julius, quant à lui, marche sur les pas de son glorieux père et se pose en antithèse du puiné, ce qui a tout l’heure de plaire au père Delamayn qui verrait bien son galant rejeton aspirer à une éminente carrière politique. Geoffrey Delamayn n’est pas sans lorgner vers la bonne fortune en épousant un bon parti, ce qui le rendrait doublement plus riche qu’il ne l’est, puisqu’à la fortune de son épouse s’ajouterait un fort élégant revenu de son père pour peu que celui convolât bien entendu en bonnes noces avec une femme de réputation et de haut rang.

Blanche Lundie, fillle de Lady Lundie et meilleur amie d’Anne Silvester, laquelle est la préceptrice de celle-là. Elles sont presque deux sœurs l’une pour l’autre.
Arnold Brinkworth jeune homme bien disposé, fort galant, ayant le sens de l’honneur(un peu trop du reste), intelligent, gentleman, pourvues de bonnes manières, ayant embrassé une carrière maritime dans le commerce avant que la fortune ne vienne à son son secours, feue sa tante ayant trépassé en lui léguant une bonne petite fortune et domaine. A jeté son dévolu sur Blanche Lundie, qui n’en demandant pas tant de souscrire à la bonne sentimentalité des cœurs qui s’épanchent au doux son de l’amour, a fini par avoir le béguin pour lui. Alors que tout sépare Geoffrey et Arnold, ceux-ci sont très proches l’un de l’autre en amitié, amitié d’autant plus renforcée qu’Arnold est redevable envers Geoffrey pour ce que celui-ci l’a sauvé d’une noyade assurée lors d’une chute d’un canot. Tiens tiens, comme ce dernier fait ressemble étrangement à Pesca et Walter.

Sir Patrick Lundie, oncle de Blanche, célibataire endurci mais qui n’en connait pas moins les femmes comme sur le bout des ongles, affligé d’un pied-de-bot qui le fait plus ou moins claudiquer, amateur de tabac puisé dans sa canne tabatière. Ancien avocat et juriste en Ecosse, connaît les moindres rouages des lois, cultive le bons sens comme on cultive le nonsense chez Lewis Carroll, l’élément modérateur et médiateur des différents conflits qui surviennent tour à tour le long du récit escapade. Old school fashion but very admirable.

Lady Lundie, seconde épouse de Thomas Lundie, frère de Patrick donc, belle-mère de Blanche, l’archétype de la bourgeoise mal fagotée je suppose. Grande et forte, la trentaine passée, pourvu d’un caractère assez exécrable (c’est du moins mon opinion), elle n’a de cesse de s’offusquer des autres qui à l’entendre dire semble comploter en secret contre elle pour la simple et bonne raison que sous son propre toit, il se trame bien des manigances, nombre de complots ourdis qu’on a tout le l’heur de lui celer et tout le malheur de ne pas éventer aux quatre vents, et si ces derniers veuillent bien souffler dans sa direction, et pas davantage au-delà, elle s’en trouve que davantage à son avantage, toute guillerette.

Sir Hester Dethrigde, cuisinière de profession au domaine des Lundie, sourde de son état, qui semble cacher un passé bien miséreux(notez au passage que l’auteur parle ici d’un fait qui de nos jours est encore d’actualité, on est bien loin de la romance fleur bleue de l’époque victorienne). Personnage secondaire au tout début mais qui prend beaucoup d’importance vers la fin. Pour quelqu’un a qui découvert Wilkie Collins grâce à John Dickson Carr, expert en crimes impossibles, dans le Mort frappe à la porte, je ne peux qu’être troublé de cette coïncidence-là.

Mr Bishopriggs, personnage haut en couleur, vieillard de son état, employé touche-à-tout(surtout à la bouteille de vin, lol) à l’auberge de Craig Fernie, mû par l’instinct du profit et du bon vin, flanqué d’une roublardise mali(g)ne à nulle autre pareille. Une espèce de Capitaine Wragge de Sans nom, qui comme celui-ci cultive l’agriculture morale avec un art de haut talent.

Bref, au cours de ce récit, il est question pour Anne Silvester de se soustraire à l’arbitraire et de réclamer son dû, quoiqu’il puisse lui en coûter à l’avenir, dusse-t-elle pour cela se marier en catimini avec son jeune promis qui lui n’en a cure d’elle. Mais avec ce diable de Wilkie Collins, tel est pris qui croyait prendre, un quiproquo, un malentendu, une négligence, un appel au secours, une traitrise, mensonge et réticence de pair, et le tour est joué, vous vous faites balader superbement par un récit qui coule à flots à haute pression, et voilà que chacun des protagonistes se retrouvent dans des situations inimaginables et compromettantes à plus d’un titre. Compromettantes certes mais à tout le moins pour les mœurs de l’époque à la vieille époque où le sens de l’honneur avait encore cours et où les convenances de rang étaient assez prégnants dans l’imagerie victorienne, je dirais.

Enfin pour ce qui est des convenances victoriennes, pas tant que cela car comme disait si bien le comte Fosco sous la plume de Wilkie Collins « Je ne fais que dire tout haut ce que les autres pensent tout bas car dites-vous bien que lorsque le reste du monde entre de conserve en conspiration pour accepter le masque de la duplicité, moi, de mes mains hardies, je le déchire et l’arrache entièrement, dévoilant ainsi le squelette sous la chair replète…

Bref, j’en suis à mon troisième Collins depuis deux mois, Quand la nuit tombe, Mari et Femme et là en plein dans Poor Miss Finch.
Je reviendrai plus tard sur certaines critiques à émettre car aussi passionné par l’œuvre de Wilkie Collins, je n’en reste pas moins partial dès lors qu’il faut séparer le bon grain d’avec l’ivraie.
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Ju
Gone With The Books
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeMar 20 Juin 2017 - 12:01

J'ai terminé ce week-end Mari et Femme de Wilkie Collins et j'ai trouvé cette lecture délicieuse. J'aime lire de tels gros pavés ! I love you

Le suspense est là, mais c'est surtout la critique de la société qui est intéressante, ainsi que la foule de personnages intéressants (et plus ou moins attachants Razz)

Je n'en dirai pas plus pour ne pas gâcher l'histoire, je l'ai commencé sans savoir de quoi ça parlait vraiment (car le quatrième de couverture n'est pas très explicite) et j'ai été happée dans cette lecture fort sympathique !

Je conseille vivement ce roman study
J'ai enchaîné d'ailleurs directement avec Sans nom Wink
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Juliette2a
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeMar 20 Juin 2017 - 18:42

Merci pour ton avis, Ju ! I love you J'ai repéré ce roman depuis un certain temps déjà, mais il faut que je lise Armadale avant Razz
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Tatiana
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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitimeMer 21 Juin 2017 - 7:44


Je ne connaissais pas du tout ce roman et tu me donnes très envie de le découvrir ainsi que Sans nom, Ju. Rien de tel qu'un bon pavé en ce début d'été  Smile .
Wilkie Collins semble avoir une oeuvre très fournie, alors qu'on retient en général un ou deux titres de lui seulement.

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MessageSujet: Re: "Mari et Femme" (Husband & Wives)   "Mari et Femme" (Husband & Wives) Icon_minitime

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