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 Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990)

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Clelie
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MessageSujet: Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990)   Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Icon_minitimeJeu 22 Avr 2010 - 15:00

Téléfilm en deux épisodes de 1h30
Pour la chaîne américaine NBC.

Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Charly10

Avec Charles Dance (Erik – le fantôme), Teri Polo (Christine Daaé), Adam Storke (le comte de Chagny), Ian Richardson (Mr Cholet), Jean-Pierre Cassel (l’inspecteur Ledoux), Andréa Ferréol (la Carlotta)…

Résumé :

Christine Daaé est une jeune chanteuse inexpérimentée qui est engagée à l’Opéra Garnier grâce à une recommandation du comte de Chagny. La Carlotta, la Diva et épouse du nouveau directeur, refuse de lui faire intégrer les chœurs et la relègue à la lingerie. Christine apprend que le bâtiment est « hanté » par un obscur personnage que l’on surnomme « le fantôme » et qui donne depuis des années toutes les directives pour gérer l’opéra, et assassine froidement quiconque ose s’opposer à sa volonté, ou quiconque voulant découvrir son identité. La nouvelle direction n’entend cependant pas les choses de cette oreille, et décide d’y mettre rapidement bon ordre. Mais le fantôme, insaisissable, reste une énigme et tous sont obligés de se plier… Le fantôme entre-temps, a découvert la jeune Christine et lui propose de devenir son professeur de chant. Pleine d’innocence et de pureté, la jeune femme, fascinée, accepte. L’énigmatique personnage ne tarde pas à tomber éperdument amoureux de Christine, qui lui voue, quant à elle, une admiration sans bornes. Du jour au lendemain, et grâce aux bons conseils de son « maestro » , Christine est choisie comme remplaçante de la Carlotta pour interpréter Margueritte dans Faust de Gounod. Pour Christine, c’est enfin l’occasion d’une reconnaissance, mais c’est sans compter la jalousie et les machinations de la Carlotta…

Mon avis :

J’ai appris l’existence de ce téléfilm complètement par hasard, et après bien des mésaventures lors de la commande du dvd, j’ai enfin visionné ce weekend cette version, malmenant quelque peu l’intrigue du roman original, mais n’en demeurant pas moins fascinante.
Je ne m’attendais pas du tout à trouver une histoire si prenante, si triste, et si belle. Beaucoup de choses m’avaient déplu dans le roman de Gaston Leroux, tandis que dans la comédie musicale, l’histoire était entièrement remaniée (parfois d’une façon assez heureuse) pour paraître beaucoup plus flamboyante et baroque. Ici, on est plongé dans une ambiance plutôt lugubre et profondément triste. Le fantôme apparaît tout d’abord comme un personnage manipulateur, glacial. Le jour où Christine arrive à l’opéra, son cœur s’ouvre enfin, et son âme alors lugubre s’illumine en entendant la voix de la jeune chanteuse. Je me souviens notamment d’un dialogue entre le fantôme et Christine :

« Where do you live, maestro ? »
« When you sing, I live in Heaven. If you not, I am down below. »

Les deux personnages vouent l’un pour l’autre une admiration réciproque qui se transforme immédiatement en un lien indéfectible, presque surnaturel. Ici, pas de fascination ambiguë, pas de jalousie violente, tout n’est que douceur et sombre tristesse. Quand le comte de Chagny entre dans la vie de Christine, le fantôme, jaloux, voit Christine s’éloigner de lui, en souffrant en silence. Il n’y a donc aucune haine mortelle, car la jeune femme aime le fantôme, malgré son attachement à Chagny…Erik (car ici, le fantôme a un nom) est à l’occasion un assassin, un être solitaire et lugubre, mais son génie musical, sa sensibilité, sa tendresse, sont les sentiments qui se sont imposés dans le cœur de Christine, qui choisit, de son plein gré, de rester à ses côtés. Le fantôme est un personnage protecteur et tendre, qui n’est pas simplement animé d’une folie destructrice. Il aime Christine d’une façon exclusive, mais pas égoïste. Toutes ces nuances font de cette adaptation certainement l’une des meilleure qui ait jamais été tournée. Le tournage sur les lieux même de l’intrigue renforce encore la beauté et la somptuosité des plans, même si les images restent la plupart du temps assez sombres. La qualité de l’interprétation est indéniable. L’excellent Charles Dance, brillant comédien britannique de la Royal Shakespeare Company, derrière un masque de cire qu’on ne le voit jamais ôter (sauf lors de quelques rares plans de dos…), offre un fantôme charismatique, triste, torturé par sa difformité et par l’amour impossible et unique qu’il voue à Christine. Teri Polo, d’une beauté diaphane, est littéralement parfaite pour incarner la jeune chanteuse animée d’une tendresse et d’un amour innocent pour le fantôme, partagée entre l’admiration qu’elle voue à son maestro et son attachement à son amour d’enfance, le frivole comte de Chagny. Bon nombre de scènes m’ont touchée, bouleversée, par les dialogues, les sentiments présents dans chaque regard, dans chaque geste. La scène de la fin, sur le duo final du Faust de Gounod m’a fait verser des larmes...


Dernière édition par Clelie le Jeu 22 Avr 2010 - 17:31, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990)   Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Icon_minitimeJeu 22 Avr 2010 - 15:06

Avis glânés sur le topic général du fantôme... :

Artemis a écrit:
J'ai récemment vu celui avec Charles Dance (sur YouTube donc qualité pas terrible ... Je n'ai pas pu résister, ça faisait trop longtemps que je voulais voir cette version !!! Mais j'ai prévu de m'acheter le DVD dès que possible pour le revoir dans de meilleures conditions) et si j'ai beaucoup aimé, quelques éléments m'ont étonnés, entre autres :

Spoiler:

Mais d'autres visionnages s'imposent. Je pense que j'ai trop dans la tête la version de Lloyd Webber, et le livre (quoi que quelques couches de A. Lloyd Webber soient passées sur les plusieurs couches existantes de Gaston Leroux ! ) ... Je suis quasi sûre que si je relis le bouquin et que je revois 2 ou 3 fois cette version avec Charles Dance, je vais l'apprécier de plus en plus ! (ça m'a fait le même coup avec S&S 08 ... j'étais très sévère quand je l'ai vu pour la 1e fois, parce que j'avais en tête celle de Ang Lee, et plus le temps passe, plus j'aime cette version BBC, qui se met à exister pour elle-même dans mon imaginaire )
Mais pour le moment, l'autre version reste en n°1 dans mon coeur, peut être par son côté plus grand spectacle, plus brillant. En même temps, ce que j'ai aimé dans la version de 1990 et qui la différencie complètement de la comédie musicale (enfin ce n'est qu'un avis perso ), c'est le traitement des personnages : je trouve le Phantom beaucoup plus "humain", les situations plus "réalistes". D'ailleurs, dans la version 1990, les gens qui fréquentent le Phantom "intimement" (je ne me souviens plus des noms et je ne veux pas faire de spoilers) l'appellent par son prénom, alors que dans la comédie musicale, je ne crois pas que "Erik" soit mentionné.
Maintenant il faut que je vois la version de 1925 (d'ailleurs, mon édition du roman de Gaston Leroux est la même que celle postée quelques pages plus haut, avec l'image de cette version, Christine dans les bras du Phantom)

Cat47 a écrit:
Coucou, les phantom addicts. Permettez-moi de m'insinuer dans votre discussion. Je ne sais pas si c'est l'arrivée d'April ou les smileys postés par Clélie, mais voilà, je me suis enfin décidé à regarder mon dvd de la version 1990. Tout d'abord, petit topo sur mon parcours POTO, bien cours il est vrai. Je n'ai jamais lu le livre, j'ai vu étant petite un film ou un téléfilm inspiré du roman et qui m'a marquée (impossible de me rappeler quelle version ) et, oserai-je l'avouer, j'ai détesté la comédie musicale d'Andrew Lloyd Weber (seul concert de ma vie où je suis partie à l'entracte, n'ayant plus le courage de garder les yeux ouverts et de soutenir le poids de la tête de mon mari qui était lui profondément endormi). J'en écoute pourtant maintenant volontiers quelques extraits choisis, mais juste parce que c'est chanté par Sarah Brightman qui est une de mes chanteuses préférées. Et pour le film avec Gerry, je vais bien finir par le regarder un jour mais je n'ai pas encore réussi à surmonter ma méfiance et je n'ai lu vos délires qu'en diagonale. Voilà, heureusement que je suis cachée derrière mon écran, sinon les tomates saliraient mon joli t-shirt blanc.

Donc c'est sur la pointe des pieds que je viens vous faire part de mes impressions mais je me sens tout de suite plus à l'aise parce que j'ai beaucoup aimé. J'ai trouvé à ce film plein d'imperfections mais je suis tout de même tombée sous le charme. Alors je commence par les faiblesses: une réalisation peu inspirée, limite maladroite, parfois quelques longueurs, des flash-backs un peu longuets, des accents français qui dérangent sur la durée et peut-être quelques excès dans le jeu d'Andrea Ferreol mais après tout, son personnage est sensé être excessif.

J'ai malgré tout passé un excellent moment en compagnie de ce fantôme incroyablement charismatique et humain, sa détresse m'a vraiment touchée. Je suis tombée sous son charme. Je ne suis pas étonnée de cette performance de la part de l'excellent Charles Dance. Il exprime le désespoir d'Erik avec une telle intensité, difficile de ne pas être remuée. Mais que dire alors de Teri Polo, sa Christine est magique. Tant de douceur, tant de lumière, une merveilleuse prestation. Mais pourquoi donc cette actrice n'est-elle pas plus connue Leurs scènes sont un vrai régal. Mais j'ai aimé en fait toutes les scènes où l'on retrouve Christine, celle de la fête où son don est dévoilé, celles avec Philippe aussi, bref j'ai été charmée par son jeu.

Si je comprends bien, tout ce qui concerne Carrière et son passé n'est pas tiré du livre. Je trouve pourtant que c'est très bien trouvé. Je ne sais pas quel passé Leroux et les autres versions donnent au fantôme mais j'aime bien l'option choisie, qui donne en plus lieu à quelques scènes superbes entre Lancaster et Dance. Miam.

Le fait d'avoir filmé au palais Garnier est un vrai plus, de même que les extraits d'opéra choisis. J'ai beaucoup aimé les costumes également, les masques d'Erik et la plupart des robes de Christine. Les coiffures de la Carlotta étaient géniales de ridicule.

Voili, voilou, je crois que j'arrive au bout. Bon, et bien tout ça me donne envie de lire le livre, même si je sais que l'intrigue est différente. et ça me donne également envie de voir les films de Charles Dance que je ne connais pas encore, un petit Rebecca, par exemple, ferait bien l'affaire.

Lady Clare a écrit:
Je viens de voir l'excellente adaptation du Fantôme de l'Opéra version 1990, grâce à ma chère Clélie.
Il y a beaucoup de choses à dire, en même temps beaucoup de choses ont déjà été dites sur ce topic, je ne vais donc pas être très originale...
Tout d'abord, je dois dire que j'ai été très surprise des libertés prises par rapport au livre (j'étais prévenue, mais quand même). Avec la version de J. Schumacher, on sait que c'est une adaptation de la comédie musicale, donc on est moins étonnés! Sinon, le nom du réalisateur m'a interpellée aussi, Tony Richardson, metteur en scène du génial Tom Jones avec Albert Finney, un de mes films préférés.
Voir les lieux mêmes de l'Opéra de Paris est très plaisant, même si à un moment il m'a bien semblé reconnaître le foyer de la Comédie française (et même les stores rouges des Galeries Lafayette en arrière-plan).
Le personnage d'Erik est fascinant. L'interprétation de Charles Dance est très émouvante. Il est toujours digne, tour à tour cruel, tourmenté, passionné, violent, doux...sublime. Je l'adore. De même, sa série de masques m'a beaucoup impressionnée et j'ai aimé qu'on ne voit jamais son visage. Sa relation avec Christine est ambiguë, j'aime leurs scènes en commun, où elle l'appelle Maestro, j'aurai aimé voir plus de leçons de musique entre eux.
Quelques détails m'ont gênée dans la vie personnelle d'Erik, notamment le fait que dans les flash-backs,
Spoiler:


Mes deux scènes préférées sont celles du pique-nique, j'ai vraiment eu foi en Christine, mais elle
Spoiler:

et la scène où ils chantent le Faust, j'en avais les larmes aux yeux..
Mon avis sur Christine ne va pas s'améliorer puisque encore une fois,

Spoiler:

J'ai eu quelques flashs aussi, la scène où Christine est chassée avec son père fait écho à Cosette et Jean Valjean, la scène où Christine rêve du Poto fait penser à La belle et la bête de Cocteau...
Les seconds rôles sont assez efficaces, notamment Carlotta , énervante et pathétique à souhait... Le vicomte, , la coupe de cheveux qui tue!!! désolée, mais c'est tout ce que je retiens de lui...
En conclusion, une excellente adaptation, à voir ne serait-ce que pour l'interprétation magnifique et sensible de Charles Dance.
Merci Clélie


Rolidiffy a écrit:
J’ai finalement lu tous les posts et je me suis bien amusée. Les Walls et sigs de Clélie sont superbes, tout spécialement ceux de la version 1990 qui sont très rares en fait !! Je n'en ai pas trouvé d’autres ! et je me suis dépêchée des les ajouter à ma collection.

Ce qui m’a frappée dans cette version 1990 est que le fantôme joue avec ses masques. Il porte des masques différents selon les occasions (le masque blanc, puis un masque doré, puis argenté, puis noir si me se souviens). Une fois, il porte le masque de Pierrot avec des larmes et tout d’un coup il l’enlève et là j’ai eu un haut le cœur car je croyais que j'allais apercevoir son visage hideux mais ... Il portait son masque blanc en-dessous – scène absolument géniale.

A aucun moment, on ne voit son visage seul Christine le regarde avec le dos tourné et c’est fascinant car on s’imaginer les pires horreurs.

La scène vers la fin où Carrère (B. Lancaster) et Erik se confient enfin est très triste et douce-amère - que d'années perdues.

Version 2004, j’ai regardé la vidéo sur « Learn to be lonely », donc la scène qui n’est pas incluse dans le film. Elle est très belle mais n’ajoute rien de particulier à part que la chemise ouverte d’Erik est très attractive… Je pense que cette scène se situe après la scène du toit et avant le bal. Le fantôme est dévasté que Christine tombe amoureuse de Raoul qui n'est pas digne de son talent et de son amour et décide donc de la séduire.

J'aurais choisi le fantôme, lorsqu'un homme vous fait de telles déclarations comment ne pas le suivre. Il est vrai qu'à l'époque, la chirurgie esthétique n'existait pas !


April a écrit:
Je me joins à Clelie pour te conseiller la version du "Fantôme de l'opéra" avec Charles Dance. Sublime version où l'on en sait plus au sujet de la vie du fantôme.

Il y a des scène splendides, dont un magnifique duo... Je ne t'en dis pas plus, je te laisse découvrir le film (on ne le trouve pour pas très cher sur Amazon, voir les infos de Clelie).

A mon avis, cette version est l'une des meilleures de l'histoire de Gaston Leroux, grâce notamment à l'excellent jeu des acteurs, surtout de celui de Charles Dance.

Bon, c'est une "phan" qui te dit cela, mais la première fois que j'ai vu cette version, c'était il y a une dizaine d'année, je ne connaissais alors pas vraiment l'histoire, mais le film m'avait bien marquée... Pour preuve, je me rappelais encore des scènes principales quand je l'ai revu pour la première fois depuis 10 ans au début de cette année.
---
Ah ha, je vois que le débat est lancé au sujet de la personnalité d'Erik.

Moi aussi, chaque fois que je regarde la fin de la version avec Charles Dance, leur magnifique duo et lorsqu'il meure, eh bien snif, mes yeux ne restent pas secs.

Effectivement, dans cette version, il est adorable, prévenant, gentil, incapable de lui faire le moindre mal. Bref, c'est un amour. C'est juste dommage qu'il pète un peu les plombs à un moment et l'enferme dans une cage.

Dans la version de Webber, il est un poil possessif, menteur, tueur... mais alors pourquoi les phans (moi en tout cas) ont-elles une irresistible envie de monter sur scène consoler Erik alors qu'il se fait jeter (pour la xème fois) et/ou en poussant un "pourwââââââ...".

April (bis) a écrit:
Moi aussi j'avais vu la version avec Charles Dance il y a quelques années sur TF1, mais c'était il y a 10 ans ou plus.

Je crois me souvenir que Clelie ou une autre phan de ce forum avait mis des liens de Youtube au sujet de cette version.

Sinon, tu peux commander le film sur Amazon.com, sur le lien ci-dessous (c'est une édition koréenne, mais le DVD est "toutes zones" et le film est en anglais) :

http://www.amazon.com/Phantom-Opera-1990-TV-Mini/dp/B000AIR1CC/ref=sr_1_7/103-3563981-1622202?ie=UTF8&s=dvd&qid=1184686313&sr=1-7

Il existe le DVD zone 1 en anglais sur Amazon.fr, mais il est vendu dans les € 80.-- !!! :

http://www.amazon.fr/Phantom-Opera-TV-Miniseries/dp/630560939X/ref=sr_1_19/402-8911400-0172111?ie=UTF8&s=dvd&qid=1184686452&sr=8-19

Sinon, tu peux trouver la version française sur le site Priceminister.com, mais en VHS, et la qualité et le son ne seront pas celle d'un DVD (la mienne, ça va, mais je dois mettre le son assez fort pour entendre. Je l'ai aussi acheté chez Priceminister) :

http://www.priceminister.com/offer/buy/1443295/Le-Fantome-De-L-opera-VHS.html

Voilà, voilà, j'espère que ces infos te seront utiles.

Clelie a écrit:

Voici le 1er lien youtube de la minisérie :

https://www.youtube.com/watch?v=endVuoQu0iU&mode=related&search=

Suivre ensuite toutes les vidéos à droite (numérotées sur 24) postées par takowinner.

Un bon conseil à toutes celles que cette version tenterait : elle est littéralement excellente. Plusieurs avis ont été postés ici, mais il est vrai qu'il est difficile de s'y retrouver parmi tous nos délires...
Si vous voulez plus d'infos, des photos etc. vous pouvez aller sur mon site sur le lien suivant : http://litteranet.blogspot.com/2007/02/le-fantme-de-lopra-1990.html

Cette adaptation est très différente de celle qui nous fait toutes délirer. Elle est très sombre et très triste, mais Erik et Christine ont un véritable lien qui les unit, ils sont attachés l'un à l'autre très profondément, d'une manière presque surnaturelle, et totalement indéfectible. Les sentiments de Christine sont bien loin de la terreur qu'elle éprouve et de la fascination ambigüe dont il est question dans POTO 2004. Elle a une réelle tendresse pour Erik, un réelle affection, même si son coeur appartient à un autre (Philippe de Chagny et non Raoul ici). Le fantôme, lui, est réellement un personnage en souffrance, plus triste que fou, qui subit avec résignation sa difformité et de ce fait, son isolement. Cependant, il reste dangereux (même si on le voit jamais à l'oeuvre), puisque pour se défendre, il supprime les gêneurs... Il apparaît assez froid et distant, peut-être plus inquiétant et plus sombre que n'importe quel autre fantôme, mais une fois que Christine arrive à l'Opéra, son coeur change, et sa véritable nature nous apparaît. Erik a un coeur vide qui ne demande qu'à se remplir. C'est un être rejeté, mais terriblement fier et charismatique. Bref, c'est un être plein de constrates, d'ombre et de lumière.

Ce que j'ai beaucoup aimé c'est le fait que Christine ne le craint pas, sauf à un seul moment peut-être lorsqu'il l'a emmenée avec lui dans les souterrains... La colère d'Erik n'est pas dirigé contre Christine, mais plutôt contre lui-même. Il sait qu'il ne pourra jamais réellement être aimé à cause de sa difformité, et cela le rend fou. La jeune femme le fuit, pour mieux le retrouver ensuite et se rendre compte de la torture qu'elle lui fait subir involontairement.

Teri Polo est éblouissante, magnifique, sensible. C'est un être profondément bon. J'aime beaucoup son interprétation de Christine, sans réelle hésitation, et sans terreur...

Désolé pour ce post atrocement long, mais une fois que l'on me lance sur le sujet, je n'en finis pas !

Clelie (bis) a écrit:
@rolidiffy : merci pour cette belle analyse de la version de 1990... Peu de gens la connaisse et pourtant elle vaut vraiment le détour ! Ok, le fantôme n'est peut-être pas aussi affolant que celui de 2004, mais quelle classe ce Charles Dance ! Quand on voit ses grands yeux bleus plein de tristesse, on est complètement charmée.
Tu as raison, le jeu des masques est très intelligent et exprime bien son état d'esprit selon la scène : le masque noir, quand il est d'humeur vengeresse (ou tueuse au choix), le masque de Pierrot lorsqu'il est désespéré (au départ de Christine), le masque argenté de façon très brève lorsqu'il "remonte" dans l'opéra de jour, le masque enfin avec lequel on le voit le plus souvent, le visage qu'il se donne pour Christine et Gerard, les deux seules personnes qui l'ont approché.

Il est vrai que dans cette version, on ne voit jamais le véritable visage d'Erik (ici, on connaît son nom), mais cette scène du "pique-nique" dans les souterrains et vraiment très belle. La réaction de Christine démontre que même si elle s'était préparée à tout (par amour, dit-elle, elle pourrait le supporter).

Il faut reconnaître que dans ce téléfilm, Christine et Erik entretiennent une véritable relation d'amitié. Ils se connaissent bien, on les voit souvent ensemble, de manière à ce que l'on voit leurs sentiments évoluer l'un pour l'autre, alors que Christine continue à ignorer qui il est réellement.

Cette scène dans la salle de musique où elle lui met une main sur son épaule et qu'il la foudroye d'un regard glacial, c'est superbe !

April (ter) a écrit:

Suite aux magnifiques bannières postées par "copine de môaaaa" Clelie, en particulier celles sur Charles Dance, cela m'a donné envie de recevoir cette version du Poto.

Donc, vendredi soir, sur les coups de minuit (ben oui, il faut se mettre dans l'ambiance... Razz), je me suis installée confortablement sur mon canapé pour un séance de swoon intense. Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) 150390

Clelie, je suis entièrement d'accord avec toi. Cette version du Poto est la plus romantique. Charles Dance et Teri Polo sont magnifiques dans les rôles titres. Charles joue un Poto tendre, protecteur, avec une telle douceur dans le regard et Teri une superbe Christine.

Et comme j'ai déjà vu ce film, je l'ai regardé en VO cette fois-ci, histoire de profiter pleinement du superbe timbre de voix de Charles.

Voici quelques photos. Clelie, petit avertissement avant de continuer : éloigne le café, les chewing-gum, le clavier, etc. Et prend un stylo et une feuille de papier pour noter les crises cardiaques. Razz


Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Photo_65

J'adore cette photo. Nul besoin de paroles, tout est dans le regard.


Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Photo_66

Ici, le Vicomte Raoul de Chagny s'appelle le Comte Philippe de Chagny. Cette photo, c'est juste pour le plaisir de vous montrer à quel point le rival du Poto à l'air cruche.


Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Photo_67

Décidément, le noeux papillon XXL ne va pas à tout le monde. Le Comte à l'air encore plus idiot que d'habitude.


Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Photo_68

Petite leçon de chant, où le Poto dit à Christine qu'il n'a plus rien à lui enseigner. Elle est prête à chanter sur scène.


Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Photo_69

C'est marrant, mais sur le Poto, le noeux papillon XXL fait moins idiot. Tous les hommes ne sont pas égaux... Razz


Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Photo_70

Le Poto offre une robe à Christine pour qu'elle puisse se rendre à une soirée au "Bistrot", endroit où les chanteurs ont l'habitude de se rendre et faire des compétitions de chant. C'est également un excellent moyen de se faire remarquer.


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Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Photo_73

Clelie avait déjà posté la 1ère photo il y a quelques temps (mais pas tout à fait la même). Dans cette scène, le Poto aide Christine à se préparer pour la soirée.


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Le Poto, rêveur, devant le "Bistrot", en entendant sa protégée chanter. Christine remporte un énorme succès à cette soirée, au grand dam de Carlotta.


Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Photo_75

Ca, c'est spécialement pour Clelie, car je sais que cela lui fera plaisir... Razz Ouiiii, c'est mon côté "obscur de la force" qui ressort. Twisted Evil Cela m'arrive parfois. Dans cette scène, Christine part en ballade avec le Comte après le concours de chant.


Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Photo_76

Chrisitne finit par s’apercevoir de l’heure tardive et supplie le Comte de la ramener. Evidemment, lorsqu’elle arrive à l’opéra, dans la salle où le Poto lui donne des cours, celui qu’elle appelle "Maestro" est déjà parti. Elle s’asseoit au piano en appelant tristement son Maestro... Sad


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Christine revoit le Poto le lendemain, qui lui demande comment s’est passé la soirée. Elle lui ment en disant tout d’abord qu’elle était rentrée tard car Carlotta donnait une soirée. Mais elle ne tient pas une minute et lui avoue qu’en réalité, elle était avec le Comte. Elle court se jeter dans ses bras pour lui demander pardon et lui dit que sans lui, rien n’aurait été possible. Surpris, il n’ose faire le moindre geste.

PS : Erik, ma proposition de cours pratiques tient toujours… drunken


Fin de la première partie.

Eh oui, je n’ai regardé que la 1ère partie vendredi soir. Je n’avais pas le courage de regarder les 2 parties à la suite, ce qui fait quand même 3 heures de film.

Donc, je décide d’être raisonnable et d’aller me coucher, avant de m’endormir devant le Poto, ce qui pourrait hautement le vexer et d’avoir le punjab lasso qui le démange… Razz

Samedi matin, c’est la musique mis à fond par mes voisins que me réveille de bonne heure. Ben oui, 10h30, c’est tôt lorsqu’on s’est couché à passé 2 heures du matin. Même mon chat a été se réfugier au salon. Alors, j’ai enfouis ma tête dans l’oreiller et en disant furieuse à voix haute : "Mais punjabez-les !".

C'est sorti tout seul. D’habitude, j’aurais lâché un "Tais-toi" (ça, c’est la version polie). Est-ce que j’embête mes voisins en écoutant le CD du Poto à fond et en hurlant "Night time sharpens…", hein ? D’abord, "The music of the night", ça ne se hurle pas, ça se susurre…

C’est là que je me dis que si j’avais voulu vous faire rêver, j’aurais décrit cette scène comme suit :

"Réveillée par l’assourdissant bruit provenant de la pièce d’à côté, je voulu enfouir ma tête sous l’oreiller tout en marmonnant quelques "tendres mots" à l’égard de mes voisins lorsque je me rappelai tout à coup que je n’étais pas seule dans mon lit. Je tournai la tête et un sourire se dessina sur mes lèvres à la vue d’Erik allongé à mes côté, encore endormi. Son masque était l’unique vêtement qu’il portait. Embarassed Je n’avais donc pas rêvé cette nuit. J’eus toutes les peines du monde à ne pas me lever et sauter sur le lit en hurlant des "Yesssss", "Youpeeeeee" et autres "Wahouuuuu", en me remettant à croire au Père Noël. Je finis par me rapprocher de lui et le réveillai doucement en lui susurrant à l’oreille :

- Erik dear, ce bruit assourdissant m’incommode fortement. Me feriez-vous le plaisir (après m’en avoir donné Razz) d’aller punjaber cet indélicat voisin ?"


Bon, j‘arrête, car sinon, cela va m’empêcher de bosser le reste de la journée. Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) 131679

C’est donc samedi après-midi que j’ai regardé la 2ème partie du Poto avec Charles Dance.

Voici les photos :

Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Photo_79

Le Poto emmène Christine dans son domaine souterrain, après avoir fait tomber le chandelier dans la salle, pour se venger du directeur et de sa femme, Carlotta, qui a fait boire quelque chose à Christine, ce qui lui a fait perdre la voix alors que ce soir elle allait chanter pour la première fois sur scène le rôle de Margueritte dans "Faust".


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Sans commentaires… Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) 548707


Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Photo_81

Epuisée par les récents évènements, Christine s’endort rapidement en écoutant le Poto lui chanter une berceuse.

PS : J’ai super mal dormi cette nuit. La prochaine fois, je lui demanderai qu’il vienne aussi m’en chanter une…


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Le lendemain, le Poto emmène Christine pour un pique-nique dans la forêt dans son souterrain.


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Elle lui demande d’enlever son masque. Il refuse et la prie de ne plus lui demander cela. Elle insiste et il finit par céder.


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Bien entendu, à la vue de son visage (qu’en fait, on ne voit jamais), elle s’évanouit. Le Poto est anéanti. Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) 302347


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Le Poto, qui finit par péter un plomb, Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) 17735 Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) 639488 casse tout chez lui et admire le résultat ensuite. En fait, il doit se dire : "Mais quel crétin je suis, je vais devoir tout ranger".


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Christine se réveille et panique devant le Poto qui est furax. Elle veut s’enfuir. Il la rattrape et l’enferme dans une cage. Mais comme Clelie l’a dit précédemment, celle-ci ferme très mal et Christine n’a aucun mal à s’échapper. Poursuivie par le Poto, elle arrive quand même à lui échapper et à remonter à la surface, après une partie de "cache-cache".


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Le Poto, tout triste, avec la perruque que portait Christine dans "Faust".

Ohhh, choupinet veut un câlin pour se consoler ?


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Le Poto, malade, se laisse mourir. :asleep: L’ancien directeur, Gérard Charrière (excellent Burt Lancaster), vient lui rendre visite. Il lui avoue qu’il est son père (ce que le Poto savait déjà), mais sans le "Chhhhhh" avant, comme Dark Vador... Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) 55950


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L’adieu d’un père à son fils.


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Clelie, volontaire pour consoler Erik ?


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Le Poto ouvre les yeux en entendant la douce voix de Christine dans "Faust". C’est pour lui qu’elle chante, car elle a vu dans un rêve qu’il était mourrant.


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Le Poto trouve la force de se lever et de se rendre dans la loge no 5, où il chante avec Christine le fameux duo de la fin dans "Faust".


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La fin du Poto. Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) 302347 Christine a cette-fois ci- le courage d’enlever son masque et l’embrasse sur le front. Elle le regarde avec douceur et non avec horreur.


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On comprend que le Poto ait craqué pour ce visage d’ange.
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MessageSujet: Re: Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990)   Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Icon_minitimeVen 23 Avr 2010 - 11:24

Clelie, merci beaucoup pour ce travail fantastique de recherche. Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) 846997 Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) 553975

Tu as eu plus de chance que moi, j'ai voulu rechercher mon post avec les photos, mais sans succès. No
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MessageSujet: Re: Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990)   Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Icon_minitimeVen 23 Avr 2010 - 12:52

Merci, April Wink Ton avis avec le reportage photos était vraiment très beau, j'étais toute heureuse de l'avoir déniché cheers

J'avoue que cela m'a pris plusieurs heures à retrouver les avis constructifs que les phans avaient posté. Mais enfin, je pense que là, je dois avoir à peu près tout ce qui est nécessaire, sans avoir trop de répétitions.

Si d'aventure, quelqu'un ne trouverait pas son avis sur cette page, merci de me le signaler, je n'hésiterai pas à le poster ici. sunny
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MessageSujet: Ecrit avec les yeux toujours humides...   Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Icon_minitimeLun 8 Juil 2013 - 18:58

Merci beaucoup à Clélie pour ce topic qui m'a permis de visionner cette adaptation du Poto, que je viens à peine de finir (et j'ai encore une fois, pleuré... Non, non, ce n'est pas comme si je pleurais à chaque fois que je lis le bouquin ou que je regarde une de ses adaptations... Crying or Very sad  )
J'ai vraiment été surprise de trouver tant d'émotion et l'âme de l'histoire si bien conservée à travers une adaptation si peu précise.
Evidemment, ce téléfilm ne m'a pas fait avancer dans ma quête qui peut se résumer par:
POURQUOI?? Pourquoi Christine et Raoul (qui s'appelle Philippe ici) sont-ils aussi stupides?

Enfin, merci beaucoup (et je ne vois pas pour quelle raison cette adaptation est aussi peu connue Evil or Very Mad  )
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MessageSujet: Re: Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990)   Téléfilm - "Le fantôme de l'opéra" de Tony Richardson (1990) Icon_minitimeMar 9 Juil 2013 - 11:22

Contente que tu aies aimé cette adaptation CarpeDiem<3. cheers 

Elle fait partie de mes adaptations préférées du roman de Gaston Leroux. Elle est sublime, un vrai petit bijoux... drunken 
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