La bourse.

J'ouvre un topic à cette nouvelle publié en 1832, qui aborde -comme d'autres oeuvres de Balzac- le thème de l'art. Et contrairement à ce que je pensais, elle n'évoque pas la bourse au sens de la place financière, mais à une bourse au premier sens du terme (l'ancêtre du porte-monnaie)

babélio a écrit:

Hyppolite, un jeune peintre prometteur fait une chute dans son atelier et se réveille dans les bras d'une ravissante inconnue, sa voisine Adelaïde Leseigneur. Mais cette idylle naissante est rapidement contrariée par les soupçons qui pèsent sur cette jeune fille et sa mère.

Pourquoi un riche vieillard vient-il chaque soir chez elles perdre de l'argent au jeu ? Et que penser lorsque la bourse du jeune peintre disparaît après une partie de cartes disputées avec ses voisines.

Une nouvelle sympathique (disponible en format numérique) qui vient clore mon recueil des scènes de la vie privée. C'est peut-être celle que j'ai un peu moins aimée, je ne sais pas si je l'avais trouvée prévisible (pourtant les autres nouvelles de ce recueil le sont aussi) ou si j'étais moins bien disposée   en tout cas, c'est la plus courte du recueil et la seule qui se termine par un happy-end ... chez Balzac, je crois que c'est assez rare pour être mentionné

Merci de nous faire connaître cette nouvelle serendipity   .

Balzac s'est visiblement illustré dans ce genre à plusieurs reprises (de quoi le reposer de ses longs romans   ), peut-être que l'exercice a représenté un défi pour un romancier aussi prolifique.

Si j'ai l'occasion de la lire un jour, pourquoi pas, même si je préfère donner priorité à ses romans .

Merci pour ton avis, Serendipity ! Je ne l'ai pas lue non plus, mais je garde le titre au cas où ! Comme Tatiana, je suis pour l'instant plus intéressée par ses romans

Je vous comprends Tatiana et Juliette   pour moi, le confinement est une période propice à la lecture des nouvelles. J'ai envie de lire des classiques mais ma capacité à me concentrer sur un roman exigeant est amoindrie.
J'ajoute pour les curieuses que La Bourse se lit très vite (37 pages).