Je ne sais pas si ce que je fais est techniquement correct. C'est la première fois que je lance un sujet...
Voila, hier en zappant, je suis tombée sur une série britannique "Suburban Shooting" avec Anna Chancellor. C'est assez surprenant ! Je joins un résumé que j'ai trouvé.
Connaissez-vous cette série ?
Suburban shootout. Les taties flingueuses.
Une série anglaise qui milite pour le droit de la femme à se montrer aussi violente et teigneuse que l'homme.
Dans l’humour, les britanniques donnent souvent dans le radical, le décapant. Ce n’est pas « Suburban shootout » qui déroge à la règle de la comédie noire, teigneuse.
Quelque part entre Kill Bill et « Desperate housewives », « Suburban shootout » se déroule dans une charmante bourgeade de Grande-Bretagne, Stempington. Ce serait même le paradis sur, sur le secteur, ne régnaient pas deux gangs rivaux de femmes. Des coriaces qui en viennent aux mains, se mitraillent et règlent leurs comptes à l’explosif. D’un côté, l’impitoyable Camilla Diamond (Anna Chancellor). De l’autre, Barbara Du Prez (Felicity Montague). Entre les deux, la nouvelle venue Joyce Hazledine (Amelia Bullmore), épouse rangée d’un policier fraîchement muté dans la région. A peine a-t-elle déposé ses cartons qu’elle reçoit la visite des deux ennemies jurées, ex amies autrefois liées par un pacte visant à débarrasser la ville de tout criminel, y compris le plus insignifiant…
Avec ces drôles de dames qui administrent discrètement du viagra à leur compagnon, chaque premier mardi du mois se font des déjeûner botox et règlent les prix de la supérette locale, « Suburban shootout » n’est vraiment une série comédie comme les autres. Son style : l’humour vachard qui dépoussière en quelques scènes bien senties l’image de la ménagère britannique attachée aux traditions et au rituel du tea time.
D’une méchanceté parfois effarante, satirique au niveau le plus élevé de politiquement incorrect, « Suburban shootout » connaît un si bel impact en Grande-Bretagne que les Américains en produisent actuellement le remake, toujours sous forme de série.
Par Marc Toullec