Shakespeare's sonnets version pop selon Rufus Wainwright

Oyé, oyé, brave gens. Demain en deuxième partie de soirée, arte vous propose une représentation des sonnets de Shakespeare, interprétés par le Berliner ensemble.

Particularité toute particulière de cette version, elle est ici interprétée en musique mais pas version opéra, non non non.
Cette fois-ci le metteur en scène s'est attribué les faveurs d'un chanteur cher à mon coeur : Rufus Wainwright.

Citation :

Amour et haine, désir et dégoût, vie et mort, infini et finitude : les «Sonnets» de Shakespeare embrassent avec une grâce inimitable l'essence de l'existence humaine. Ici, il suffit de quelques vers pour projeter le spectateur dans son riche univers poétique. Les personnages sont incarnés par les comédiens du Berliner Ensemble, sous la direction de Robert Wilson, véritable thaumaturge de l'espace scénique, dans une palette de décors stylisés. Le metteur en scène s’est assuré la collaboration de Rufus Wainwright pour la musique, interprétée par un orchestre symphonique et un quatuor à cordes. Le compositeur précise qu'il s'est inspiré des styles les plus variés, de Kurt Weill à la pop des années 1980.

Et si vous voulez avoir un aperçu de Rufus (beuh de toute façon lui aussi il est gay, pfff c'est pô juste ), de l'orchestration de ces sonnets, voici un exemple avec le Sonnet 20 : A woman's face, interprété par Rufus lui même lors de la première du spectacle. Je précise pour les fans (euh au hasard... Pando ? ), que Rufus Wainwright ne fait pas partie des interprètes habituels, là c'était juste parce que c'était la première .