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 L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)

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nephtis
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeVen 9 Sep 2011 - 10:19

misshoneychurch a écrit:
J'ai ce film dans ma PAV depuis des mois. J'adore Mankiewicz, je ne sais pas ce qu'il me faut pour m'y mettre (pour changer). Rolling Eyes

Copine de moi ! cheers
J'adore ses films, ses dialogues brillants, l'intelligence de ses sujets, je suis une inconditionnelle bounce .
Il n'y pas longtemps j'ai revu All about Eve. Que j'aime ce film ! L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 846997 Que j'aime la brillante Bette Davis, avec ses réplques percutantes et ses regards plein de sous entendus..., que j'aime George Sanders dans le rôle du cynique critique Addison Dewitt, et Thelma Ritter, actrice second rôle, toujours mais avec un talent epoustouflant, elle donne la réplique à Bette Davis avec brio, les scenes avec elle deux sont du pur bonheur. et puis nous avons Marilyn, jolie blonde ambitieuse dans un tout premier rôle...

Quant à Africa queenil me semble que Bogart était déjà malade à l'époque et j'avais lu que pour lutter contre les maldies ( palu, malaria etc..) lui et J.Huston se faisaient aider par Doc Whisky ..... drunken
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Dulcie
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeMar 13 Mar 2012 - 13:26

J'ai vu Design for living de Lubitsch.
Une drôle de comédie où une femme n'arrive pas à choisir entre les deux hommes dont elle est amoureuse, ce qui fait qu'elle passe de l'un à l'autre. On y traite du thème de la jalousie bien sûr, et le trio Myriam Hopkins, Gary Cooper et Fredric March est excellent, avec plein de bonnes répliques. Smile

L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Design10

Par contre, déçue par Meet John Doe de Capra, toujours avec Gary Cooper en faux futur suicidé, mais aussi Barbara Stanwyck en journaliste On retrouve bien le côté humaniste et social propre au réalisateur, mais j'ai trouvé beaucoup de scènes pénibles. Neutral

L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 1826_m10

Et enfin The divorcee de Robert Leonard, avec Norma Shearer. Comme le titre l'indique, ça évoque le sujet du divorce et surtout de l'adultère, des différences selon qu'il s'agit d'hommes ou de femmes. Evidemment ça a pas mal vieilli (1930 tout juste) mais ça reste agréable à voir. Et puis j'aime bien l'actrice, je ne la connais pas bien, elle force trop son jeu parfois pour nos goûts actuels, mais elle est intriguante.

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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeVen 23 Mar 2012 - 16:27

christelle a écrit:


Jezebel l'Insoumise, avec Bette Davis, un drame de William Wyler.
Une jeune femme du Sud, de La Nouvelle-Orléans, se montre tellement insupportable que son fiancé l'abandonne. Mais une épidémie se déclenche ...(Wiki)
Le tout jeune Henry Fonda dans un film en N&B et la fantastique Bette Davis forment un couple étonnant dans ce film très comparable à Autant En Emporte Le Vent.

A ce que j'ai cru comprendre, Bette Davis a joué dans ce film (et a obtenu un Oscar à l'époque) parce qu'elle avait été refusée dans le rôle de Scarlett.
Le film est sorti avant Autant En Emporte Le Vent, mais possède la même trame: une jeune fille du Sud rebelle et têtue dans la reconquête d'un homme.
Sans atteindre la puissance lyrique de Autant En Emporte Le Vent, Bette Davis parvient dans ce film à imposer son personnage, si semblable à ce qu'elle était dans la vie. Il faut la voir entortiller sa jupe d'amazone autour de sa cravache, ou arborer une robe provocante au bal des débutantes(même le n&b permet d'imaginer le scandale d'une robe bustier rouge parmi les débutantes en blanc virginal et manches ballon).

J'ai vu ce film il y a un ans ou deux. J'ai beaucoup aimé. Il n'a pas la passion d'Autant en emporte le vent mais c'est un bon film. Mon seul problème c'est que je déteste le personnage. Personnellement j'aime bien Scarlett. Elle est peste mais pas méchante pas au point du point de l'héroine de Jezebel. Scarlett fait des chichi et des crasses à ses amies et sœurs car elle se croit amoureuse d'Ashley et veut l'avoir. Ici les héroine est éjà fiancé avec l'homme qu'elle l'aime. Elle perd a cause de son mauvais caractère et honnêtement je le comprend. Qui plus ai ça ne semble pas lui servir de leçon.
La fin est belle et l'histoire en soi et bien mais l'héroïne est à baffer.


Sinon hier j'ai vu Meet me in St Louis ou les chants du missourie en VF. Une comédie musical avec Judy Garland par Vincent Minnelli. Dans le style du Magicien d'oz.

Très bon film comme on savait en faire à l'époque. Je me suis régalée

L'histoire d'une famille composée d'un fils ainé, de quatre sœurs, des parents, du grand père et de la cuisinière habitant St Louis en 1903. Les deux ainées Rose et Esther (Judy Garland) ont la vingtaine et ne rêvent que de garçon. Les deux plus jeunes dont Toutti (Margaret O brien l'adèle de Jane eyre 1943 et Beth de Little women 1949) petite fille de 7 ans qui est à croqué. (Quoi que moi dans la vrai vie je l'enverrais chez le psy. Ses poupée souffre toute de maladie mortelle et elle les enterre les unes après les autres.)
Bref entre Rose et son prétendant qui vie à NY et qui tente de communiquer avec elle par téléphone (scène très drôle) Esther qui est tombé amoureuse du voisin qui vient d'emménager et qu'elle n'a pas encore rencontrer et les plus jeune qui ne cesse d'inventer de nouvelle blague on n'a pas le temps de s'ennuyer.

Le seul bémol est l'éloge qu'il y a pour la ville. On la compris La famille aime Saint Louis, Saint Louis est une ville magnifique Saint louis est la meilleure des villes. Le film s'arrête heureusement au moment ou cette amour passionné commence à devenir ennuyant. Malgré cela nous présente de bonne scène. Touti du haut de ses 7 ans qui n'a jamais vu une autre ville que Saint Louis et qui déclare le plus sérieusement du monde qu'elle est l'enfant le plus chanceuse du monde d'être née dans sa ville préféré.

Alors bien sure c'est une comédie musical dans la trempe du magicien d'oz. Les personnage ne sont si profond ni torturé le scénario n'a rien d'original ou de passionné et les musiques et les danses n'ont pas les chorégraphe ou les violons de Moulin Rouge. Si c'est ce que vous aimez passait votre route.
Meet me in St Louis n'est pas un film dramatique, passionné ou pittoresque mais un film qui fait ce que l'on attend en premier c'est a dire nous distraire et ça marche.

Alors si vous êtes tenté enfoncez vous dans votre fauteuil éteignez vos neurones vous n'en n'aurez pas besoin et appuyer sur play.

Voila quelques extraits.


Spoiler:
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeSam 12 Mai 2012 - 14:54

J'ai regardé hier L'extravagante Miss Pilgrim (The shocking Miss Pilgrim en VO) qui date de 1947, avec Betty Grable dans le rôle principal.

J'ai hésité à poster dans le topic des comédies musicales car je pense qu'on peut classer le film dans cette catégorie, mais les chansons sont vraiment sans intérêt alors je pense que ce film a plus sa place ici. Razz

L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Bevww9

C'est une comédie un peu datée mais intéressante tout de même, ne serait-ce que par son sujet :

Citation :
Au 19ème siècle, une jeune dactylo du nom de Miss Pilgrim est la première femme à être engagée dans une compagnie maritime de Boston. D'abord mal vue par les employés, elle finit par faire tourner les têtes.

(résumé succint d'Allociné ^^)

Je pensais que le film se focaliserait un peu plus sur l'intégration de Miss Pilgrim dans cette entreprise exclusivement masculine, mais en fait au bout d'une demie-heure on n'en parle quasiment plus ! Je n'ai pas trouvé le film très drôle (ça a vieilli) mais j'ai quand même souri à plusieurs reprises : notamment lors de la seule chanson vraiment sympa à mon goût, interprétée par les membres de la pension où loge Miss Pilgrim (une bande d'artistes un peu spéciaux Laughing ). J'ai apprécié aussi les passages avec les suffragettes.

Betty Grable est très bien dans ce rôle. Very Happy En revanche j'ai trouvé l'acteur masculin un peu... insipide. Laughing

Spoiler:
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serendipity
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeVen 10 Aoû 2012 - 22:27

Je viens de me visionner un très joli mélo d'Edmund Goulding, "La Vieille Fille", avec Bette Davies (comme c'est adapté d'une nouvelle d'Edith Wharton, j'ai posté un avis dans le topic ad hoc.

J'ai beaucoup aimé ce film Very Happy et je me demandais si certaines d'entre vous l'avaient vu Question
(je sais aussi que ce topic fourre-tout sert parfois de boîtes à idées à nombre d'entre nous pour se constituer une liste de films à visionner, donc je profite pour partager cette découverte).

J'ai lu sur la page wikipedia (en anglais) consacrée au film que l'ambiance de tournage entre les deux actrices était très tendue (et plutôt mesquine lol!), Miriam Hopkins étant jalouse de Bette Davies lol!
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Tatiana
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeSam 11 Aoû 2012 - 20:44


J'ai (enfin) vu Casablanca. Voilà des années que je souhaitais découvrir ce film célébrissime. Eh bien j'ai été conquise. D'abord, l'époque et le lieu de l'histoire sont idéaux parce que mystérieux et tragiques à la fois. Le Maroc, colonie française, pendant la Deuxième Guerre mondiale, où évoluent autorités françaises, gradés allemands et ceux qui ont désespérément besoin d'un permis de sortie pour se rendre aux Etats-Unis. Qui plus est, le bar de Rick où se retrouve tout ce petit monde créé une ambiance internationale intéressante.

Je savais qu'une histoire d'amour occupe une grande partie du film. Elle est très belle (mention spéciale à la fameuse scène à la fin entre Rick et Ilsa I love you ), mais ce qui m'a le plus ému est de voir baigner les deux héros dans ce contexte si difficile. Du côté des acteurs, Ingrid Bergman m'a beaucoup touchée, l'actrice comme son personnage. En revanche, je n'ai pas été tellement séduite par Humphrey Bogart - que je ne crois pas avoir vu dans un autre film. J'ai eu la sensation qu'il tend à réciter ses répliques sans y mettre beaucoup d'émotion. Cette impression tient peut-être au caractère taciturne et mystérieux du personnage, fort peu expressif. J'ai eu beaucoup de plaisir à retrouver Claude Rains (qui reste pour moi le prince Jean du Robin des Bois avec Errol Flynn !), qui plus est sous les traits d'un Français (amusant, parce que son élocution dans la version en VO comme d'ailleurs dans les autres films où je l'ai vu est on ne peut plus anglaise Laughing ) bien difficile à cerner. Je n'ai d'ailleurs toujours pas trop saisi s'il est pour le régime de Vichy ou pour la victoire de la Résistance, mais je crois surtout qu'il aime bien retourner sa veste selon la direction du vent.

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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeSam 11 Aoû 2012 - 23:12

La vieille fille est effectivement un bon mélodrame.
Dans un contexte moderne, avec une histoire à peu près semblable, le même réalisateur, Bette Davis et George Brent, tu peux voir aussi The great lie. Cette fois, Davis y "affronte" Mary Astor. Razz

Casablanca, il m'a fallu plusieurs visionnages pour l'apprécier totalement, j'aime beaucoup maintenant. Au sujet de Bogart, je ne sais pas trop, je l'ai toujours trouvé bon dans le rôle, c'est vrai qu'il n'est pas très expansif mais comme tu dis ça correspond au personnage. Mais dans l'ensemble, je crois que c'est un acteur assez sec et ironique, du genre "rentré mais capable d'exploser à la minute".
Ce que j'aime aussi dans le film, c'est qu'on trouve plusieurs acteurs français ou allemand alors exilé pour de vrai, ce qui fait que l'histoire du film et le réel contexte historique finissent par se rejoindre totalement.
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeDim 12 Aoû 2012 - 20:25


Dulcie a écrit:
Mais dans l'ensemble, je crois que c'est un acteur assez sec et ironique, du genre "rentré mais capable d'exploser à la minute".

C'est tout à fait ça. Il faudrait que le voie dans d'autres films pour mieux l'apprécier.

Citation :
Ce que j'aime aussi dans le film, c'est qu'on trouve plusieurs acteurs français ou allemand alors exilé pour de vrai, ce qui fait que l'histoire du film et le réel contexte historique finissent par se rejoindre totalement.

Intéressant ! Cela explique peut-être pourquoi le contexte historique est tellement réussi dans ce film, tellement réel, les acteurs comme leurs personnages étant ancrés dans une période très difficile.

Serendipity, La Vieille Fille me tente bien. Cela ne m'étonne pas du tout que les relations entre les deux actrices étaient tendues. Bette Davies était assez difficile à vivre. Dans les bonus du film La vie privée d'Elisabeth d'Angleterre, des acteurs ou membres de l'équipe de tournage (je ne sais plus) racontent que Bette Davies ne supportait pas Errol Flynn (qui avait aussi une sacrée personnalité et profitait pleinement de son statut de star adulée) et réciproquement. L'ambiance était très tendue. Le plus drôle, c'est que leurs deux personnages sont censés s'aimer passionnément Razz . Quoiqu'il en soit, ils ont tous les deux réussi à rendre leur histoire d'amour très crédible.

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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeMar 14 Aoû 2012 - 18:42

Aaaah, Meet Me in St Louis, j'adore ce film, The Trolley Song de Judy Garland, cette chanson est géniale! Smile

J'ai vu de mon côté Sunset Boulevard, de Billy Wilder. Grand film, très grand film, c'est dramatique, et il y a en même temps une ambiance noire et humoristique, mais cruelle.
Glora Swanson et William Holden sont absolument fabuleux.
Le résumé:
Norma Desmond, grande actrice du muet, vit recluse dans sa luxueuse villa de Berverly Hills en compagnie de Max von Meyerling, son majordome qui fut aussi son metteur en scène et mari. Joe Gillis, un scénariste sans le sou, pénètre par hasard dans la propriété et Norma lui propose de travailler au scénario du film qui marquera son retour à l'écran, Salomé. Joe accepte, s'installe chez elle, à la fois fasciné et effrayé par ses extravagances et son délire, et devient bientôt son amant. Quand son délire se transforme en paranoïa et qu'elle débarque au milieu des studios Paramount pour convaincre Cecil B. DeMille de tourner à nouveau avec elle, Gillis commence à prendre ses distances...

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Emily-de-Winter
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MessageSujet: l'âge d'or du cinéma américain   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeSam 1 Sep 2012 - 11:41

Comme on me l'a conseillé, je reposte mon avis de la comtesse aux pieds nus que j'ai vu avant-hier. J'ai vraiment beaucoup aimé ! Une histoire à la Cendrillon qui tourne mal, ça m'a bien conforté dans mon amour pour Ava Gardner, qu'elle splendide actrice ! Ah quand elle danse ! Et Humphrey Bogart est parfait !

Et hier j'ai vu le fameux Gilda avec Rita Hayworth ! Super film aussi, surtout pour les scènes dansées de Rita, comme Put the blame on Mame et Amado Mio, une actrice magnifique aussi ! Si ous avez un autre film a me conseiller absolument avec elle je suis preneuse, comme d'un film avec Fred Astaire par exemple, je crois qu'elle en a tourné plusieurs avec lui...
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeDim 7 Oct 2012 - 16:16

J'ai regardé cette semaine Chaînes conjugales de Mankiewicz (A letter to three wives) et j'ai beaucoup aimé même si je ne m'attendais pas à la tournure que prend le film.

L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 2z4gy04

Résumé Wiki :

Citation :
Trois amies partent en excursion, délaissant pour l'occasion leurs maris respectifs. Peu avant le départ, l'une d'elles reçoit une lettre d'une quatrième femme que toutes trois connaissent : la séductrice Addie Ross.

Celle-ci déclare avoir profité du départ des trois amies pour partir avec le mari de l'une d'elles, sans préciser lequel.

Durant l'excursion, chacune des trois femmes reverra successivement, aux cours de trois flashback différents, les différentes étapes de sa vie de couple et tentera de comprendre ce qui aurait pu décider son mari à fuir, tout en se demandant si c'est bien de lui qu'il s'agit ou non. Ceci permet à Mankiewicz une étude très critique et très drôle des mœurs américaines (voire universelles) à travers l'évocation du parcours de trois couples aux origines sociales fort différentes.

Ce qui m'a surprise c'est la structure du film : je pensais qu'il se focaliserait plus sur cette journée de soupçons et que la tension psychologique serait plus forte, alors qu'avec ces flash-backs le suspense passe au second plan et l'étude de moeurs au premier. Ceci dit j'ai vraiment apprécié cette chronique, parfois drôle, parfois amère. Les trois personnages de femmes sont très intéressants et superbement interprétés. Les personnages masculins ne sont pas en reste, j'ai particulièrement apprécié celui joué par Kirk Douglas. Enfin, il y a le personnage énigmatique d'Addie Ross, qui n'apparaîtra jamais, bien que ce soit elle qui raconte l'histoire. Même si je n'ai pas eu de véritable coup de coeur, j'ai trouvé ce film très virtuose L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 846997 et il m'a donné encore plus envie de progresser dans la filmographie de Mankiewicz (j'ai réservé All about Eve à la médiathèque bounce ).

Enfin le film m'a rappelé une envie de lecture : Paradis conjugal d'Alice Ferney, qui s'en inspire directement. Je vais essayer de l'emprunter rapidement, mais je suis HS là. L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 241957
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misshoneychurch
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeDim 7 Oct 2012 - 16:39

C'est un de mes films préférés. I love you Je le trouve hilarant et grave à la fois. Le livre de Ferney est sympa aussi, mais un peu bancal.
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clinchamps
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeDim 7 Oct 2012 - 18:32

Tu as très bon goût Esperluette !!! c'est un grand film et Mankiewicz un grand réalisateur !!! cheers cheers
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeMar 13 Nov 2012 - 15:36

J'ai vu l'autre jour Picnic avec William Holden et Kim Novak: l'histoire d'un homme pauvre qui vient rendre visite à son ami de fac, dont le père est l'homme le plus riche de la région, et qui doit épouser une jeune fille réputée comme la plus jolie de la ville Madge. Hal le héros arrive le jour où est prévu le pique-nique annuel qui sacre la Reine du jour.

Je m'attendais à aimer plus que ça quand même, je perds un peu mon âme de romantique mais j'ai eu du mal à croire au coup de foudre entre les deux protagonistes. Le film était quand même bien et j'ai beaucoup aimé certains personnages secondaires surtout la jeune soeur Millie et la voisine Mrs Potts. Par contre j'ai détesté le personnage de l'institutrice Mrs Sydney Evil or Very Mad
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serendipity
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeLun 10 Déc 2012 - 14:13

Je fais remonter ce topic pour signaler la diffusion, ce soir sur arte, de "L'Impossible Monsieur Bébé" (1938) cheers

et une petite anecdote tirée de Wiki pour mettre l'eau à la bouche Razz
wikipedia a écrit:

Both the leopard Baby and the leopard from the circus were played by the trained leopard Nissa. Nissa was watched over by its trainer Madame Olga Celeste, who was always standing by with a whip during shooting. At one point when Hepburn spun around and caused her skirt to abruptly twirl Nissa lunged at her but was subdued when Madame Celeste quickly cracked her whip. Hepburn also wore heavy perfume in order to keep Nissa calm. While Hepburn was unafraid of the leopard, Grant was terrified of Nissa and most scenes of the two interacting are done in close-ups with a stand-in
.
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeLun 10 Déc 2012 - 16:15

Merci pour l'anecdote serendipity Smile
J'aime beaucoup ce film I love you
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeLun 10 Déc 2012 - 16:19

Je peux pas regarder ce soir, pourtant j'ai très envie de le voir. No Je l'emprunterai à la médiathèque !
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Ju
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeLun 10 Déc 2012 - 16:21

Je te le conseille, il est super!! (enfin c'est le souvenir que j'en ai Razz)
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serendipity
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeLun 10 Déc 2012 - 17:04

Avis partagé Ju, dommage pour toi esperluette Sad
Mais en effet, tu devrais le trouver en DVD sans trop de difficultés Wink
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Juliette2a
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeVen 22 Mar 2013 - 19:12

J'ai vu plein plein de films ces derniers temps ! cheers

* Now Voyager, Une femme cherche son destin, avec Bette Davis et Paul Henreid, un énorme coup de coeur L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 150390 Une merveilleuse histoire d'amour sur une musique envoûtante L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 41810

* La Chevauchée fantastique, un grand classique avec John Wayne. J'ai beaucoup aimé ! Very Happy

* Ninotchka, avec Greta Garbo et Melvyn Douglas sunny Un film qui m'a beaucoup plu, très prenant ! cheers

* L'Ange Bleu, avec Marlène Dietrich, un autre grand classique..Mais c'est celui que j'ai le moins aimé parmi ces quatre films. Un beau film malgré tout I love you
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serendipity
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeLun 25 Mar 2013 - 18:20

Je ne suis pas fan non plus de "L'Ange bleu" à vrai dire Juliette Wink
J'ai beaucoup aimé "Ninotchka" et je note "Now Voyager" car j'aime bien Bette Davis Very Happy

En ce qui me concerne, j'ai visionné "Summertime" (Vacances à Venise) de David Lean avec Katherine Hepburn :

Citation :
Jane, alerte quadragénaire américaine, mais toujours célibataire, arrive à Venise pour y passer ses vacances. Le romantisme de la ville lui fait davantage ressentir le poids de sa solitude jusqu’à ce que l’amour mette sur son chemin un séduisant antiquaire vénitien. Mais il y a un hic, le bel italien est marié…

Un film très chouette, Venise y est magnifiquement filmée drunken
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Cassandre
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeLun 25 Mar 2013 - 19:40

Suite à votre lobbying, j’ai passé un week-end avec divers films empruntés à la médiathèque : Madame Miniver, Prisonniers du passé ; Goodbye, Mr. Chips, Qu'elle était verte ma vallée et Laura

Les trois premiers sont avec Greer Garson, actrice que je ne connaissais que pour l’avoir vu dans Orgueil et Préjugés. Je dois reconnaître qu’elle n’est pas la beauté « tape à l’œil » hollywoodienne, mais elle a une grande classe.

Le début de Madame Miniver, ne m’a pas accrochée, cette Angleterre représentant le calme avant la tempête est représentée comme paradisiaque. Et pour mieux le symboliser, on voit Mr et Mrs Miniver dépenser plus que ne leur permettent leurs revenus, tout cela fait terriblement cliché. Le reste du film présente des scènes simples mais fortes comme la lecture d’Alice pendant le bombardement, le concours floral etc. Malgré les dégâts matériels, les Anglais ne perdent jamais leur flegme et leur fameux humour so british. J’ai trouvé que ce film, sans être un chef d’œuvre, est une belle réussite.

Prisonniers du passé raconte l’histoire de Charles Rainier, devenu amnésique à la suite d'un bombardement pendant la guerre. Il refait sa vie avec Paula. Jusqu'au jour où Charles est renversé par une voiture… Ce film, joué par Ronald Colman et Greer Garson, m’était complètement inconnu. C’est, n’ayons pas peur de le dire, un pur mélo avec de grands sentiments élégants et nobles. Mais ce romantisme raffiné fait partie de l’époque et les interprétations sont magnifiques.

Goodbye Mr. Chips avec Robert Donat et Greer Garson est un film retraçant l’existence timide et solitaire de Mr. Chipping, professeur dans un collège anglais. Lors d'un voyage, il rencontre Katherine, l'épouse et grâce à son amour, il parvient à gagner le respect et l'affection de ses élèves… Un film très émouvant interprété par Robert Donat, qui jouait dans les 39 marches d’Hitchcock. Comme ce film retrace la vie de Mr Chips de 20 à 80 ans, cet acteur réussit l’interprétation du professeur à chaque âge de sa vie avec une justesse admirable. Les autres acteurs sont formidables aussi, en particulier la charmante Greer Garson. Film très émouvant et nostalgique

Qu'elle était verte ma vallée réalisé par John Ford, avec Maureen O'Hara, Walter Pidgeon, raconte l’histoire d’un petit village du Pays-de-Galles, dont la mine de charbon représente toute la prospérité de la région et où quasi tous les hommes travaillent. La joie et l'union règnent dans la famille Morgan. L’histoire est racontée par le dernier de la fratrie Huw Morgan, qui évoque les bonheurs et malheurs qui vont toucher sa famille : mariages, conflits familiaux, décès, départs, retrouvailles, grèves, fêtes, joies simples de la vie quotidienne... On voit aussi toute la difficulté pour Huw de sortir de ce milieu, l’école lui réserve un accueil des plus cruels.

John Ford nous offre cette superbe fresque familiale, aussi émouvante que drôle et passionnante. Certaines scènes sont absolument géniales. J’avais déjà beaucoup aimé le livre de Richard Llelewyn mais John Ford transcende l'histoire avec la musique, les chants des mineurs, l’image en noir et blanc et de formidables acteurs, tous parfaits, du père Donald Crisp à la très belle Maureen O’Hara, le petit Roddy McDowall et enfin le pasteur joué par Walter Pidgeon. Dans un petit rôle, j’ai reconnu Barry Fitzgerald, le petit Michaleen O’Flynn drunken de l’Homme tranquille. Bref, j’ai adoré ce film, qui évoque si bien les valeurs de l’époque, honnêteté, goût du travail, solidarité entre voisins, entre collègues, respect des aînés. Ce film m’a fait penser à mon cher grand père qui justement prônait ces valeurs et sans tomber dans la sensiblerie, John Ford nous enchante avec une histoire simple, des gens simples et c’est magnifique.

Laura, réalisé par Otto Preminger, avec Gene Tierney, Dana Andrews et Clifton Webb, est à la fois un film policier, romantique et une étude psychologique de caractères. Qui a bien pu tuer Laura, femme brillante à la beauté resplendissante? C’est ce que cherche à découvrir le lieutenant McPherson qui mène son enquête suivi des deux principaux suspects : le journaliste Waldo Lydecker qui a lancé la carrière de Laura dans la publicité, et l’héritier désargenté Shelby Carpenter, fiancé à la jeune femme. Sous le charme du portrait de la défunte, Mark McPherson ne tarde pas à compléter ce triangle amoureux... C’est une référence du film noir, la beauté de ce film est fascinante, l’actrice est magnifique, le mobilier de l'appartement de Laura sont somptueux. L’histoire est originale et contient un rebondissement important à la moitié du film. Un très grand chef d'œuvre, un film brillantissime Otto Preminger a aussi réalisé Rivière sans retour, un film parfait aussi. J'ai reconnu dans le rôle de la tante de Laura Mrs Danvers affraid
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serendipity
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeMar 26 Mar 2013 - 21:33

Cassandre, que d'idées de films tu nous donnes en un seul post cheers Je note ces titres avec Greer Garson qui me paraissent sympa Wink

Pour Laura, tu peux trouver des discussions dans le topic de Gene Tierney Wink
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Cassandre
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MessageSujet: Re: L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50)   L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 Icon_minitimeMer 27 Mar 2013 - 7:04


Merci Serenity j'y cours bounce
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Juliette2a
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Merci pour vos avis les filles !! cheers Cassandre, j'avais envie de lire un avis sur Qu'elle était verte ma vallée ! sunny

De mon côté, j'ai continué ma période Age d'or du cinéma avec Sabrina, avec Audrey drunken et Humphrey Bogart, et j'ai adoré ! L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 41810
L'histoire était vraiment originale mais tellement passionnante ! drunken Quel plaisir de croiser Audrey et Humphrey dans un même film ! cheers Bref, l'un des mes Hepburn préférés L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 41810

Autre film que j'ai regardé : La Splendeur des Amberson, d'Orson Welles, film que je voulais voir depuis longtemps ! L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 64968 J'ai aussi apprécié l'histoires, les personnages ; les acteurs, parmi eux Joseph Cotten (petit clin d'oeil à Cassandre L'âge d'or du cinéma américain ( Années 30, 40, 50) - Page 9 64968 ) sont vraiment doués. Toutefois, j'ai préféré Sabrina sunny
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