Que dire? que dire? Voila deux semaines que j'ai fini cette partie et la dernière aussi. Jamais je n'ai eu autant de difficultés à commenter un roman
Je me suis mise donc à "procrastiner" (mot cher à
clinchamps qui trouve un écho particulier chez moi et de plus en plus
)
Je ne voulais pas vous re-raconter le livre, d'autant plus que certains ont déjà beaucoup de mal avec une lecture!
Je ne nie pas qu'il a réussi à capter un peu mon attention à partir de cette partie mais il manquait quelque chose. La description des paysages au
Yemen m'a beaucoup intéressée car il y a quelques années, j'ai vu une exposition à l'Institut du Monde Arabe et elle était magnifique! D'ailleurs elle a eu tant de succès qu'elle a été prolongée je crois.
Le pays de la reine de Saba ne laisse pas indifférent. Le lien entre le livre et cette reine est le miracle. Elle a réussi l'exploit, d'après la légende et non l'Histoire, de construire un barrage techniquement très en avance par rapport à son époque et voila que ce cher
Fred, nous parle également d'eau et pourquoi pas de poisson aussi. L'un n'empêche pas l'autre, n'est-ce pas? Je dirais même que l'un ne peut pas vivre sans l'autre mais pas vice versa!
Cette histoire est-elle un pur hasard ou l'auteur s'est il inspiré de la légende (Cela dit, les archéologues ont pu parait-il trouver sa trace, contrairement au roi Salomon qui a le don d’ubiquité et d’invisibilité aussi.) J'aurai droit probablement à l'intervention de notre chère
Selenh, concernant ce chapitre
Pour revenir au livre, et désolée de m'être égarée de la sorte, je ne peux m'empêcher d'ouvrir des parenthèses. Je suis la reine des parenthèses d'après mes amis et entourage. Je disais donc, pour revenir à notre sujet, j'ajoute seulement que je n'ai pas aimé le chapitre sur le jeu télévisé et je l'ai trouvé un peu exagéré. Pour être franche, au bout de quelques lignes je l'ai à peine survolé
Honte, moi? Pas du tout c'est de la colère
Ces pays à qui on doit parait-il apporter la civilisation et inculquer notre mode "exemplaire"de vie, ça me révolte! Certains penseurs oublient qu'ils sont les berceaux des civilisations et qu'ils nous ont tant apporté! Nous nous postons maintenant en professeur de la vie moderne et ses bienfaits, je trouve cela d'un cliché!!! Passons!
Inutile de répéter que le courrier
Hariet et son Jules ne m'a pas du tout intéressée et je lui ai réservé presque le même sort que le jeu télé: survolé à peine! D'ailleurs je n'ai pas compris grand chose à cette histoire biscornue
Le personnage du cheikh est le plus intéressant à mon sens; Mi-philosophe, mi-saint, il a réussi à donner à ce roman une touche de mystère, une certaine vision de la vie, un sens à ce que nous faisons ou projetons de faire,...
Le personnage de
Hariet, aurait pu être plus piquant mais l'auteur a raté quelque chose, un je ne sais quoi qui donne du relief à un personnage. Elle est plate, inodore, sans saveur!
Fred, reste assez sympathique, car on note une évolution dans sa personne, dans son questionnement; Comme quelqu'un qui se découvre, trouve son chemin.
Voilà, j'arrête ici car je sens que je ne suis pas loin de parler de la dernière partie. Je m'en vais en parler dans le topic approprié
Dim 29 Juil 2012 - 14:35
ceci dit, venant de Peter Maxwell, on ne pouvait s'attendre à très raffiné 
