"Cache-cache"

Venant de commencer à lire "Cache-cache", je me permets de vous mettre un petit résumé de cette oeuvre(en espérant vous donner envie). La maison d'édition est "Phébus-Libretto" et la couverture est superbe, comme d'habitude chez "Phébus". La personne qui choisit les illustrations est une personne de goût.

Citation :

Collins a concentré dans Cache-cache (1854) ses plus délicieux poisons. Dédié à Dickens, le rival et l'ami de toujours, le livre inaugure la grande période de création du romancier et n'est pas loin d'annoncer La Dame en blanc.Fondé — une fois de plus — sur le thème de la révélation d'un secret de famille du genre inavouable, Cache-cache est surtout prétexte à la mise à nu d'un sentiment des plus troubles : le désir de vengeance — qui ne laisse en repos, comme bien l'on devine, ni les personnages, ni le lecteur.Mystère, ambiguïté, humour (noir ou non) : les trois ingrédients du suspense selon Collins sont là — que reprendra plus tard à son compte le « disciple » Alfred Hitchcock.« Cache-cache est à Wilkie Collins ce que Humiliés et Offensés (qui explore le même thème) est à Dostoïevski : l'oeuvre qui contient en germe toutes les folies et les fureurs des romans futurs. » LINDA LÊ/LE MONDE.EN QUELQUESMOTS…Publié en 1854, Cache-cache annonce déjà le très trouble climat de La Dame en blanc. Collins y distille ses plus délicieux poisons. Fondé, selon la vieille habitude de l'auteur, sur le thème de la révélation d'un secret de famille du genre inavouable, le roman est surtout prétexte à la mise à nu d'un sentiment dérangeant : le désir de vengeance, qui ne laisse en repos, comme bien l'on devine, ni les personnages ni le lecteur.Mystère, ambiguïté, humour (noir ou non) : les trois ingrédients du suspense selon Collins sont là — que reprendra plus tard à son compte le « disciple » Alfred Hitchcock.« Cache-cache est à Wilkie Collins ce que Humiliés et Offensés (qui explore le même thème) est à Dostoïevski : l'oeuvre qui contient en germe toutes les folies et les fureurs des romans futurs. » LINDA LÊ/LE MONDE.

Wilkie Collins

J'ai hâte de lire ton avis Félicité. J'ai trouvé ce bouquin par hasard dans la bibliothèque de ma mère, et j'ai commencé à le lire il y a quelques semaines, mais j'ai arrêté en cours de route, le début ne m'ayant pas plus enthousiasmé que çà . Mais qui sait, tu arriveras peut être à me faire changer d'avis ...

Quelqu'un l'a-t-il terminé ?

Je viens de le commencer en anglais et j'avoue que pour l'instant le style me plaît beaucoup... mais j'aile beaucoup Collins... A suivre....

fan de Collins et les ayant quasiment tous lus, je dois avouer que j'ai moi aussi abandonné celui ci en cours de route...je n'ai pas du tout accroché...

Moi finalement, je l'ai adoré. J'aime beaucoup le personnage de Mat.

Et cette citation (à quelque chose près car la phrase est très longue) : ... instruction has the chance of becoming useful by being first made attractive.

je pense que c'est le début qui n'est pas accrocheur, il va falloir que je tente de le relire en allant plus loin dans l'histoire...mais ce roman ressemble si peu à ce que fait Collins en temps normal que c'est assez déroutant dès les premières pages...à suivre, je vous dirais ça quand j'aurais réussi à le relire.
après Lily, je pense qu'en anglais il est peut être plus accrocheur aussi...