Aki Shimazaki

Merci pour vos retours positifs, Serendipity et Vavyala ! Comme je l'ai déjà dit, cette "série" me tente beaucoup, notamment pour ses réflexions sur les rapports humains

J'ai moi aussi dévoré Tsukushi hier et je serai peut-être moins sévère que toi Vavyala

Je suis tout à fait d'accord pour dire qu'on voit assez vite où l'histoire va nous mener. Mais tout d'abord, cette histoire

Spoiler:

J'ai trouvé que l'intérêt de ce roman figurait dans le pendant qu'il offre au tout premier.

Spoiler:

J'ai également trouvé intéressant le personnage de l'amie.

Spoiler:

Je continue d'apprécier le style d'Aki Shimazaki et le fait qu'elle parsème son récit de termes japonais (ainsi que de termes importés de langues étrangères comme le fameux arubaï qui revient dans  plusieurs romans, dérivé de l'allemand Arbeit).

Je trouve que ces livres sont propices à une reprise de lecture après une période de panne, ils sont courts, le style est beau et efficace à la fois, la psychologie des personnages est esquissée de manière très fine sans s'attarder de trop et enfin, une fois qu'on a amorcé la lecture, on n'a plus envie de lâcher le livre tant on est capté par cet univers (sans pour autant que l'on soit dans un page-turner avec des rebondissements).

J'entame le dernier opus ce soir et je te dirai Vavyala

serendipity a écrit:

J'ai moi aussi dévoré Tsukushi hier et je serai peut-être moins sévère que toi Vavyala

C'est ça que je trouve intéressant avec le forum, c'est la possibilité d'avoir un autre angle de vue.  

serendipity a écrit:

Je suis tout à fait d'accord pour dire qu'on voit assez vite où l'histoire va nous mener. Mais tout d'abord, cette histoire

Spoiler:

Oui.    Hâte d'avoir ton avis sur le dernier pour avoir une vue d'ensemble du cycle, comment Shimazaki choisit de le conclure.  

serendipity a écrit:

J'ai trouvé que l'intérêt de ce roman figurait dans le pendant qu'il offre au tout premier.

Spoiler:

D'un côté, je trouvais intéressant comme toi un tome qui fasse le pendant, d'un autre, j'aimais bien le côté légèrement décentré des tomes 2 et 3 et abordant des thèmes plus spécifiques à la société japonaise.

Spoiler:

Pour son amie, j'ai du mal à me prononcer sur ses intentions...

Spoiler:

serendipity a écrit:

Je continue d'apprécier le style d'Aki Shimazaki et le fait qu'elle parsème son récit de termes japonais (ainsi que de termes importés de langues étrangères comme le fameux arubaï qui revient dans  plusieurs romans, dérivé de l'allemand Arbeit).

A ce propos, j'ai pensé à esperluette quand elle utilise le terme japonais sekkusu-resu, dérivé de sex-less, pour parler d'une réalité sociale de couples japonais. Cela passe mieux en anglais japonisé qu'en anglais. (esperluette, je te rassure, ce n'est pas le thème de ce roman, elle ne fait mention de ces couples qu'une fois.)

serendipity a écrit:

Je trouve que ces livres sont propices à une reprise de lecture après une période de panne, ils sont courts, le style est beau et efficace à la fois, la psychologie des personnages est esquissée de manière très fine sans s'attarder de trop et enfin, une fois qu'on a amorcé la lecture, on n'a plus envie de lâcher le livre tant on est capté par cet univers (sans pour autant que l'on soit dans un page-turner avec des rebondissements).

Je suis complètement d'accord avec toi, rien à ajouter, tout est dit!

Vavyala a écrit:

A ce propos, j'ai pensé à esperluette quand elle utilise le terme japonais sekkusu-resu, dérivé de sex-less, pour parler d'une réalité sociale de couples japonais. Cela passe mieux en anglais japonisé qu'en anglais. (esperluette, je te rassure, ce n'est pas le thème de ce roman, elle ne fait mention de ces couples qu'une fois.)

Oh, ce thème ne me gêne pas, c'est l'anglicisme (répété moultes fois) qui m'avait gênée dans Azami. Merci pour la précision en tout cas !

Oui, je me suis mal exprimée. Je voulais dire que comme ce n'était pas le thème du roman, on ne voyait le terme qu'une fois (et japonisé ce qui me semble plus intéressant pour inscrire l'utilisation de ce terme dans un constat sociologique étudié au Japon), donc rien qui ne pique les yeux.

J'ai donc entamé Yamabuki, le 5è tome de la pentalogie.

Pour l'instant je n'ai pas d'avis sur ce livre, dont la découverte est agréable. Juste une observation de forme sur la structure de cette pentalogie. Ce tome est narré par Aiko Toda, la femme de Tsuyoshi Toda (supérieur hiérarchique de Aoki et personnage central du 2è roman). Il se déroule plusieurs années après, le couple Toda est maintenant très âgé étant donné qu'il fête des 56 ans de mariage. Je comprends que cette histoire intervienne en toute fin de cycle car temporellement je pense que c'est celle qui se déroule le plus tard. Mais je pensais que son positionnement en 4è dans l'ordre des livres aurait été intéressant, avec une structure en miroir et une fin centrée sur Yushiko

Je reviendrai vous en dire plus sitôt cette lecture achevée

Je ne me serais pas attendue à ce qu'elle soit la narratrice de ce tome. Jusqu'à présent, je m'étais mis dans l'idée que les narrateurs avaient tous travaillé dans la compagnie Goshima. Comme quoi, Aki Shimazaki nous surprend toujours quand on dégage une ligne directrice!
J'espère que cette lecture te plait et te semble bien conclure le cycle!

Vavyala a écrit:

Je ne me serais pas attendue à ce qu'elle soit la narratrice de ce tome. Jusqu'à présent, je m'étais mis dans l'idée que les narrateurs avaient tous travaillé dans la compagnie Goshima. Comme quoi, Aki Shimazaki nous surprend toujours quand on dégage une ligne directrice!

J'ai terminé ce dernier tome et je suis d'accord avec toi. J'ai bien aimé ce livre mais je continue de m'interroger sur sa place dans la pentalogie et du coup sur la structure de ce cycle de livres

Spoiler:

Je pense que tu auras plaisir à lire ce dernier livre Vavyala mais si tu ne parviens pas à te le procurer très rapidement, cela ne me paraît pas problématique, tu auras encore les personnages en tête

Merci beaucoup serendipity pour ton retour! Cela rassure de lire que ce 5ème tome est plaisant.
Je n'ai pas pu m'empêcher de lire ton spoiler pour avoir un avant-goût de ce qui m'attend.

Si j'ai le temps, je pense passer cette semaine en bibliothèque rendre les 5 livres empruntés et lus dernièrement. Qui sait si une surprise m'attendra sur le rayonnage de Shimazaki? Sinon, je le réserverai auprès des bibliothécaires. A suivre...

Vavyala a écrit:

Je n'ai pas pu m'empêcher de lire ton spoiler pour avoir un avant-goût de ce qui m'attend.

Oh mince, je suis désolée j'en ai beaucoup révélé dans la balise
J'espère que tu apprécieras ta lecture malgré cela
En tout cas j'ai hâte d'avoir ton avis, ainsi que celui d'esperluette qui devrait nous rejoindre prochainement.
C'est bizarre mais je me rends compte que l'univers de Shimazaki me manque. J'attends inconsciemment de lire le 6è, qui n'existe pas bien sûr

serendipity a écrit:

Vavyala a écrit:

Je n'ai pas pu m'empêcher de lire ton spoiler pour avoir un avant-goût de ce qui m'attend.

Oh mince, je suis désolée j'en ai beaucoup révélé dans la balise
J'espère que tu apprécieras ta lecture malgré cela

Tu n'es pas responsable, c'est moi la curieuse qui ait choisi de cliquer  
Oui, je ne doute pas que la lecture me plaira!   Le plus important dans une histoire n'est pas où on arrive, mais comment on y arrive. Lire les belles descriptions (des lieux, saisons, états d'âmes) d'Aki Shimazaki sera agréable. Cependant, je me rends compte que la licence que je prends de lire les spoilers de Shimazaki, je ne la prendrais pas avec tous les auteurs. Pour certains, je préfère être surprise.

serendipity a écrit:

C'est bizarre mais je me rends compte que l'univers de Shimazaki me manque. J'attends inconsciemment de lire le 6è, qui n'existe pas bien sûr

C'est le plus bel hommage que tu lui rends!
J'ai aussi cette sensation, mais comme je n'ai pas encore lu le 5ème, je l'attribue pour l'instant à la curiosité de savoir comment elle conclue l'ensemble.
On verra comment je me sentirai après

[Suite à un message de serendipity je remets ici un court avis posté dans Que lisez-vous]

Je viens de lire Hôzuki d'Aki Shimazaki. C'est la première fois que je lis cette auteure dont je n'avais jamais entendu parler et que j'ai empruntée complètement par hasard à la bibliothèque.
C'est un récit très court, assez plaisant, avec des rebondissements. Le style est relativement 'transparent', de même que les personnages, dont on suit la vie à grands traits. Je pense que je lirai d'autres livres d'elle à l'occasion, ils ont l'air "pratique" quand on veut une lecture simple et rapide mais quand même un brin originale.

Merci pour ton retour Dulcie!

Dulcie a écrit:

ils ont l'air "pratique" quand on veut une lecture simple et rapide mais quand même un brin originale.

Je plussoie sur ton avis sur le type de lecture qu'offre les romans d'Aki Shimazaki que j'ai lus jusqu'à présent.

Je n'oublie pas que je n'ai pas encore terminé le cycle Au coeur du Yamato.  Mais aussi bizarrement que cela puisse paraitre, je n'ai pas trouvé le temps de revenir en bibliothèque. Je n'oublie pas qu'il me reste cela à conclure donc j'essaierai de repasser parler de Yamabuki dès que j'aurai pris le temps de l'emprunter et le lire.

Merci pour ton retour, Dulcie ! Découvrir Aki Shimazaki est l'un de mes objectifs "lectures" de cette année

J'ai terminé hier le premier tome de la série Au coeur du Yamoto  
Mitsuba m’a transportée le temps de 150 pages auprès de son héros et de la dure société japonaise.
Dès les premières pages, j’ai été envoûtée par la plume de l’auteure, Aki Shimazaki qui, avec simplicité et élégance, nous dépeint le quotidien d’un « shosha-man », c’est-à-dire un « commercial » travaillant dans une grande entreprise japonaise qui, alors qu’il s’apprête à être muté à Paris, découvre l’Amour sous les traits de la réceptionniste de son entreprise, la belle et intelligente Yûko Tanase.
Seulement, notre héros qui a toujours priorisé son travail et respecté ses chefs se retrouve face à une injustice qui ne le laissera pas indemne…
J’ai du mal à mettre des mots sur les émotions que cette lecture m’a procuré : Mitsuba est un ensemble de pensées simples, il ne s’y passe pas grand-chose, mais j’ai suivi avec ferveur et intérêt l’évolution de Takashi Aoki, ses échanges avec ses collègues ou ses supérieurs ou la description d’anecdotes de son passé ! J’ai trouvé la fin particulièrement réussie, à la fois émouvante, avec une pointe de nostalgie et un pincement au cœur, mais aussi pleine d’espoir…
Une très belle lecture qui me marquera longtemps et une très belle incursion dans la littérature japonaise !  

Juliette, merci pour ce joli commentaire qui ne laisse pas indifférent La tortue que je suis le met fissa, sur sa PAL, en espérant pouvoir le lire un jour

Merci pour ton avis Juliette, ravie que ce beau roman t'ait plu. J'espère que la suite te plaira tout autant

Merci Juliette pour ton retour sur Mitsuba et contente qu'il t'ait plu!

Juliette2a a écrit:

J’ai trouvé la fin particulièrement réussie, à la fois émouvante, avec une pointe de nostalgie et un pincement au cœur, mais aussi pleine d’espoir…

J'ai eu le même type de ressenti en fin de lecture!

Je poursuis l'exploration de l'oeuvre d'Aki Shimazaki en m'attaquant à sa troisième série de romans L'ombre du chardon, avec Azami  

Je savais que ce roman avait été moins apprécié que ceux des deux premières séries, mais j'avais envie de retrouver le style d'écriture simple et poétique d'Aki Shimazaki, ainsi que ces petits livres d'Actes Sud avec leur joli papier couleur ivoire  

esperluette a écrit:

J'ai lu Azami et suis un peu partagée. Je garde l'envie de mieux découvrir l'univers d'Aki Shimazaki, mais ce livre m'a moins plu que Hôzuki et je pense en garder moins de souvenirs.

On retrouve dans ce livre Mitsuko, dont j'avais fait la connaissance dans le deuxième livre du cycle, mais je crois que mon principal problème avec cet opus a été le narrateur pour qui j'ai eu assez peu d'empathie.

Ce qui m'a gênée est l'aspect un peu répétitif du récit : comme il est très court, j'avais l'impression que le narrateur me répétait très souvent un truc déjà lu quelques pages avant. Il répète par exemple je ne sais combien de fois que lui et sa femme sont un "couple sexless"

Je vais essayer de continuer le cycle sans laisser passer plusieurs années entre deux lectures à nouveau.

clinchamps a écrit:

Ta remarque est très intéressante !! Pour moi, en lisant le livre, j'ai eu le sentiment que ce choix de termes était volontaire ! Dans la phrase "ma femme et moi ne faisons plus l'amour" il y a Femme, Moi, Amour, autant de mots à la charge affective évidente, alors que "couple sexless" en est totalement dépourvu, et revient à un simple terme sociologique. ça ramène la vie de couple elle aussi à un fait sociologique, et c'est un peu le cas de ce couple-là !

Alors en effet, je ne recommanderais pas ce roman à quelqu'un qui souhaite entrer dans l'univers de Shimazaki, les défauts que vous avez pointés sont tout à fait justes. Le côté répétitif du roman ne m'a pas gênée, car il illustre bien cette vie routinière et un peu abrutissante liée au monde du travail et à la société contemporaine. L'utilisation du terme sexless ne m'a pas gênée non plus, car j'ai compris qu'au même titre que pink-salon pas exemple, ce terme doit être fréquemment utilisé par les japonais  
Tout comme les anglos-saxons parlent d'un couple childless, quand il est sans enfant.

Même s'il y a moins d'émotion et de nostalgie dans ce tome, j'ai néanmoins retrouvé les éléments qui me plaisent dans l'univers de cette autrice : ces phrases courtes, simples et percutantes, une évocation toujours très poétique des choses,  
Je pense à l'épisode au cours duquel la fille du narrateur lui offre un dessin pour son 36è anniversaire avec la fleur d'azami et la fleur de bardane, qui évoquent tout de suite au lecteur les deux femmes de sa vie : Mitsuko son premier amour, qu'il avait surnommée Azami, la fleur dangereuse et piquante, le passé et le présent. Et d'un autre côté sa femme, symbolisée par la fleur de bardane.
Quelle fleur va-t-il choisir pour l'avenir ?

Je note ici le dialogue car je pressens qu'il aura son importance dans la suite de ce cycle de livres  

Citation :

- Maman m'a appris le langage de ces deux fleurs.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Pour l'azami, c'est "l'indépendance", "ne me touche pas", "la vengeance".
- Ah bon ? et pour la bardane ?
- "Ne me tourmente pas", j'ai oublié le reste.

Je vais enchaîner très vite avec les autres tomes. Je suis ravie de lire que tu as plus aimé le suivant esperluette, qui m'attend gentiment dans ma PAL et accompagnera ma semaine  

J'ai notamment envie d'en savoir plus sur Mitsuko

Spoiler:

Spoiler:

Esperluette et clinchamps, avez-vous finalement lu les autres tomes de cette série ?

Toujours pas en ce qui me concerne, et je n'ai pas non plus avancé "Au cœur du Yamoto" après avoir lu Mitsuba l'an dernier.

Merci pour ton retour sur Azami, que tu as visiblement plus aimé que moi. J'ai hâte de connaître ton avis sur Hôzuki car sans avoir été un coup de cœur sur le moment, il m'a vraiment laissé une impression durable !

Mon avis est moins contrasté que le tien esperluette

J'ai bien aimé Hozuki (le fleur qui symbolise le mensonge) mais sans grande différence avec le premier. Ce tome est donc consacré à Mitsuko et, même si j'ai obtenu les réponses aux questions que je me posais sur ce personnage, elle ne me paraît toujours pas attachante  

Globalement cette série me paraît plus "froide" que les précédentes, il y a comme une vitre entre le lecteur et les personnages  
L'emploi de certains termes y contribue. Vous avez évoqué le couple sexless, dans ce tome c'est le terme d'amant employé par Mitsuko pour désigner ses divers compagnons qui me glace un peu et que je trouve artificiel. Je comprends qu'il sert à mettre à distance ces hommes, mais même celui auquel elle était attachée et auquel elle pense encore 7 ans après est désigné ainsi  

J'ai eu du mal à comprendre certains choix de Mitsuko.

Spoiler:

Mais je suis d'accord avec toi esperluette pour dire que c'est une histoire qui se décante et à laquelle on continue de penser une fois le livre refermé. Je vais enchaîner très vite avec Suisen, le 3ème tome consacré au copain de classe, le personnage qui m'intéresse le moins a priori mais avec Aki Shimazaki on n'est pas à l'abris de (bonnes) surprises

Pour te répondre, Serendipity, je n'ai pas encore continué la série du Chardon...

Merci serendipity pour ton retour de lecture sur le début de ce nouveau cycle.
Les bémols soulevés ne m'effraient pas, de ton commentaire ressort une approche distanciée intéressante à essayer. Ce n'est pas dit que j'y adhère, mais je me le note sur ma LAL.

Merci pour ton retour, Serendipity Je retiens que tu as trouvé plus de froideur dans ce tome, c'est dommage

Même si j'ai préféré, pour l'instant, les deux premières pentalogies (je trouve un aspect plus "froid" à celle-ci), j'espère que vous aurez l'occasion de la lire car elle présente également de l'intérêt

J'ai dévoré le 3è tome Suisen (narcisses) et je me demande finalement s'il n'est pas mon préféré  

Ce tome opère un bond en avant dans le temps car on y retrouve Goro, le "gentil" copain d'école devenu patron d'une grande entreprise productrice de whisky japonais dont il a hérité de son père, il est désormais âgé de 50 ans (dans les deux autres tomes, les protagonistes ont 36 ans). Je ne veux pas trop en dire mais ce qui m'a plu dans ce roman c'est

Spoiler:

J'ai jeté un oeil au contenu des deux derniers tomes et malheureusement, je pense que je vais devoir laisser là ce personnage et la suite de son histoire  (mais j'espère quand même en apprendre plus au détour des deux autres histoires...).

J'espère terminer la lecture de cette pentalogie cet été, j'ai réservé les deux prochains tomes en médiathèque, je les attends avec impatience