Une auberge pour les admirateurs de Jane Austen, et bien plus encore... |
| | Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). | |
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+3Juliette2a ludi33 serendipity 7 participants | |
Auteur | Message |
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Vavyala Wood Full Of Song
Nombre de messages : 4439 Age : 40 Localisation : Entre une forêt francilienne et celle des pages des livres qui m'entourent Date d'inscription : 27/08/2018
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Mer 10 Fév 2021 - 19:06 | |
| La nouvelle qui donne son titre au recueil fait justement partie de celles auxquelles j'ai le moins accroché. Selon mon ressenti, elle ne reflète pas complètement la tonalité du recueil. OK, elle traite du quotidien d'une femme, mais on s'en sent plus distancié que dans d'autres nouvelles qui touchent plus au cœur. De manière générale, les premières nouvelles du recueil m'ont beaucoup plu notamment Histoire du lapin et de la tomate, Les voisines, L'hiver, La tâche, Une vie, Comme le printemps, Les fleurs au centre de ce couvre-lit et Une paire de bas. Sur le rebord de la fenêtre et Le mug sont très émouvantes. Et j'ai décroché sur les trois dernières, Les sauterelles, Comme tous les après-midi et Dépareillées (et quelques autres), pour des raisons différentes. Pour Les sauterelles, elle part dans du fantastique, ce qui est un peu déroutant par rapport au reste du recueil, qui colle au réel. Dépareillées, je n'ai pas compris le but. Pour Comme tous les après-midi (et toutes celles non-citées), sans les rejeter comme les deux citées précédemment, je n'ai pas été touché par l'action décrite, les problématiques des personnages... Si on fait les comptes, j'ai aimé 10 nouvelles sur les 18, 6 ont laissé un avis neutre et 2 que je n'ai pas aimées. |
| | | serendipity Aurora Borealis Chaser
Nombre de messages : 12323 Date d'inscription : 31/05/2007
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Mer 10 Fév 2021 - 21:22 | |
| Merci pour ces précisions Vavyala, tu me donnes très envie de lire ce recueil désormais |
| | | Vavyala Wood Full Of Song
Nombre de messages : 4439 Age : 40 Localisation : Entre une forêt francilienne et celle des pages des livres qui m'entourent Date d'inscription : 27/08/2018
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Jeu 11 Fév 2021 - 8:04 | |
| J'espère qu'il te plaira! Le principal écueil que j'ai dû surmonter pour goûter les nouvelles est celui de leur concision. Je suis plutôt habituée aux nouvelles plus longues, d'une vingtaine de pages au moins, où une histoire a le temps de se déployer. Ici, c'est très court. C'est plutôt des instantanés de vie, qui condensent le temps... Il faut aimer aussi les thèmes autour du quotidien. Mais comme tu la connais déjà par deux de ses romans, tu ne seras pas surprise par cet aspect-là. |
| | | Petit Faucon Confiance en soie
Nombre de messages : 11791 Age : 59 Date d'inscription : 26/12/2011
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Jeu 11 Fév 2021 - 9:08 | |
| Merci Vavyala pour ton retour sur ce livre ; d'après ce que je retiens de ton ressenti, les nouvelles de ce recueil sont proches dans leur esprit de celle postée par serendipity en page 1, je pense ? plutôt comme des instantanés, des photos prises sur le vif, que comme des mini-histoires ... |
| | | Vavyala Wood Full Of Song
Nombre de messages : 4439 Age : 40 Localisation : Entre une forêt francilienne et celle des pages des livres qui m'entourent Date d'inscription : 27/08/2018
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Jeu 11 Fév 2021 - 9:46 | |
| La nouvelle postée en page 1 du topic par serendipity est tirée de ce recueil (et lui a donné son nom). En effet, il y a un grand nombre de nouvelles dans cette veine, des instantanés de vie pris sur le vif. En général, c'est ceux auxquels j'ai modérément accroché, tout dépend de ce qui était dit de de cet instant (et comment).
Il y en a d'autres, qui m'ont beaucoup plus touchées, qui parlent du temps qui passe. A travers le lien entre un personnage et un lieu, un objet ou un autre personnage, Zoyâ Pirzâd nous parle du côté fugitif de la vie, comment de l'enfance à la vieillesse, autour d'un lien fixe, les gens ou les relations se construisent, évoluent puis filent... Il y en a quelques unes qui ont en filigrane la réalité violente qu'a connu l'Iran à une époque, elles m'ont touchées aussi.
Difficile donc de classer ce recueil. Mais je dirais néanmoins qu'elle part du quotidien pour dérouler chacune des idées qu'elle souhaitait développer. |
| | | Juliette2a Tenant of Hamley Hall
Nombre de messages : 28452 Age : 27 Localisation : Entre l'Angleterre et la Thaïlande ! Date d'inscription : 06/03/2012
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Jeu 11 Fév 2021 - 18:03 | |
| Merci pour ton retour, Vavyala ! J'avais lu une de ces nouvelles dont j'avais aimé le style (même si je n'avais pas pu juger de la qualité de l'œuvre sur seulement 4 pages) ! Je me note le titre du recueil en entier |
| | | Vavyala Wood Full Of Song
Nombre de messages : 4439 Age : 40 Localisation : Entre une forêt francilienne et celle des pages des livres qui m'entourent Date d'inscription : 27/08/2018
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Mer 13 Oct 2021 - 10:41 | |
| J’ai terminé ma lecture du recueil de nouvelles Le goût âpre des kakis. Contrairement au premier recueil de Zoyâ Pirzâd que j’avais lu, Comme tous les après-midis, où les nouvelles étaient très courtes tenant sur 2 à 4 pages en moyenne, ici, les nouvelles sont plus longues ce qui fait que le recueil n’en compte que cinq. On y retrouve le style soigné de Zoyâ Pirzâd, les phrases ciselées et son sens du détail. Les récits ne sont pas linéaires, parfois l’autrice choisit de dépeindre des instantanés de vie, sautant d’un moment de vie à un autre, faisant aussi parfois des allers-retours entre le présent et le passé. On reste dans l’évocation d’un Iran contemporain, parfois tiraillé entre les coutumes immémoriales et les nouveautés impulsées par la modernité. Sur le fond, ce recueil tourne autour des histoires d’amour malheureuses (donc attention à la période où le lecteur choisira de le découvrir). On rencontre des personnages qui s’attirent, se marient et en cohabitant au quotidien se découvrent très différents ou développent des aspirations différentes, ce qui rend ces histoires parfois assez tristes… Les femmes ne sont pas passives, souvent prennent les décisions (des unions ou désunions) et ce même quand elles assurent un rôle de femmes au foyer. Elles restent actives pour essayer de trouver une issue à la situation déplaisante. La dernière nouvelle qui donne son titre au recueil se détache de ces trames. On y suit le parcours de vie d’une femme qui en se mariant apporte sa maison en dot. Le récit est écrit comme dans un conte (elle est nommée Madame et son époux Le Prince). On suit sa vie, ses vicissitudes parfois, avec ses proches et au sein de la maison qui vieillit avec elle, accompagnée de son plaqueminier central, pivot distribuant ses kakis au voisinage. Cela aurait pu être un récit du temps qui passe, mais l’arrivée d’un locataire (pour rassurer Madame dans ses vieux jours, dans une maison devenue trop grande pour elle dans un Iran moins sûr) brouille les pistes du sens du récit pour le lecteur. L’interprétation finale me semble pouvoir être très subjective et sujette au point de vue de chaque lecteur. Dans mon cas, j’ai vu cet événement comme - Spoiler:
à la fois le commencement d’une nouvelle vie, avec le nouvel équilibre induit par ce locataire, mais aussi le signe de la fin (voire destruction inéluctable) d’une époque, quand l’irruption de sa petite amie et future fiancée, insensible au charme surannée de cette demeure typiquement iranienne et de son plaqueminier va signifier leur fin, avec des projets de modification de l’architecture intérieure des lieux. J’ai aimé ce recueil pour sa forme, l’écriture de Zoyâ Pirzâd toujours aussi fine et envoûtante. Mais son fond assez pessimiste m’a un peu plombé le moral. |
| | | Dulcie Romancière anglaise
Nombre de messages : 1579 Date d'inscription : 19/12/2009
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Mer 13 Oct 2021 - 10:56 | |
| Merci pour ton avis C'est le genre de recueil qui pourrait me plaire |
| | | serendipity Aurora Borealis Chaser
Nombre de messages : 12323 Date d'inscription : 31/05/2007
| | | | Vavyala Wood Full Of Song
Nombre de messages : 4439 Age : 40 Localisation : Entre une forêt francilienne et celle des pages des livres qui m'entourent Date d'inscription : 27/08/2018
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Mer 13 Oct 2021 - 14:15 | |
| Contente de vous avoir donné envie de le lire un jour! Il est très bien écrit! Je me pose la même question que toi serendipity sur la production littéraire de Zoyâ Pirzâd. Soit nous manquons d'informations, soit elle ne publie qu'au compte-gouttes... Je ne vais pas l'en blâmer vu la qualité de ses écrits! Mais c'est frustrant de me dire qu'il ne me reste qu' Un jour avant Pâques à lire et qu'après, j'aurai fait le tour de ce qui est publié en France... |
| | | serendipity Aurora Borealis Chaser
Nombre de messages : 12323 Date d'inscription : 31/05/2007
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Mer 13 Oct 2021 - 14:25 | |
| - Vavyala a écrit:
- c'est frustrant de me dire qu'il ne me reste qu'Un jour avant Pâques à lire et qu'après, j'aurai fait le tour de ce qui est publié en France...
Oui tu as quasiment tout lu Ce midi, j'ai consulté les pages wikipedia en français et en anglais la concernant et ce que j'en ai retenu et compris c'est qu'elle semble avoir publié sur le tard (il y a une vingtaine d'années alors qu'elle est née en 1952) et que grâce aux éditions Zulma, nous avons accès à tout ce qui a été publié à ce jour (en tout cas, il n'existe pas plus de traductions en langue anglaise). |
| | | Petit Faucon Confiance en soie
Nombre de messages : 11791 Age : 59 Date d'inscription : 26/12/2011
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Mer 13 Oct 2021 - 16:00 | |
| Merci Vavyala pour ton retour détaillé sur ces nouvelles. Je ne suis pas sûre de m'y mettre bientôt, "plombant" était aussi l'adjectif que j'aurais choisi concernant l'atmosphère générale de ses textes, et je n'en ai pas envie maintenant. |
| | | Juliette2a Tenant of Hamley Hall
Nombre de messages : 28452 Age : 27 Localisation : Entre l'Angleterre et la Thaïlande ! Date d'inscription : 06/03/2012
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Mer 13 Oct 2021 - 19:23 | |
| Merci pour ce très beau retour, Vavyala ! Je garde en mémoire ce recueil pour une période où la mélancolie ne me dérangera pas |
| | | Vavyala Wood Full Of Song
Nombre de messages : 4439 Age : 40 Localisation : Entre une forêt francilienne et celle des pages des livres qui m'entourent Date d'inscription : 27/08/2018
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Mer 28 Sep 2022 - 20:15 | |
| J'ai retrouvé avec plaisir la plume de Zoyâ Pirzâd avec son roman Un jour avant Pâques, en duo avec serendipity. On retrouve la communauté arménienne d'Iran, par le personnage d'Edmond qu'on suit à différentes périodes de sa vie. Toujours le plaisir de retrouver intacte la délicatesse avec laquelle elle peint ses personnages, décors, situations et intrigues. L'intrigue est peut-être un peu moins engagée que d'autres de ses romans, mais certains travers de la société sont néanmoins brossés avec soin. Plus douce, c'est peut-être son roman le plus accessible pour découvrir son œuvre avant d'entrer dans le vif de certains sujets comme dans C'est moi qui éteins les lumières ou On s'y fera. Une ambiance qui m'a donc énormément plu! |
| | | serendipity Aurora Borealis Chaser
Nombre de messages : 12323 Date d'inscription : 31/05/2007
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Lun 3 Oct 2022 - 13:40 | |
| Vavyala, je te remercie de m'avoir entraînée dans cette lecture en duo improvisée qui m'a permis de retrouver la douceur de la plume de Zoya Pirzad c'est exactement le genre de lecture dont j'avais besoin actuellement Tu m'as expliqué que ce qui "compte" dans la littérature orientale c'est ce qui n'est pas dit, ce qui reste hors champ et à cet égard ce roman s'inscrit vraiment dans cette veine. Du coup, Edmond, le narrateur, semble toujours un peu déconnecté de son entourage et de son environnement, c'est assez étrange. On peut être un peu frustré(e) de ne pas avoir accès aux événements suggérés (notamment s'agissant des personnages féminins comme la mère de Tahareh ou celle du narrateur, voire même, à la fin sa propre fille). Mais cette fois-ci, je me suis laissée totalement porter par la plume de l'autrice sans me poser de questions. Un léger bémol : j'aurais fortement apprécié un prologue de l'éditeur ou du traducteur pour nous éclairer sur le contexte lié à la communauté arménienne en Iran (quelques rapides éléments d'histoire et de géographie, factuels, auraient certainement permis de mieux comprendre le contexte dans lequel se déroule la première partie). J'ai trouvé une interview de Zoya Pirzad sur le site des éditions Zulma qui évoque justement le roman et son contexte : et qui me rend cette lecture encore plus précieuse car ce livre semble être le plus personnel de son oeuvre En outre, je pensais qu'on allait - Spoiler:
retrouver Tahereh, la petite camarade d'enfance, fille du concierge musulman, tout au long de cette histoire, qu'Edmond allait la recroiser ou apprendre ce qu'elle était devenue Cela n'a pas été le cas et j'en ai été légèrement déçue, je m'attendais à une "chute" qui n'est jamais venue.
Il me reste encore les deux recueils de nouvelles de ZP à découvrir |
| | | Vavyala Wood Full Of Song
Nombre de messages : 4439 Age : 40 Localisation : Entre une forêt francilienne et celle des pages des livres qui m'entourent Date d'inscription : 27/08/2018
| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). Lun 3 Oct 2022 - 19:40 | |
| - serendipity a écrit:
- Vavyala, je te remercie de m'avoir entraînée dans cette lecture en duo improvisée qui m'a permis de retrouver la douceur de la plume de Zoya Pirzad c'est exactement le genre de lecture dont j'avais besoin actuellement
De rien! Merci à toi aussi, c'était chouette de le découvrir en duo! Comme pour toi, le côté apaisant en a fait une lecture adaptée pour mes besoins du moment. - serendipity a écrit:
- Tu m'as expliqué que ce qui "compte" dans la littérature orientale c'est ce qui n'est pas dit, ce qui reste hors champ et à cet égard ce roman s'inscrit vraiment dans cette veine. Du coup, Edmond, le narrateur, semble toujours un peu déconnecté de son entourage et de son environnement, c'est assez étrange. On peut être un peu frustré(e) de ne pas avoir accès aux événements suggérés (notamment s'agissant des personnages féminins comme la mère de Tahareh ou celle du narrateur, voire même, à la fin sa propre fille). Mais cette fois-ci, je me suis laissée totalement porter par la plume de l'autrice sans me poser de questions.
Sur l'importance de ce qui est non-dévoilé, des vides, je remercie le festival VO-VF qui a éclairé ces aspects-là de littératures orientales (notamment japonaise et chinoise) ce week-end! J'avoue que l'idée ne me serait pas venue aussi nettement seule. En effet, il y a un certain côté vaporeux et détaché dans ce texte, qui finalement convenait très bien à mes besoins du moment. - serendipity a écrit:
- Un léger bémol : j'aurais fortement apprécié un prologue de l'éditeur ou du traducteur pour nous éclairer sur le contexte lié à la communauté arménienne en Iran (quelques rapides éléments d'histoire et de géographie, factuels, auraient certainement permis de mieux comprendre le contexte dans lequel se déroule la première partie). J'ai trouvé une interview de Zoya Pirzad sur le site des éditions Zulma qui évoque justement le roman et son contexte : et qui me rend cette lecture encore plus précieuse car ce livre semble être le plus personnel de son oeuvre
Merci beaucoup pour le lien! Cette interview est très intéressante et éclairante! On en apprend plus sur sa façon d'écrire et cela éclaircit des interrogations sur certains de ses romans, comme On s'y fera. Ce qu'elle dit de son vécu et du roman Un jour avant Pâques est très intéressant et touchant! Il y a beaucoup d'elle et de sa mère dans certains des personnages qui fraternisent avec des Musulmans! Ce passage fait écho avec la table ronde sur la littérature chinoise à laquelle j'ai assisté ce week-end: - Citation :
- Lorsque l’on décrit une maison, on montre le caractère de son personnage. Si on trouve dans mes nouvelles un appartement surchargé, où il y a par exemple et un chauffage électrique et une cheminée, on sait que l’on se trouve dans une famille de nouveaux riches de Téhéran. Les choses ont davantage d’impact lorsqu’on les dit de manière indirecte. Les personnages peuvent aussi donner des informations sur eux-mêmes à travers les dialogues. Je pense que pour le lecteur c’est plus intéressant.
sur l'importance de ne pas tout expliciter pour rendre le lecteur plus actif! - serendipity a écrit:
- En outre, je pensais qu'on allait
- Spoiler:
retrouver Tahereh, la petite camarade d'enfance, fille du concierge musulman, tout au long de cette histoire, qu'Edmond allait la recroiser ou apprendre ce qu'elle était devenue Cela n'a pas été le cas et j'en ai été légèrement déçue, je m'attendais à une "chute" qui n'est jamais venue.
J'avoue que j'espérais aussi - Spoiler:
revoir ce personnage dans la suite du récit, mais malheureusement non. Tahereh a marqué son enfance et marque le lecteur aussi! J'aurais aimé savoir ce qu'elle a fait de sa vie finalement...
- serendipity a écrit:
- Il me reste encore les deux recueils de nouvelles de ZP à découvrir
Bonne découverte à venir! Si tu as l'occasion de les lire un jour, n'hésite pas à en parler sur le topic des lectures en duo/trio, je serai intéressée par une relecture. |
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| Sujet: Re: Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). | |
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| | | | Zoyâ Pirzâd (Iran, 1952). | |
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