Autour des Indiens d'Amérique : Jim Fergus et autres auteurs

Marie, je regarderai le film, il est au catalogue de ma médiathèque mais mon abonnement est fini, je dois le renouveler  

Mille femmes blanches : ce roman est très addictif. j'en suis à environ la page 150.
Je l'avais déjà lu mais  

Je ne parle pas de l'histoire, seulement de mes impressions et interrogations.
J'aime beaucoup la description de toutes les compagnes de May, l’héroïne, chacune avec sa spécificité, son caractère, son but : l'allemande disgracieuse, les jumelles rousses, la black, l'anglaise au caniche... C'est un vrai plaisir de les suivre.

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Merci pour ton avis Marganne. Comme toi, j'apprécie beaucoup cette palette de personnages féminins. A tel point que je peux parfois m'y perdre (je confonds parfois Daisy, la fille du sud avec celle qui est très religieuse...)

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Marganne a écrit:

l'allemande disgracieuse, les jumelles rousses, la black, l'anglaise au caniche... C'est un vrai plaisir de les suivre.

L'allemande est une suissesse (ça a son importance dans une certaine scène   ), Daisy avec son caniche est une fille du sud (une version alcoolique de Scarlet O'Hara   ). L'anglaise c'est Helen Flight  

Marganne a écrit:

May. Elle se dit indépendante, elle a refusé d'épouser le père de ses deux enfants, que pourtant elle aimait.

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Je ne trouve pas qu'elle

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Je pense terminer ma lecture ce soir, il ne me reste que quelques pages. Je confirme que ce roman se lit très vite et qu'il est très agréable (cela tient surtout à la multiplicité des personnages tous très attachants *... je pense aussi aux femmes cheyennes : Feather on Head, Pretty Walker etc...)

* enfin pas tous, le gros porc prénommé Jules, lui, est tout sauf attachant

serendipity a écrit:

Marganne a écrit:

l'allemande disgracieuse, les jumelles rousses, la black, l'anglaise au caniche... C'est un vrai plaisir de les suivre.

L'allemande est une suissesse (ça a son importance dans une certaine scène   ), Daisy avec son caniche est une fille du sud (une version alcoolique de Scarlet O'Hara   ). L'anglaise c'est Helen Flight  

Oui, tu as raison je me suis embrouillée  

serendipity a écrit:

Je pense terminer ma lecture ce soir, il ne me reste que quelques pages. Je confirme que ce roman se lit très vite et qu'il est très agréable (cela tient surtout à la multiplicité des personnages tous très attachants *... je pense aussi aux femmes cheyennes : Feather on Head, Pretty Walker etc...)

* enfin pas tous, le gros porc prénommé Jules, lui, est tout sauf attachant

J'ai avancé un peu ma lecture cette nuit, je suis au 3ème carnet : ma vie de Squaw, et j'aime beaucoup. Les noms donnés par les indiens me font mourir de rire ou sont poétiques :
- bloody foot : pied en sang
- ash faced woman : celle qui a le visage couvert de cendres aussi dénommée falls down in fire woman : celle qui tombe dans le feu
- woman who moves against the wind : celle qui avance contre le vent
- turkey legs : pattes de dinde  

Les personnages sont extrêmement attachants, cheyennes comme femmes blanches  

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Concernant Harry le père de ses enfants

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Bonne lecture Marganne et merci de m'accompagner sur cette lecture en duo

serendipity a écrit:

Concernant Harry le père de ses enfants

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Oui, c'est ce que j'ai cru comprendre mais c'est quand même une grave accusation Elle lui a donné 2 enfants. Il aurait fait ça pour se payer sa bibine ?

C'est ce qu'elle suspecte oui pour se payer sa bibine peut-être pas mais pour l'argent oui et peut-être qu'une fois la passion éteinte et pris par la pauvreté et l'alcool, il a pu être convaincu facilement (d'autant qu'il assure un avenir meilleur à ses enfants qui sont élevés par une famille aisée

Edit : j'ai terminé le roman hier soir et quelle fin

Je ne suis pas certaine d'avoir envie de lire la suite "La Vengeance des mères" car elle est centrée sur les deux soeurs jumelles irlandaises, or ce ne sont pas les personnages que j'ai préférés dans ce roman (j'aurais préféré que Jim Ferguis nous reparle de Martha, personnage beaucoup plus attachant).

Bon d'un autre côté, il n'avait pas vraiment

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J'ai fini "Mille femmes blanches" il y a quelques jours, c'est une histoire terrible

Je me souvenais que ça finissait mal :

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serendipity, je ne savais pas qu'il y avait une suite : même si les jumelles ne sont pas non plus mes personnages préférés, comme toi je préfère Martha, je pense que je la lirai

J'ai tenté de voir "les chansons que mes frères m'ont apprises", mais le DVD de la Médiathèque bugge au bout d'une vingtaine de minutes Dommage car bien que le rythme soit assez lent, j'ai beaucoup aimé le début, ou l'on voit

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. Le thème de l'alcool, déjà bien présent dans "Mille femmes blanches", et pour le pire a l'air d'être récurrent quand on parle des indiens d'Amérique.

Oui c'est un livre terrible, c'est pour cela que je ne vous ai pas rejointes, seren et Marganne ...

Et l'alcool ça a beaucoup aidé le génocide des indiens d'Amérique, du nord comme du sud, l'alcool et les maladies contagieuses (rougeole, variole, grippe), c'étaient les cadeaux des colonisateurs blancs . Pas de quoi pavoiser ...

Merci pour ton retour Marganne

Le thème de l'alcool est en effet présent et il est aussi régulièrement évoqué dans les carnets de l'expédition de Lewis et Clark que je lis actuellement (je vous en ferai part dans le topic consacré aux explorateurs si cela vous intéresse ). Certains Indiens s'en méfiaient d'ailleurs beaucoup notent Lewis et Clark, alors que d'autres y succombaient

Pour ma part, j'ai prolongé ma lecture avec l'emprunt à la médiathèque du coffret de documentaires "500 nations" produit et présenté par Kevin Costner (et j'avoue que je suis un peu déçue je trouve que cette série n'a pas très bien vieilli et que les documentaires passent très vite d'un sujet à l'autre.. mais peut-être avait-il le mérite d'être le premier projet de cette ampleur à l'époque de sa sortie

serendipity a écrit:

Le thème de l'alcool est en effet présent et il est aussi régulièrement évoqué dans les carnets de l'expédition de Lewis et Clark que je lis actuellement (je vous en ferai part dans le topic consacré aux explorateurs si cela vous intéresse ). Certains Indiens s'en méfiaient d'ailleurs beaucoup notent Lewis et Clark, alors que d'autres y succombaient

oui, je les ai lus!!! lecture requise en fac d'anglais!!! donc je connais bien cette expédition et d'ailleurs il en est beaucoup question dans les manuels de Seconde d'anglais.

Oh dommage, Marganne pour le film Les Chansons!!! il est tellement beau et touchant, ce film!!!
Tu ne peux pas essayer de passer le film sur le lecteur DVD de ton ordi? moi aussi il m'arrive de tomber sur des DVDs qui buggent de la médiathèque, et je les passe ensuite sur mon ordi et ça va bien en fait...

Tu avais raison Marie, le DVD marche sur l'ordi. Bizarre car mon lecteur de salon est de très bonne qualité
J'ai donc regardé "les chansons" jusqu'au bout. J'ai beaucoup aimé. Le rythme est effectivement lent, mais finalement il correspond au mode de vie de ces indiens en réserve,plutôt désoeuvrés, qui ne savent pas trop quoi faire (à part boire ). J'ai été beaucoup touchée par la petite soeur de Johnny, Jashaun. A l'inverse de son frère, elle désire rester dans la réserve; d'ailleurs, ils veulent presque tous rester dans la réserve, et travailler dans les ranchs. Je ne connait pas la taille de ces réserves ? Elles sont si grandes que ça pour avoir plusieurs ranchs ?
Jashaun est si jolie dans sa robe de Pow Wow, qu'elle désirait tant Un joli petit film, à petit budget, mais efficace

Merci pour ton retour sur le film, Marganne!! contente que tu aies réussi à le voir jusqu'au bout!!!

Je pense qu'ils sont plusieurs à travailler dans les mêmes ranchs et à faire du rodéo (on voit un des frères de Jashaun en faire!!!) mais bon, c'est le seul boulot qu'ils peuvent faire, donc on comprend pourquoi beaucoup de jeunes (la réalité, c'est ça quand même) désirent quitter la réserve pour essayer d'avoir un autre avenir!!! et en même temps, ils ont un rapport particulier avec la Terre, la Nature, les grands espaces et les chevaux! c'est le cas de Johnny, on le voit s'occuper très bien des chevaux, je ne sais pas s'il se rend compte que la vie à LA sera complètement différente!!

Mais le problème, c'est qu'à part s'occuper de chevaux, ou d'un ranch, y a rien d'autre à faire comme boulot!!!

marie21 a écrit:

Merci pour ton retour sur le film, Marganne!!  contente que tu aies réussi à le voir jusqu'au bout!!!

Je pense qu'ils sont plusieurs à travailler dans les mêmes ranchs et à faire du rodéo (on voit un des frères de Jashaun en faire!!!) mais bon, c'est le seul boulot qu'ils peuvent faire, donc on comprend pourquoi beaucoup de jeunes (la réalité, c'est ça quand même) désirent quitter la réserve pour essayer d'avoir un autre avenir!!! et en même temps, ils ont un rapport particulier avec la Terre, la Nature, les grands espaces et les chevaux! c'est le cas de Johnny, on le voit s'occuper très bien des chevaux, je ne sais pas s'il se rend compte que la vie à LA sera complètement différente!!

Mais le problème, c'est qu'à part s'occuper de chevaux, ou d'un ranch, y a rien d'autre à faire comme boulot!!!

Dans la scène de l'école, quand le Prof leur demande ce qu'ils veulent faire dans l'avenir, presque tous répondent : avoir un ranch ou monter des taureaux. Seule une fille répond qu'elle veut être avocate et Johnny qui veut être boxeur. Ils ont effectivement un rapport tout à fait particulier avec la terre, les chevaux et ils devraient pouvoir s'épanouir dans ce qui leur plait Malheureusement, il n'y a pas beaucoup de "débouchés" dans la réserve.

Je reproche toutefois à ce film et j'aurais du en parler dans mon premier post de ne montrer que le côté noir et misérabiliste : alcool, misère, désoeuvrement... laissant penser que toutes les réserves sont identiques. Mais la plupart des Amérindiens d'aujourd'hui vivent avec Internet, font des affaires (certaines tribus gagnent des milliards de dollars avec les casinos), défendent leurs droits (l'Etat leur verse des milliards de dédommagement). Il y a des stations de radio, ils travaillent grâce au tourisme... Le problème, c'est qu'il n'y a pas de solidarité entre les tribus    Les sioux et les navajos sont pauvres, la réserve indienne de Pine Ridge où a été tournée le film est effectivement très pauvre:( , alors que les arapahos et les shoshones par exemple, grâce aux jeux d'argent sont très riches

Justement, le but de la réalisatrice était de montrer le quotidien dans cette réserve en particulier. C'est une vision très noire mais quand même une réalité pour beaucoup de jeunes Amérindiens dans certaines réserves! on ne peut pas nier le chômage, le haut taux de suicide et les problèmes de drogue, d'alcool et de criminalité chez beaucoup de peuples Amérindiens d'aujourd'hui...

Il suffit de lire les articles de presse à ce sujet, c'est une triste réalité toujours d'actualité...

Voici l'entretien que j'avais lu à propos de la réalisatrice:
http://www.telerama.fr/cinema/chloe-zhao-j-ai-perdu-toutes-mes-illusions-sur-le-cinema-independant-americain,130987.php

un article qui date de deux ans: http://www.huffingtonpost.com/entry/native-american-youth-suicide-rates-are-at-crisis-levels_us_560c3084e4b0768127005591

Merci pour les liens Marie Une espérance de vie de 45 ans Avec des suicides de jeunes Je ne sais pas si ce film a été "correctement" distribué aux USA, je ne trouve pas de liens. Tous les américains devraient le voir, peut-être qu'il y a aurait une prise de conscience, un élan de solidarité. Il n'a pas l'air très connu : sur Amazon.com, il n'y a que 17 avis, dont deux une étoile

J'ai lu la vengeance des mères, la suite de Mille femmes blanches, et j'ai adoré

Le programme FBI est officiellement terminé mais un nouveau contingent de femmes blanches a été envoyé par erreur aux cheyennes. 7 arrivent à destination.

Les journaux sont rédigés tour à tour par Margaret Kelly, l'une des jumelles et l'une des "nouvelles" : Molly McGill.

Molly vient de la prison de Sing Sing, où elle a vécu des moments très difficiles. C'est un personnage que j'ai trouvé extrêmement attachant, bien plus que May Dodd du premier livre, que personnellement, je n'aimais pas beaucoup. On apprend peu à peu son histoire  ;  J'ai beaucoup aimé Molly  

Les autres femmes blanches sont une authentique Lady anglaise, Lady Hall et sa domestique Hannah. Une danseuse française "Lulu", plusieurs veuves, et les anciennes, les rescapées, dont les soeurs Kelly.

Les 300 premières pages sont consacrées à la vie au camp des cheyennes, avec les fréquents déménagements et la préparation de la "vengeance". C'est très agréable à lire, je ne me suis pas du tout ennuyée. La "vengeance" n'intervient que dans la dernière partie du roman. On retrouve bien sûr les soeurs Kelly, mais aussi Phemie et

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était prisonnière de l'ignoble et immonde Jules Seminole, qui sévit encore dans ce tome  . Le Capitaine Bourke est la lui aussi.

Les indiens ne sont pas en reste, très attachants, Hawk le guerrier , Pretty Nose

L'épilogue est un peu déconcertant, je pense que le roman aurait pu finir par le dernier journal, rédigé par Lady Hall.

J'ai beaucoup aimé cette lecture, je vous la recommande

Merci Marganne, j'étais un peu dubitative, comme toujours pour les suites, publiées bien après l'original de surcroît, mais ton retour me motive grandement .

Tout comme Tatiana, je découvre l'existence de cette suite, et le fait qu'elle est "à la hauteur" du premier livre ; je note le titre pour le futur , merci Marganne !

Tatiana a écrit:

Merci Marganne, j'étais un peu dubitative, comme toujours pour les suites, publiées bien après l'original de surcroît, mais ton retour me motive grandement .

Petit Faucon a écrit:

Tout comme Tatiana, je découvre l'existence de cette suite, et le fait qu'elle est "à la hauteur" du premier livre ; je note le titre pour le futur , merci Marganne !

Je me joins à Tatiana et Petit Faucon pour te remercier Marganne contente que tu aies pris plaisir à cette lecture

Je viens dire deux mots du premier roman d'une série de six, écrite par A.B. Guthrie (né en 1901 dans l'Indiana et mort en 1991 dans le Montana): La captive aux yeux clairs (en anglais The big Sky) écrit en 1947.

L'histoire en deux mots:

Citation :

Aux alentours de 1830, Boone Caudill quitte avec fracas une vie de fermier ennuyeuse et un père violent dans le Kentucky. Avec Jim Deakins, rencontré sur la route, il rejoint une expédition de trappeurs monté par un français, qui a l'ambition de commercer avec les indiens Blackfoot. Il a comme monnaie d'échange une princesse indienne: Teal eye. L'expédition est guidée par un "vieux de la vieille", Dick Summers, trappeur des temps héroïques. L'histoire s'attache aux semelles des mocassions de Boone, Jim et Dick

Pas possible d'en dire plus sans dévoiler une bonne partie de l'intrigue, même si The big sky est bien plus qu'un roman d'aventure. L'auteur prend en effet le temps de suivre ses personnages dans leur quotidien, y compris les moments de détente, de calme, leurs doutes, leurs faiblesses etc.... La paysages sont grandioses, la vie dure même si la civilisation des "mangeurs de porc" s'approche de plus en plus des montagnes et des bisons jusque là presque inexplorés où survivaient les mountain men et de rares forts appartenant aux compagnies de fourrure. Le roman dessine cette époque par petites touches et suggestions, sans manichéisme, au travers des trois amis et de Teal eye qu'il nous invite à suivre.
Pour moi une lecture lente, par petites étapes, mais que j'ai appréciée de bout en bout.

La captive aux yeux clairs a été adapté au cinéma par l'auteur, pour Howard Hawks en 1952 avec Kirk Douglas dans le rôle de Jim Deakins, mais le roman est resté (injustement) à peu près inconnu en France malgré une publication chez Denoël en 1947.
A.B. Guthrie a aussi signé le scénario de l'homme des vallées perdues et celui de l'homme du Kentucky.
Le deuxième roman, Oregon express (The way west) a remporté le prix pulitzer en 1950. Il a été adapté par Andrew V. McLaglen en 1967 avec Kirk Douglas et Robert Mitchum.
Actes Sud est en train de publier ces romans, dans de nouvelles traductions (semble-t-il) dans un cycle: l'Ouest, le vrai.

J'ignorais que la "captive aux yeux clairs" venait d'un roman, qui, du coup, m'intéresse !! Et "L'homme des vallées perdues" est un de mes plus vieux souvenir de cinéma, et Alan Ladd mon premier coup de cœur sur un acteur !! Je devais avoir 11 ou 12 ans, vu le temps que mettait un film pour arriver jusqu'à mon bled !

Je ne peux que t'encourager à chausser tes mocassins, enfourcher un cheval dérobé aux crows et à rejoindre les trappeurs sur la Teton river en évitant les flèches blackfoot...

Merci pour cet avis MissAcacia, mais c'est pas sympa, ça faisait plusieurs fois que j'arrivais le reposer gentiment à sa place en librairie malgré la tentation...

Je vais essayer de faire baisser un peu ma PAL "indiens" d'abord (Louise Erdrich, Joseph Boyden, Jim Fergus...) mais j'ai bien envie de le lire.

Suis tentée également, merci pour cette mise en bouche MissAcacia (je découvre aussi les noms de Louise Erdrich et Joseph Boyden grâce à ton post esperluette, le second m'intéresse en particulier).

Une recherche m'apprend que les trois premiers volumes de la série de A. B. Guthrie sont sortis en poche, chez Actes Sud dans la collection Babel, en 2016 et 2017, avec de belles couvertures (je les ai sûrement aussi aperçus en librairie). Luxe supplémentaire, la postface est signée Bertrand Tavernier (je vous ai dit que je fait partie des lectrices tentées ?) .

Tatiana a écrit:

(je découvre aussi les noms de Louise Erdrich et Joseph Boyden grâce à ton post esperluette, le second m'intéresse en particulier).

Je n'ai pas encore lu Boyden (son livre traîne dans ma PAL depuis que je l'ai entendu dans une conférence à mon arrivée à Paris, donc il y a presque quatre ans ), mais j'ai lu et adoré deux livres de Louise Erdrich. Je te la conseille vivement.