Elizabeth Goudge

Non Rosalinde mais j'ai encore en rayon "Le château sur la colline" dont tu me parles et "La colline aux gentianes".

Je vais les garder pour mes jours noirs je crois.

Si j'ai l'occasion je n'hésiterai pas à m'en procurer d'autres.

Je trouve comme toi qu'elle fait passer des moments de grâce. Elle prône les valeurs essentielles et nous réconcilie avec la face claire de l'être humain. Elle devrait être donnée comme antidépresseur.

A bientôt Rosalinde.

Elisabeth Goudge ...

Que dire ? toute jeunette encore j'ai ouvert un de ces livres et moi qui me cantonnait à jack london ( c'est très bien mais je n'en démordais pas des histoires de chien, chien loup ) curtis ( surtout le grizzly ) et la contesse de ségur j'ai recu un choc. Etait ce l'écriture ? après tout j'avais lu des contes auparavant, ou simplement, la façon de raconter une histoire ? ou simplement me proposait elle justement un univers que ressemblait au mien? ce que j'aurais voulu lire depuis toujours ...

C'était La vallée qui chante, et c'est ce livre bien avant Daphné du Maurier, les soeurs brontê et bien d'autres qui m'a donné envie d'aller plus loin, de lire plus, de découvrir d'autres auteurs aussi, de retrouvé cet emportement. Je me suis mise à hantée les librairies eet mon argent de poche passait dans l'achat compulsif de livres que je lisais tous et partout ou je me trouvais. Mais d'abord j'ai voulu en lire d'autres et je me suis procurée, l'Arche dans la tempête et la colline aux gentianes, que j'ai adoré, et ca ne me suffisait pas il m'en fallait d'autres ...

Alors sont venus Le jardin de Belmaray et l'appel du passe ... et je ne sais pas pourquoi j'ai buté sur ce dernier. Sans doute maintenant devrais-je le relire rien que pour les critiques que vous en faites il me semble que je suis passée à coté de quelque chose. Bref j'ai stoppé court et je me suis passionnée pour d'autres auteur notamment Daphné du Maurier. Puis j'ai du déménager et me défaire de beaucoup de choses mais j'ai toujours gardé comme un trésor ce livre La vallée qui chante qui aujourd'hui trône sur la planche de mes livres cultes

Avec des amies je parlais de mes lectures et mes auteurs préférés eet j'ai cité Elisabeth mais personne ne la connaissait et pourtant ce sont des lectrices qui ont une belle liste. J'avais l'impression qu'elle était dans les oubliettes et j'ai donc recherché un peu sur le net, je suis arrivée ici. Combien heureuse. et je me suis rendu compte que je n'avais jamais lu non plus Le pays du dauphin vert je me le suis donc acheté grace à vos critiques ( ainsi que nord et sur sur un autre sujet ) et je l'ai maintenant sur mon étagère. Je termine mon jane austen et je l'entamerais. Je viendrais alors vous en parler.

En tout cas merci à tous et toutes d'aimer cette auteur et de faire partager vos impressions.

Merci Allegria pour ton message.
Tu peux aussi rajouter sur ta PAL la cité des cloches et la série des Elliot de Damerosehay (soit Le domaine enchanté, l'Auberge du pélerin et La maison des sources) Ce sont mes préférés!
Ces livres sont de pures merveilles, de parfaits remonte moral en cas de coup dur!
Elisabeth Goudge a un don pour nous replonger en enfance, comme l'a dit majeanne.
On attend avec impatience ton avis sur le Pays du dauphin vert!

Je possède la cité des cloches que je n'ai jamais lu, mais je vais la cherchée dans mes caisses et l'ajouté dans ma PAl et je prend bien note des livres que tu m'as cité !

Merci de tes conseils !

Allegria a écrit:

c'est ce livre bien avant Daphné du Maurier, les soeurs brontê et bien d'autres qui m'a donné envie d'aller plus loin, de lire plus, de découvrir d'autres auteurs aussi, de retrouvé cet emportement.

Tu pourrais difficilement trouver un meilleur argument pour me décider à découvrir un auteur, Allegria. Et alors que je résiste à ce qui se dit ici depuis longtemps par peur d'être submergée par ma PAL , je crois que tu viens d'asséner le coup fatal.

Je commence "Le pays du dauphin vert". Pour l'instant ce n'est pas mon préféré. Je continue...

Le pays du dauphin vert n'est pas non plus mon préféré. J'aime beaucoup le début et la fin, mais je trouve qu'il y a des longueurs au milieu. Il faut parfois s'accrocher pour lire les longues descriptions.
Mais au final, c'est un livre dans lequel il faut s'immerger doucement. IL faut avoir du temps pour lire ce livre, pour savourer pleinement ses descriptions.
En sautant des passages, comme je l'ai fait à ma première lecture, (suivie de nombreuses autres depuis!) on rate l'essence même du livre, cet esprit si particulier de "sublimation" des personnages au fil du temps. Il faut avoir le temps de se laisser envoûter...

cat47 a écrit:

Allegria a écrit:

c'est ce livre bien avant Daphné du Maurier, les soeurs brontê et bien d'autres qui m'a donné envie d'aller plus loin, de lire plus, de découvrir d'autres auteurs aussi, de retrouvé cet emportement.

Tu pourrais difficilement trouver un meilleur argument pour me décider à découvrir un auteur, Allegria. Et alors que je résiste à ce qui se dit ici depuis longtemps par peur d'être submergée par ma PAL , je crois que tu viens d'asséner le coup fatal.

Et bien, ce n'était pas voulu, je pense que je voulais y mettre tout ce que m'inspirais ce roman qui m'a poussé à aimer les écrivains et les romans. Mais si ça peut te rassurer il n'est pas très gros Mais j'espère qu'il t'apportera la fraîcheur qu'il m'a donné !

Framboise a écrit:

Le pays du dauphin vert n'est pas non plus mon préféré. J'aime beaucoup le début et la fin, mais je trouve qu'il y a des longueurs au milieu. Il faut parfois s'accrocher pour lire les longues descriptions.
Mais au final, c'est un livre dans lequel il faut s'immerger doucement. IL faut avoir du temps pour lire ce livre, pour savourer pleinement ses descriptions.
En sautant des passages, comme je l'ai fait à ma première lecture, (suivie de nombreuses autres depuis!) on rate l'essence même du livre, cet esprit si particulier de "sublimation" des personnages au fil du temps. Il faut avoir le temps de se laisser envoûter...

Oui, j'avance dans ma lecture et je suis d'accord avec toi. L'enchantement des autres romans que je n'ai pas trouvé au début se met en place tout doucement.
Pour l'instant je me plais dans les descriptions. Je trouve qu'Elizabeth donne au temps un autre rythme, comme si c'était du temps hors du temps, comme si on découvrait l'éternité de l'instant.

Je viens de finir le pays du dauphin vert, et j'ai beaucoup aimé !!! Un vrai pavé que j'ai lu à côté de la mer, histoire d'être en plus dans l'ambiance Je suis en vacances donc j'ai pris le temps de rentrer dans le livre. J'aime beaucoup les histoires de soeurs, même si la soeur ainée est particulièremen gratinée (J'ai du mal avec les gens qui ne sont jamais satisfaits et qui pensent que sans eux le monde s'écroulerait... et qui ne sont pas capable de voir une seule chose de manière positive)
Les descriptions sont dignes des romans que je lisais petite fille, un monde fabuleux au bout des lignes, le capitaine o'hara y a beaucoup contribué
D'ailleurs totalement à part, mais je me rend petit à petit compte que Davy Jones est vraiment une légende ( à part pirates des caraibes bien sûr)
Les desciptions des légendes, de l'île où ils naissent sont superbes, le passage des Maoris est terrible je ne me suis pas arrêtée.
J'avais deviné comment allait se passer la fin et je l'espérais ... Une très belle fin je trouve. L'évolution des personnages est géniale. On fini le livre sur leur vieillesse, on était vraiment avec eux durant toute l'histoire.

Indépendemment de tout ca, non mais quelle andouille ce Wiliam !!!! AH les hommes ....

Je viens de voir qu'il y avait un film avec Lana Turner et Donna Reed... qqn l'a vu ???

Je suis en train de le lire actuellement et il est de ces livres qui me font vraiment regretter d'avoir une vie à coté et donc de devoir abandonner ce petit chef d'œuvre par moment. J'ai été happé dès les premières lignes. C'est tellement bien écrit... Je suis pour l'instant aussi enthousiaste que toi, Meha... Je vais d'ailleurs m'y replonger de suite. En deux jours, j'ai déjà avalé 350 pages, c'est un signe parce qu'avec le boulot très prenant en ce moment et tout, je lis rarement autant en un si court laps de temps.

Ce que je suis contente que notre chère Elisabeth plaise toujours !!

J'ai fini Le pays du dauphin vert que j'ai fait traîner un peu en longueur sur les dernières pages parce que je n'avais pas envie de quitter cet univers et cette histoire. Ce fut une véritable bouffée d'air frais et il fera assurément (et malgré sa longueur) parti de ces livres que je relirais régulièrement au même titre qu'Anna Karénine ou Au bonheur des dames... Il entre aussi dans mon petit panthéon personnel. Ce fut un véritable coup de cœur pour moi et en le commençant, j'étais loin d'imaginer dans quoi je m'embarquais et quelle expérience j'allais vivre. Je n'y ai pas vu de longueurs, j'ai tout aimé dans ce livre et je le conseille vraiment. J'ai hâte de me remettre à l'écriture d'Elizabeth Goudge que je trouve particulièrement belle et généreuse. Merci de cette découverte magnifique.

Séverine, ton avis donne le goût de s'y mettre! Je vais le noter pour être certaine de ne pas l'oublier.

J’ai terminé La Colline aux gentianes, très joli livre, mais qui ne m’a pas autant enthousiasmée que certains autres d’Elisabeth Goudge. Cela reste un très bon roman, qui traite de thèmes chers à l’auteur: le merveilleux, la campagne anglaise et les légendes qui lui sont associées, le monde de l’enfance. J’ai beaucoup aimé cette lecture, mais elle ne surpassera pas chez moi la Cité des cloches et l’Auberge du pèlerin!

Ici, on suit Stella, petite fille adoptive de fermiers du Devon, qui a été recueillie à moitié noyée après un naufrage terrible dans lequel elle a perdu ses parents.
En parallèle, on découvre Zachary, aspirant de marine, dont le bateau fait escale à proximité. Zachary n’est pas du tout à sa place sur un bateau, il est terriblement malheureux et décide de déserter.
Evidement, les deux enfants vont se rencontrer et s’apprécier.
Les deux ont des qualités peu habituelles chez des enfants. Stella est très sensible et intuitive, prête à donner son confiance et son amitié. Zachary cherche pendant tout le livre à dompter sa peur.
Autour de ces deux enfants gravitent Papa et Maman Spriggs, les fermiers ayant adopté Stella, le docteur du village, et un vieux prêtre solitaire. Ces personnages secondaires sont très réussis!
Ce sont des pages très douces, paisibles, mais l’histoire est un peu trop prévisible. L’écriture d’E. Goudge reste cependant magnifique!
Il y a un fil conducteur:

Citation :

« l’amour est la divinité qui crée la paix entre les hommes, le calme sur la mer, le silence paisible au creux des tempêtes, le repos et le sommeil dans la douleur. L’amour chante pour tout ce qui aime et tout ce qui existe et apaise les âmes troublées des dieux et des hommes. » (extrait du Banquet de Platon)

J’ai trouvé cependant que ça manquait un peu de vie, de dynamisme. Tout est trop calme et paisible. On parle bien de la vie en mer, de la révolution française et même de la bataille de Trafalgar, mais malgré tout le roman reste un peu trop sage à mon goût! J’aime quand ça bouge plus! (c’est peut être pour cela que j’ai préféré la Cité des cloches, avec Hugues-Antoine, ou les enfants de l’Auberge du pèlerin)
Le livre est parsemé de citations ou allusions bibliques, mais aussi de vieilles légendes anglaise et même un peu de magie blanche. (d’ailleurs, le coup de la magie blanche n’est pas trop passé chez moi! )

J’ai beaucoup aimé le chien Hodge, que Stella traite plus comme un ami qu’un chien. Et ça m'a fait rire de retrouver la légende des abeilles, découverte il y a peu de temps dans Sarn, de Mary Webb. La légende dit que quand le propriétaire des ruches meurt, son successeur doit aller se présenter aux abeilles et les prévenir du changement de propriétaire.

Bon, je critique, et en me relisant, je trouve que mon commentaire est un peu trop négatif, alors que c’est un très bon livre malgré tout!! Ca reste un Elisabeth Goudge, et ça, c’est un gage de qualité!

Ayant fait un échange scolaire dans le Devon il y a quelques années, j’ai pu mettre une image sur les descriptions de paysages, et wahou, c’est vrai que c’est un coin splendide.
Je me rend compte que j’ai beaucoup de chance, entre Guernesey et le Devon, je connais déjà pas mal d’endroits décrits par E. Goudge…!

Tu as de la chance Framboise de connaître cette région ! La colline aux gentianes et un de mes romans préférés d'Elizabeth Goudge, et j'aimerais beaucoup aller me balader par là-bas ! Et grimper jusqu'à la petite chapelle (si elle existe !) avec Stella et Rosalinde

J'ai été séduite par l'atmosphère paisible de la ferme, et Maman Sprigg si bonne et maternelle, mais un peu déroutée parfois par la vivacité de Stella, et jalouse des leçons qu'elle prend chez le docteur Crane. A ce propos j'ai aimé aussi la rencontre de l'abbé et du docteur, et l'évocation du roi Lear.

Et je n'ai pas pensé comme toi que tout était trop calme et paisible, j'ai trouvé beaucoup de violence dans ce roman, heureusement contrebalancée par le côté lumineux de Stella.

J'ai un peu oublié pour la magie blanche, tu peux me rafraîchir la mémoire ?

C'est drôle, je n'ai pas du tout eu le même ressenti que toi.
D'accord, il y a la violence des faits (la guerre, la prison, les batailles navales) mais les héros sont très paisibles. D'ailleurs Stella ne participe quasiment jamais à la fin des fêtes, qui sont trop bruyantes à son goût. C'est pour ça que je trouve ce livre paisible: malgré les évenements parfois durs, les personnages restent sereins, un peu en dehors du monde. Stella est lumineuse, en effet, mais il lui manque un tout petit peu de gaîté à mon goût; elle est un peu trop sérieuse et raisonnable.

Pour la magie blanche, il n'y a pas grand chose, mais ce n'est pas vraiment mon truc, alors que j'adore les vieilles légendes et le merveilleux.

Spoiler:

J'ai beaucoup aimé moi aussi la rencontre du docteur et du prêtre, à la sauce Shakespeare. Le livre est d'ailleurs plein de références à des classiques, qu'ils soient grecs, bibliques ou anglais.

Elisabeth Goudge était elle-même férue de ce qu'elle appelait le paranormal, elle était persuadée que sa mère était médium, elle croyait fermement à l'existence des fantômes, disait en avoir croisé elle-même, et dans tous (ou presque) ses livres on retrouve ce genre de prémonition ou don de double vue. Elle a d'ailleurs écrit "la sorcière blanche" qui se passe sous la Révolution anglaise (Cromwell) et parle de magie blanche, et dit dans ses mémoires que ce livre lui fut inspiré par le fantôme de l'ancienne propriétaire du cottage où elle vivait. C'est sa croyance au merveilleux et à l'inexplicable qui donne à ses romans se ton si particulier, si propice à l'imaginaire et au rêve.

Merci clinchamps pour cette explication!

Je viens de terminer La colline aux gentianes, mon deuxième roman de l'auteur après le livre pour enfants Le secret de Moonacre.
J'ai beaucoup aimé! Par moment, ça me rappelait L.M. Montgomery avec toutes les descriptions de paysages qui nous font sentir plus proche et plus émerveillés par la nature.
J'ai bien aimé les personnages, même ceux secondaires. Et aussi la légende de l'ermite et de Rosalinde.

Spoiler:

Par contre, j'ai un peu moins aimé moi aussi la magie blanche ou

Spoiler:

Malgré ces petits bémols, je suis convaincue que ce roman restera un très bon souvenir de lecture. Je me suis laissé emporter par les mots de l'auteure et je me suis laissé baigner par l'ambiance et tout ce qui s'en dégage. J'en suis d'ailleurs encore un peu habitée.

À vous relire, je crois que j'opterai finalement pour La cité des cloches pour le prochain.

Maribel La cité des cloches devrait te plaire si tu as aimé l'ambiance si particulière de ses livres. Mais ce récit baigne aussi dans une atmosphère de spiritualité et la religion y est très présente, je préfère te prévenir !

Merci, en le sachant d'avance cela risque moins de me déranger!

À ma bibliothèque, j'ai vu que La cité des cloches n'y était pas, mais ils ont L'Arche dans la tempête. Je me déciderai peut-être pour celui-ci, mais je préfèrerais trouver l'autre en premier, qui me semble plus apprécié.

Merci Camillette! Nous attendrons avec impatience tes impressions de lecture!
En attendant, viens nous faire une petite présentation dans le topic
Bienvenue!!!!--> https://the-inn-at-lambton.1fr1.net/bienvenue-f2/

Au plaisir de lire bientôt!

Je viens de lire mon premier Elizabeth Goudge, La colline aux gentianes. C'était une jolie découverte même si je n'ai pas complètement adoré non plus.

J'ai beaucoup aimé l'histoire, et surtout l'écriture de l'auteur, très poétique. A présent je rêve d'aller dans le Devon et de voir la fameuse Colline aux Gentianes. Le côté paisible de l'histoire et des personnages m'a bien plu, mais ce que je reproche entre autres à ce roman, ce sont quelques longueurs. Par moments je décrochais un peu, sans m'ennuyer non plus... Mais disons que je n'étais pas réellement plongée comme j'aime l'être dans le récit.

Stella et Zachary sont deux personnages très attachants, Stella est peut-être un peu trop "zéro défauts" comme certaines l'ont dit sur ce topic mais ça ne m'a pas trop dérangée. J'ai beaucoup aimé Zachary, la façon dont il doit affronter ses peurs, et sa relation avec le docteur. Ce dernier est d'ailleurs un de mes personnages préférés.

Par contre, comme Maribel et Framboise je n'ai pas trop accroché au côté magie blanche, et les rêves (ou les visions?) de Stella m'ont un peu lassée. Je redoutais un peu l'omniprésence de la religion aussi mais ça ne m'a pas dérangée finalement.

En revanche ce qui m'a déplu dans ce roman c'est une certaines forme de mépris envers les pauvres et de "glorification" de la noblesse. L'auteur met l'accent sur les origines nobles des deux enfants et sous entend que la délicatesse de Stella lui vient forcément d'autres racines que sa famille Sprigg...

Spoiler:

Mis à part ce bémol, j'ai pris beaucoup de plaisir à cette lecture, et j'ai beaucoup aimé l'évocation des légendes, comme celle de John et Rosalinde. Je ne sais pas trop avec quel titre continuer, le premier que je trouverais sûrement.

Le Pays du Dauphin vert? Mais c'est un gros pavé (certes) qui se lit si facilement et c'est un si bon livre... Enfin, moi, j'avais adoré et c'est peu dire.