[jeu]Citations de livre

Soie de Baricco, chapitre 2 qui est un livre assez étonnant dans sa construction puisque pour 120 page il y a 65 chapitres qui se dégustent.

misshoneychurch à toi

Je suis en forme moi Bon, je vais essayer de vous trouver une citation cette fois...

EDIT :

Citation :

"Mais dans l'ensemble, les contrées de *** ont toutes un air de famille, et si elles voulaient bien se tenir en rang devant vous, vous diriez qu'elles ont toutes le même nez, la même bouche,etc. C'est toujours sur ces rivages magiques que les enfants viennent échouer leur canots. Nous aussi, nous y sommes allés, et bien que nous n'y aborderons jamais plus, nous avons encore dans l'oreille le chant des vagues."

C'est anglais?

c'est la bonne île

Ca me rappelle vaguement Les maîtres de Glenmarkie de Jean Pierre Ohl (je dis ça parce qu'il semble me rappeller qu'il était question d'îles britanniques dedans et que je sais que tu as lu et aimé ce livre ).

Non, Ohl est français Mais c'est effectivement un livre que je recommande

Je ne crois pas dire de bêtises en disant que Fée Clochette n'a pas le droit de ne pas trouver d'où vient la citation de misshoneychurch.
(mais je dis peut-être une bêtise !)

C'est exact, elle a promis d'attendre que Wendy le devine

Oui oui Ohl est français, je croyais que tu disais que seulement les îles étaient anglaises. Mais perso j'avais été déçue par ce livre.

Sinon, je viens de mettre cinq bonnes minutes à comprendre de quel livre vous parliez...

MD tu révèles un secret d'état

J'attends toujours que vous me sortiez le titre

Quant à toi Esperluette, tu mérites le fouet Entre Ohl et Ishiguro, je vais faire une crise cardiaque

Non mais dans les deux cas je ne peux pas dire que je n'ai pas aimé, mais j'ai à chaque fois été déçue...

Toujours personne pour le titre du livre ?

Bon ...

James Matthew Barrie avec son légendaire Peter Pan/Peter & Wendy

A mon tour donc ?
Classique :

Citation :

- Une pension : 3500 francs, comme mon mari ?
- Le comte *** était général de division. Ma pension, à moi, pauvre chef d'escadron, n'a jamais été que de 800 francs, et encore je n'en ai été payé que depuis que je suis ministre des finances.

Je t'accorde le point.

pas bien payé pour aller se faire tuer ! où alors ce n'était pas des deux derniers siècles !

des mémoires de guerre comme la retraite de Russie, ou Waterloo, où la conquête de l'Egypte par Napoléon ? j'ai un journal écrit par justement un petit gradé de ma province

J'avais omis un point MD : tu dis classique, mais classique Français j'espère. Donc un roman où l'on parle de campagne militaire. Quoique....

J'avais oublié que tu étais favorisée par ta situation géographique.
Je crois que tu es sur une bonne piste.

C'est bien français.

il est de chez moi ! alors il n'y en a qu'un et il ne nous aimait pas ! Mais nous avons pardonné et créé une association des amis de Marie-Henri Beyle dit Stendhal, et je vais aux conférences... parfois.

Son roman a même été adapté en Opéra par Henri Sauguet en 1936 et joué à Grenoble, devant une assemblée illustre de Chefs d'Etat, dont le Sha d'Iran et Le Général de Gaulle pour l'ouverture en soirée des Jeux Olympiques d'Hiver de 68. Les décors et les costumes étaient dessinés par un jeune couturier Yves Saint Laurent ... qui avait fait distribuer des bouquets de violettes et un flacon de parfum Y pour lancer son parfum (j'étais bouquetière et j'ai assisté au dit opéra dans le poulailler).

Donc c'est La Chartreuse de Parme et le sujet n'est pas étonnant : Henri Beyle s'est engagé militaire de 1800 à 1801, il participe à la campagne d'Italie où il est nommé sous-lieutenant au sein du 6e régiment de dragons dont il parle dans son livre.

Voilà j'ai enfin trouvé : chapitre VII

Citation :

A la chute de Napoléon, il s’est trouvé que, tandis que je mangeais mon bien à son service, mon père, homme d’imagination et qui me voyait déjà général, me bâtissait un palais dans Parme. En 1813, je me suis trouvé pour tout bien un grand palais à finir et une pension.

— Une pension : 3500 francs, comme mon mari ?

— Le comte Pietranera était général de division. Ma pension à moi, pauvre chef d’escadron, n’a jamais été que de 800 francs, et encore je n’en ai été payé que depuis que je suis ministre des finances.

Comme il n’y avait dans la loge que la dame d’opinions fort libérales à laquelle elle appartenait, l’entretien continua avec la même franchise. Le comte Mosca, interrogé, parla de sa vie à Parme.

Bravo !

l'honneur est sauf

Je reviens demain, parce que je n'ai aucune idée en ce moment

Coucou, rions un peu. J'ai l'impression que vous allez trouver immédiatement !

Citation :

"Pourriez-vous m'expliquer pourquoi, chez les célibataires, les domestiques apprécient toujours autant le champagne ? Ce n'est que simple curiosité de ma part."

Aucune idée. Enfin, je dirais roman du XIXe et anglo-saxon. Je dis n'importe quoi ?

misshoneychurch bon pour roman du XIXe écrit en anglais... qui a sa chambre chez nous.

Oscar Wilde ? Le "écrit en anglais m'interpelle"