Saison 2, épisode 5

Un stalker!
Tu ne me rassures pas en tout cas^^' J'ai tendance à avoir la larme facile j'avoue, mais là il aurait fallu être insensible pour rester de glace face à ses larmes

Cet épisode était trop, trop triste !!!

Comme Zakat Nath, le coup de la transmission de pensée m'a paru un poil too much, et tout comme elle, j'ai mon anecdote de ma grand-mère racontant la même chose quand mon grand-père a été blessé dans la Somme alors que nous étions en Algérie !! Et pourtant cela fait toujours artifice de scenario !! La scène de la rupture entre Lavinia et Matthew était très belle, car l'acteur a parfaitement su transmettre sa détresse et le côté irrévocable de sa décision ! Mais Saatya, tu n'es pas au bout de tes émotions !!

Citation :

Mais Saatya, tu n'es pas au bout de tes émotions !!

A vrai dire, si, car j'ai fini la série hier soir xD Je n'ai juste pas eu le temps de poster mes commentaires car j'enchainais les épisodes, mais je vais le faire maintenant

C'est toujours un plaisir de lire tes impressions Saatya, merci de nous les faire partager .

Je plussoie sur Thomas, qui oublie les petites vengeances mesquines au profit de sa nouvelle position, même s'il prend de grands airs. Il a pris du grade, et à la différence de O'Brien, son personnage devient plus intéressant.

Je viens de finir cet épisode et pour le moment j'aime bien cette deuxième saison. C'est un peu l'inventaire des situations humaines possibles dans l'Angleterre en guerre, ce qui fait que les personnages foisonnent et que du coup peu de temps est accordé à chacun. Pour certains, on se demande parfois pourquoi l'histoire s'attarde sur leur situation (comme Ethel ou Branson/Sybil ou la new maid veuve de guerre) mais ils correspondent justement à des "cas" (certains même à plusieurs).
Comme pour la première saison, beaucoup de personnages sont brossés un peu rapidement et restent assez superficiels ou un peu monolithiques (Nasty O'Brien, la very bad girl pour ne pas la citer), on sent bien que le scénariste est plus intéressé par sa "peinture de la société" que par ses personnages, mais comme c'est une période qui m'intéresse beaucoup, ça me va plutôt bien.
Et puis les personnages de Carson, Lady Violet, Mary, Matthew, Mrs Patmore évoluent dans un sens qui me convient bien. Bon, pour Matthew, je ne lui souhaitais pas ce qui lui arrive même si je m'attendais à quelque chose dans ce goût-là. Il est touchant dans son lit blanc avec ses yeux bleus soulignés d'une ombre bistre. Je suis curieuse de voir comment il va passer les trois épisodes qui restent... + le Christmas.
J'étais convaincue que William ne survivrait pas à la guerre mais sa fin est vraiment triste (rien que d'imaginer ce qu'il a dû endurer lors du rapatriement depuis le champs de bataille jusqu'à Leeds puis Downton...).
Quant à Mary, la voilà liée à Carlisle. J'avoue ne pas trop comprendre pourquoi on fait tant de foin autour de Vera Bates, qui objectivement a peu de chance de faire vraiment du mal, sachant que sa réputation est discutable, qu'elle n'a aucune preuve de plus que des bavardages de O'Brien (nasty nasty tss tss) et qu'une lettre signée Edith Crawley envoyée à l'ambassadeur de Turquie n'avait déjà pas réussi à ruiner Mary. Cette histoire est un peu tirée par les cheveux, mais je suppose qu'elle est nécessaire à l'avancée de l'intrigue. La curiosité me ronge donc...

Et enfin, même s'ils ne sont pas très présents dans cet épisode, j'aime toujours autant Lord Grantham (Hugh Bonneville supporting team ) et Lady Cora, qui reprend du poil de la bête à la tête de sa "maison de convalescence" (fighting Cora!).

Bon ben yapluka...

J'ai fini l'épisode il y a cinq minutes, je vous explique même pas mon état.

Spoiler:

Cet épisode a plus répondu à mes attentes.
Pour le coup, on est servi : on voit enfin les répercussions dramatiques de la guerre sur la famille et le staff.

J'ai vraiment beaucoup aimé le rôle tenu par lady Violet dans cet épisode: elle est partie au combat pour que William puisse mourir auprès des siens.
Je trouve ça d'une grande noblesse.Ce qui est en général le cas dans cette famille dont la plupart des membres vont se mettre en quatre pour faciliter la vie de leurs personnels et les sortir des mauvais pas .

J'imagine que cela ne devait pas se passer aussi bien que cela dans la réalité. J'imaginais plus une masse de serviteurs anonymes et interchangeables, qui n'étaient pas connus dans leur intimité par la famille.

Cet épisode fait la part belle aux femmes et à leur courage: lady Mary, lady Violet, Daisy...
Cela représente ce qu'a été cette guerre: les hommes mourraient ou étaient blessé, et les femmes ont du s'armer de courage pour gérer cela et travailler à leur place.

J'ai lu ton commentaire hier sur l'épisode précédent et je me doutais bien que tu allais changer d'avis pour cet épisode... la série prend un tournant dans cet épisode.

Bon visionnage de la suite!

merci Miss Maureen, la suite ce soir

Je viens de voir cet épisode, je pense que c'est mon préféré de toute la série, je l'ai trouvé juste parfait en dehors du début avec les pressentiments de Mary et Daisy en même temps

Mais vraiment sinon c'était très triste mais très beau, j'ai l'impression que tous les acteurs se sont surpassés dans leurs scènes Mention spéciale à Mary, qui est de plus en plus géniale au fil de cette saison, quelle évolution!! Et à Lady Violet, j'ai adoré tout ce qu'elle fait en faveur de William, c'était vraiment beau de voir tout le monde uni, même si c'est malheureusement dans le malheur. Même O'Brien et Thomas sont touchés et ça fait plaisir de voir que cette saison, on leur instille de plus en plus de touches d'humanité par-ci par-là.

J'ai eu les larmes aux yeux plusieurs fois à cause de William c'était vraiment très très triste de le voir mourir et Daisy a vraiment été forte à la fin.

Pour Matthew je suis curieuse de voir comment ça va se passer étant donné sa situation. En tout cas j'ai beaucoup aimé Lavinia et ses scènes avec Mary.

Pour l'histoire Bates-Anna-Mary et cette *censuré* de Vera, c'est pas prêt d'être réglé evil: En tout cas Richard Carlisle a été classe et j'ai aimé son comportement

Ethel m'a fait de la peine encore (et son bébé a déjà 9 mois on dirait alors qu'on est toujours en 1918 comme à l'épisode précédent où elle découvrait à peine qu'elle était enceinte mais passons ) ce colonel est un beau salaud!! (comme il devait y en avoir beaucoup hélas!)

d'une tristesse, j'étais toute coincée...


J'avoue, je préfère plus de légèreté, là j'avais le coeur chaviré.

J'ai vu l'épisode 5 hier soir, et je l'ai moi aussi beaucoup apprécié (en même temps, regardant les saisons 1 et 2 d'une traite, j'avoue que je n'ai pas vu de baisse de qualité dans les épisodes depuis le début, même si je reconnais le bien fondé de nombreuses critiques formulées ici!).
Je m'attendais moi aussi à la mort de William, il n'empêche que la scène du mariage m'a beaucoup émue, ainsi que l'attitude de Daisy. En ce qui concerne Matthew, je ne m'attendais pas du tout à ce qui lui arrive par contre . J'ai trouvé la réaction de Mary juste parfaite, l'actrice incarne parfaitement sa souffrance toute en retenue, .
Est-on sûrs que Lavinia va vraiment partir? Je l'ai trouvée très touchante. Elle aime vraiment Matthew et moi à sa place, je ne partirai pas aussi facilement...
Enfin si elle part, cela laissera peut-être plus de place à Mary...qui j'espère ne va pas épouser Richard Carlisle, mais je commence à me méfier de ce que peuvent concocter les scenaristes
Je crains aussi que ce handicap ne mette en retrait le personnage de Matthew dans le scenario...
Deux bémols sur ce que j'ai pu voir de cette 2e saison : je n'adhère pas au "couple" Sybil / Branson. A vrai dire, la manière dont il s'adresse à Sybil ne le rend pas très sympathique et je n'ai pas du tout l'impression qu'elle soit amoureuse de lui.
Enfin j'ai du mal à comprendre les motivations réelles de Nasty Vera. Visiblement, ce n'est pas l'appat du gain. Mais si c'est juste pour se venger de Bates qui l'a quittée, tout cela en fait au final une méchante un peu trop méchante.... Ses exactions finissent pas rendre presque lassantes les aventures de Bates et Anna
Ceci dit, vivement l'épisode 6