"Une femme dans la nuit polaire" - Christiane RITTER

il y a en fait très peu d'information sur cette femme ! Je n'ai trouvé de photo d'elle que déjà âgée :

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ou alors engoncée dansses vêtement polaires :

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Wikipédia :
Christiane Ritter est une artiste peintre et auteure autrichienne née le 13 juillet 1897 à Karlovy Vary (Tchéquie) et décédée le 29 décembre 2000 à Vienne (Autriche).

Elle est notamment connue pour son ouvrage Une femme dans la nuit polaire (titre original : Eine Frau erlebt die Polarnacht)1 dans lequel elle relate son séjour sur l'archipel du Spitzberg en 1933. Partie la-bas pour y rejoindre son mari, elle est la première femme à réaliser une telle expédition à cette époque. Elle a écrit cet ouvrage à son retour en 1934. Celui-ci, qui a été traduit en sept langues, est un succès d'édition en Allemagne et en Autriche.

Le livre : Les premières pages m'ont un peu ennuyées car il m'est fondamentalement incompréhensible de partir juste pour suivre un homme (déjà absent depuis 2 ou 3 ans !) dans des conditions aussi effroyables que le cercle polaire, sa nuit  interminable et ses tempêtes dantesques !
Ensuite je m'y suis bien plus intéressée, une fois passés les préparatifs et le voyage, parce que l'auteure a su me faire partager cette expérience totalement incroyable et tout à fait extrême ! Sa plume est vive et suffisamment poétique pour nous permettre de voir en esprit ces paysages certainement époustouflants, sans pour autant faire de la littérature ! On reste bien dans le concret et c'est un concret assez cauchemardesque (pour moi, peut-être que ça en fera rêver d'autres ! )
Au hasard du récit une seule phrase évoque les troubles en Europe, et là j'ai soudain pris conscience que pendant ce temps Hitler prenait le pouvoir en Allemagne ! Quel contraste violent ! Et puis voir ces chasseurs ne rêver que de tuer ours, renards, phoques, eider, canards, alors qu'on sait ce qu'il en est aujourd'hui...
Pour finir j'ai bien aimé ma lecture, surtout les descriptions de la nuit polaire si noire quand c'est la nouvelle lune, ou si brillante quand la pleine lune énorme éclaire les glaces ! Ou quand les pauvres humains  attendent que le pack mystérieux descende (j'ai cherché, le pack c'est la banquise, l'eau de mer qui se prend en glace quand le thermomètre descend vers les -50°...)
C'est un livre qui se lit facilement, et suscite des émotions diverses, mais je continue à penser qu'il faut être bizarre pour choisir de vivre comme ça, mais ça n'engage que moi !
La cabane en carton goudronné où elle a affronté SEULE des semaines de tempêtes pendant que Monsieur était parti chasser...

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Christiane RITTER était peintre, donc il y a un musée où ses aquarelles et dessins de son séjour sont exposés :

https://digitaltmuseum.no/021188350576/akvarellene-etter-christiane-ritter

en voici quelques unes pour vous mettre en appétit :

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En conclusion je ne le relirai sans doute pas mais je suis très contente de l'avoir lu !

Merci pour cette présentation et pour ton avis, Clinchamps !

Merci pour l'ouverture du topic et ton avis Clinchamps
Je viens de récupérer le livre à la bibliothèque et devrais le commencer sous peu

Quel beau topic d'ouverture clinchamps, que ce soit sur la documentation rassemblée et résumée sur l'autrice, mais aussi la présentation et ton retour sur le roman.

Je note ton retour plutôt positif sur la plume et les descriptions, modulé par le choix discutable de partir pour son mari plus que pour elle...
Elianor, je serai intéressée par ton second retour à venir.

J'ai le roman sur ma PAL. J'attendrai probablement la mi-juin pour sa lecture, ayant d'autres livres qui me tentent plus avant. Mieux vaut peut-être attendre une canicule estivale pour rafraichir mon été.

J'ai hâte aussi d'avoir un autre avis, Elianor ravie que tu t'y mettes !

Merci pour ton avis clinchamps, je vais essayer de le lire mais je ne promets rien

J'ai terminé mon escale aux Spitzberg et je dois dire que si le livre de Christiane Ritter ne m'a pas du tout donné envie d'y aller faire un tour j'ai trouvé cette lecture absolument fascinante et intéressante

Il m'a semblé d'abord assez audacieux et même fou pour une femme (dans les années 1930) de décider de partir rejoindre son mari au fin fond du monde dans des conditions particulièrement extrêmes. Ledit mari étant parti lui-même depuis au moins 3 ans dans lesdites contrées vivre sa passion du Nord, la laissant donc toute seule en Allemagne (ou Autriche je ne sais plus si c'est réellement mentionné).

Ses conditions de vie pendant l'année qu'elle a passé à Gråhuken avec son mari et Karl, un ami de son mari, sont absolument horribles, à mon sens : la promiscuité dans le cube goudronné qui leur sert de cabane (cf. la photo partagée par Clinchamps), la nuit sans fin pendant des mois, le froid, le manque de nourriture, les tempêtes infernales, les semaines où elle se retrouve seule quand les hommes partent chasser , etc.
Et pourtant, la façon dont Christiane Ritter raconte son expérience, de manière sobre et précise, avec de l'humour, voire un peu d'autodérision, et beaucoup d'enthousiasme rend la lecture particulièrement agréable. Elle manie très bien les mots et sait tenir son lecteur en haleine. Je dois dire que je n'ai pas lâché le livre tellement j'avais hâte de suivre leurs aventures! Cela m'a aussi fait réfléchir à beaucoup de choses de manière un peu plus large sur les explorations, le matériel de l'époque, cette envie d'extrêmes, etc.

Ce qui m'a paru intéressant aussi, c'est que, malgré le danger, les situations extrêmes, Christiane Ritter est complétement fascinée par ce pays, presque ensorcelée, et elle arrive à nous le partager (au moins le temps de la lecture   ) Elle aime les paysages,  l'atmosphère, ces conditions extrêmes.  Et après avoir regardé ses peintures, je trouve absolument troublant leur adéquation quasi parfaite avec ses descriptions.


Comme toi, Clinchamps, j'ai trouvé aussi particulièrement violent la référence à la guerre qui se profile. C'est d'un tel contraste avec ce qu'ils sont en train de vivre eux  !

Bref, un livre que j'ai apprécié et que je recommande à ceux qui aiment les explorations, partir à la découverte d'un ailleurs ou ceux qui sont simplement curieux !

Vavyala, je ne suis pas sûre qu'elle ne parte vraiment que pour son mari. J'avais plutôt l'impression que son mari était tellement enthousiaste dans ses lettres qu'elle avait aussi décidé de vivre cette expérience avec lui.

J'aime beaucoup ton commentaire Elianor, et je vois que le grand Nord t'a plus enthousiasmée que moi ! Pas le livre, qui comme tu le dis, est intéressant et assez vivant pour retenir l'attention, mais l'idée même d'aller vivre dans ces conditions me paraît totalement incompréhensible ! Bon, d'un autre côté, heureusement qu'il y en a qui le font, comme ça on peut en avoir une idée en restant au chaud chez nous ! je crois que tu as raison, en fait son mari a suscité sa curiosité et c'est pour ça qu'elle est partie, mais c'est quand même une bien étrange vie conjuglae ! Certainement la meilleure façon de ne jamais se disputer si l'une est en Autriche(Allemagne ?) et l'autre au Spitzberg ! !

Merci pour ton retour enthousiaste, Elianor !

Coïncidence, j'ai justement regardé ce week-end et hier les voyages organisés de treks vers le Spitzberg ! (j'ai toujours eu des envies de grand nord, mais je ne suis pas sûre d'avoir la forme physique, et puis je suis tombée sur un voyage où tu as des tours de garde la nuit autour des tentes pour surveiller s'il y a des ours... voilà de quoi me refroidir ).

Du coup, ce livre me donne vraiment très envie, je n'avais jamais entendu parler de Christiane Ritter. Merci à Clinchamps pour l'ouverture du topic, et Elianor pour ton retour.

Je ne sais pas trop pourquoi les Spitzberg (je crois que le nom officiel de l'archipel est "Svalbard" maintenant) m'ont très longtemps fascinées. Depuis petite (je ne me souviens pas où j'en ai entendu parlé ), j'aime bien ce nom au goût de bout du monde et d'aventures, l'explication de mon intérêt n'est peut-être pas plus compliquée que cela  Mais, cela m'a complétement passé quand j'ai grandi et que je me suis intéressée plus concrètement à la question   Ce n'est pas du tout un pays pour moi, lire ce livre l'a complétement confirmé ! Et, Annwvyn, l'idée des tours de garde autour des tentes pour surveiller les ours ne me tente pas du tout non plus
Comme l'écrit Clinchamps, je préfère attendre que d'autres y aillent et nous racontent leur expérience Cela fait d'ailleurs plusieurs années que je voudrais lire Voyage d'une femme au Spitzberg  de Léonie d'Aunet

Je sais pour ma part que Svalbard est dans mes envies de destinations depuis ma lecture de La croisée des mondes. C'est là bas que se passe un tiers (le nom d'une partie) du premier tome, Les royaumes du Nord, si je me rappelle bien justement le territoire des ours ! J'avais cherché sur la carte, et je m'étais dit qu'un jour j'irai. Puis mon frère a failli y aller depuis la Suède, lorsqu'il y a passé 6 mois à l'université. On verra si j'y mets un pied un jour.

De manière générale, le nord m'attire et les explorateurs (et exploratrices !) me fascinent, même si reconnaissons le, je n'y connais rien, ça me fascine de loin et parce que ça a d'emblée un pouvoir évocateur !

Elianor a écrit:

Cela fait d'ailleurs plusieurs années que je voudrais lire Voyage d'une femme au Spitzberg  de Léonie d'Aunet

Je te le conseille, j'avais bien aimé de mémoire

Je partage votre intérêt pour le Spitzberg (de loin pour moi pour de multiples raisons). Quelques suggestions pour poursuivre à distance

J'avais commencé une série policière qui se passait là-bas (Fortitude malheureusement pas terminée pour de mauvaises raisons), et côté lectures policières, il y a les romans de Monica Kristensen. Quelqu'un a tenté ? (j'en ai un dans ma PAL)

Merci pour ton retour Elianor, beaucoup plus encourageant pour se lancer dans cette lecture de groupe!

Annwvyn a écrit:

Je sais pour ma part que Svalbard est dans mes envies de destinations depuis ma lecture de La croisée des mondes.

Je ne me souvenais pas du tout que Les royaumes du Nord se passaient en partie là-bas   Dans mon esprit et mes souvenirs, tout se passait plus ou moins dans un monde imaginaire    

Annwvyn a écrit:

De manière générale, le nord m'attire et les explorateurs (et exploratrices !) me fascinent, même si reconnaissons le, je n'y connais rien, ça me fascine de loin et parce que ça a d'emblée un pouvoir évocateur !

Je partage ce commentaire à 100% !  

serendipity a écrit:

J'avais commencé une série policière qui se passait là-bas (Fortitude malheureusement pas terminée pour de mauvaises raisons), et côté lectures policières, il y a les romans de Monica Kristensen. Quelqu'un a tenté ? (j'en ai un dans ma PAL)

Je ne connais ni l'un ni l'autre, mais je note et je ne manquerai pas de donner un avis si je lis des romans de cette romancière.

Vavyala a écrit:

Merci pour ton retour Elianor, beaucoup plus encourageant pour se lancer dans cette lecture de groupe!

Je ne peux que te conseiller de te lancer et j'ai hâte d'avoir ton avis

Merci pour l'ouverture du topic Clinchamps   et Elianor pour avoir présenté ce livre dans le cadre du challenge

Le capitaine Wentworth n'aurait sûrement pas proposé cette escale à sa chère Anne

Je rejoins ton commentaire Elianor  comme toi et Annwvyn je suis fascinée par le grand nord et les récits d'exploration, mais sans avoir envie d'expérimenter et au cas où l'idée m'aurait effleurée, cette lecture m'aurait définitivement dissuadée

Les paysages grandioses, la solitude (pas trop longtemps !) d'accord. Mais le menu (phoque, phoque et encore phoque, la crème d'oeuf d'eider au goût d'huile de poisson, sans parler des crêpes au sang   ) non merci

J'ai été surprise et un peu choquée par les rapports entre Christiane et son mari   aucune tendresse, même quand ils se retrouvent après trois ans de séparation. Certes elle n'est pas venue le rejoindre parce qu'il lui manquait, mais à cause de l'envie de découvrir la vie et les paysages qu'il décrivait dans ses lettres.
C'est étrange qu'elle ne l'appelle jamais par son nom, c'est toujours "mon mari".
Quant à lui, il semble surtout ravi d'avoir récupéré une cuisinière et une ménagère

En comparaison, Karl le Norvégien semble plus attentionné.

Christiane Ritter relate son arrivée, et son installation, avec une bonne dose d'humour et d'auto-dérision. Il en faut, car les conditions sont assez épouvantables, et l'insouciance des deux hommes sidérante. Je dois dire qu'à la lecture de ce chapitre, l'énumération catastrophique m'a semblé tellement délirante que je me demandais si c'était véridique  

Plus tard elle décrit sa découverte de la splendeur des paysages avec des mots d'une grande poésie. Je comprends qu'elle ait dessiné et peint, mais curieusement dans le livre elle ne parle pas de cette activité, ni du journal qu'elle a forcément dû tenir. Sauf quand pendant la nuit polaire elle dit que son mari a l'obsession de rationner le bois et les crayons.

Je me suis aussi interrogée sur leurs conditions de vie pendant cette interminable nuit polaire. La promiscuité devait être particulièrement gênante, mais elle l'évoque à peine  

C'est dommage que l'édition Denoël n'ait pas pensé à joindre une carte, et quelques photos et dessins.

je me suis posée les mêmes questions que toi sur la froideur (apparente tout au moins) des relations conjugales et sur la promiscuité, malgré la construction de son "boudoir" ... Ces questions ont dû se poser sûrement, mais elle n'a pas jugé que ça entrait dans le thème, si je puis dire ! J'ai regretté aussi le manque d'illustrations, surtout qu'elle a fait des dessins qui auraient vraiment soutenu le texte !

Rosalind a écrit:

Le capitaine Wentworth n'aurait sûrement pas proposé cette escale à sa chère Anne

Merci pour ton avis Roz! Je me retrouve bien dans tout ce que tu dis La nourriture je n'aurais pas pu non plus

Concernant les relations de Christiane et de son mari, comme vous j'ai d'abord été étonnée. Puis j'ai repensé qu'elle avait écrit son livre en 1938, et que peut-être qu'à cette époque on s'épanchait moins que maintenant sur sa vie privée. Je vois aussi peut-être une autre raison : le sujet de son livre étant son expérience du Grand Nord, elle a pu considéré que ses rapports avec son mari et ses sentiments pour lui n'était pertinents.

J'ai pu emprunter le livre à la bibliothèque, je devrai pouvoir le commencer sous peu !

Que dire sur ce roman qui n'aie déjà été dit par les trois premières lectrices.

Mon avis pourrait être un copié-collé de celui d'Elianor.
Ce récit m'a beaucoup plu, j'ai facilement embarqué aux côtés de Christiane Ritter à la découverte de l'Arctique. Sa plume est légère, on suit l'évolution de ses sentiments face à cette terre hostile, mais belle, les inquiétudes sur l'alimentation (et l'apport de vitamines), elle nous décrit la beauté des paysages, les éléments, les animaux plus ou moins farouches ou domesticables (Mikkl ).
C'est un récit que je relirai avec plaisir, quand j'aurai envie de voyager sans bouger de chez moi.

La seule différence avec les retours précédents de clinchamps, Elianor et Rosalind est que malgré le peu de mentions sur les relations conjugales, j'ai ressenti beaucoup d'amour, de complicité et d'attentions entre Christiane et son mari. A la lecture, j'ai compris comment ils se sont trouvés, comment il était sûr que le dépaysement plairait à sa femme et son envie de le partager avec elle. La façon dont il cède à ses caprices, comme la randonnée jusqu'à l'île aux Rennes ou le fait qu'il accepte qu'elle prolonge son séjour et ne reparte pas avec Karl et Noïss jusqu'au prochain bateau pour l'Europe continentale, sont des éléments qui m'incitaient à penser qu'il voulait son bonheur (en même temps qu'il prenait plaisir à son expédition).

Émue de trouver aussi toutes les petites attentions que les hivernants se laissent entre eux, les cabanes en état avec vivres et bois pour dépanner ceux qui arriveraient de manière impromptue jusque ce refuge.
La façon dont le mari de Christiane a ramené de leur trousseau allemand (casseroles, toiles, édredons,...) pour équiper la vie spartiate au Spitzberg m'a beaucoup amusé aussi, notamment lors des recherches du canot, quand elle retombe sur un édredon conjugal.

Merci pour ce bel avis, Vavyala ! Ce sera ma prochaine lecture !

Je viens donc de terminer l'escale du challenge Wentworth qui nous emportait cette fois-ci du côté de l'Arctique et j'ai beaucoup aimé ma lecture !
Comme Vavyala, j'ai trouvé la plume de l'auteure très agréable, simple mais avec suffisamment de détails pour "imaginer" chaque scène décrite !
Ce roman est un dépaysement total, permettant de voyager par procuration dans une région que je ne visiterai jamais, où les conditions de vie sont difficiles (entre multiples dangers rencontrés au quotidien et conséquences psychiques de la (très) longue nuit polaire) mais qui semble exercer une étrange fascination sur ses habitants, à l'instar de Christiane qui, malgré des débuts compliqués, finit elle aussi par se laisser séduire par la beauté des paysages du Spitzberg, jusqu'à les quitter le cœur serré et l'âme en peine !
Je me suis immédiatement attachée à Christiane, en particulier lors de l'épisode des renards et sa rencontre inoubliable avec le jeune Mikkl   Comme la plupart d'entre vous, je n'ai pas noté de tendresse particulière entre Christine et son mari ; néanmoins, en tant que spectatrice, j'ai ressenti une complicité ainsi qu'une complémentarité entre eux, ainsi qu'avec Karl !
Le roman est court, mais suffisamment intense pour laisser une empreinte sur ses lecteurs !

Je suis donc ravie d'avoir atterri en Arctique, grâce au challenge Wentworth et je remercie Elianor pour ce beau choix !

Je m'aperçois que mon challenge est fini !!! Il va me falloir attendre longtemps pour avoir vos avis sur "la raconteuse de films" !!

Merci pour ton retour Juliette que je plussoie totalement

clinchamps: je pense attendre cet automne avant de me lancer dans La raconteuse de films.