Une auberge pour les admirateurs de Jane Austen, et bien plus encore... |
|
| Jane Austen au cinéma : livres critiques | |
|
+8MarianneJustineBrandon Little bird Nettie Meli Emjy Miss Bell Popila Mr Damien Tilney 12 participants | |
Auteur | Message |
---|
Little bird Héritier de Hamley Hall
Nombre de messages : 456 Age : 37 Date d'inscription : 09/03/2008
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Ven 16 Mai 2008, 10:45 | |
| Popila, merci beaucoup pour ton travail C'est vraiment passionnant |
| | | MarianneJustineBrandon Brandon's Belle
Nombre de messages : 8674 Age : 32 Localisation : In the arms of colonel Brandon... or waltzing in a castel of France with the Beast Date d'inscription : 03/02/2008
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Ven 16 Mai 2008, 14:42 | |
| Félicitations Popila ! Tu as beaucoup travaillé et c'est réellement génial ! J'ai survolé quelques passages et les analyses que j'ai lu sont très pertinentes ! Encore |
| | | Popila Free Spirit of Longbourn
Nombre de messages : 2057 Age : 40 Date d'inscription : 27/07/2007
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Ven 16 Mai 2008, 20:48 | |
| Je suis heureuse que cela vous passionne : par contre, pour MP 1999 et NA 1986, il vous faudra patienter encore un peu |
| | | Popila Free Spirit of Longbourn
Nombre de messages : 2057 Age : 40 Date d'inscription : 27/07/2007
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Mer 21 Mai 2008, 14:51 | |
| Petit remontage de topic, hop là! Aujourd'hui, pour répondre au voeu d'Emjy : Mansfield Park 1999 et le Girl Power Dans Mansfield Park 1999, une femme est au centre de l’intrigue, situation annoncée par l’affiche où elle occupe le point focal et qui s’accompagne du thème de la prise de pouvoir, certes métaphorique, par une personne du sexe féminin. Elle quitte le statut de cousine pauvre pour devenir le soutien de la famille Bertram, et, si l’équipe du film la fait souvent placer symboliquement par Sir Thomas sur le devant de la scène, c’est pour indiquer la suprématie des valeurs qu’elle incarne. Sa modernité et sa puissance sous-jacente, parallèlement à la mise en valeur de sa féminité, jurent dans ce monde encore dominé par le système patriarcal, d’ailleurs sur le point de s’effondrer. Ce parti pris a permis à Rozema de développer un aspect du film qui l’ancre davantage dans le contexte contemporain, celui du Girl Power, revendiqué par les Spice Girls dont l’heure de gloire correspond à l’époque où le film est sorti.Certaines des répliques de Fanny Price soulignent son désir de s’affranchir du joug masculin : « Je suis une bête sauvage », s’écrie-t-elle tandis qu’elle chevauche sa jument, Mrs Shakespeare, dont le nom fournit une féminisation de l’auteur le plus connu de la littérature anglaise ; on la voit par la suite, une cravache à la main, dévaler les escaliers de Mansfield Park. Si le discours tenu dans ce film est anachronique, il permet néanmoins de séduire un public jeune et moderne. Néanmoins, l’ambiguïté quant au message véhiculé demeure : si Fanny s’impose comme une femme indépendante aux idéaux utopiques, elle devient par la suite le cœur de ce système patriarcal contre lequel elle s’insurgeait en espérant le modifier ; la conclusion du film indique peu de changements à Mansfield Park, mis à part l’exclusion de Maria et de Mrs Norris ; Sir Thomas se lance dans l’exploitation du tabac, ce qui laisse présager une répétition de ses mauvaises actions dans un autre domaine. Les paroles de Mary Crawford sont caractérisées par leur modernité («On est en 1806, pour l’amour de dieu ! ») en désaccord avec les principes moraux fondamentaux de l’époque, et qui la perdront. Elle convoite la demeure en envisageant une union avec un des fils de Sir Thomas. Son plan apparaît à la fin du film lorsque, au cours d’une séquence inventée par la scénariste, elle expose ses idées aux membres de la famille Bertram. Les plans indiquent ainsi l’importance que vont revêtir ses propos : Au moment où elle fait référence à son union prochaine avec Edmund, un gros plan est fait sur le visage du jeune homme, suivi par un autre gros plan sur celui de Fanny ; les paroles de Mary les séparent, tandis que son déplacement l’amène rapidement au centre du cercle formé par l’agencement des fauteuils ; puis elle apparaît au second plan, entre Fanny et Edmund filmés de dos au premier plan ; un travelling les fait alors disparaître au profit de la jeune femme filmée seule, paradant devant la cheminée. Toute la mise en scène a pour but d’illustrer ses manigances et son désir de régenter cette famille dont elle espère faire partie, et dont l’individualité est niée par l’utilisation d’un cadrage associant plusieurs personnages à la fois. Cependant, au moment où elle évoque la mort de Tom qui ferait alors d’Edmund l’héritier de Mansfield, la caméra passe sur le visage choqué de chacun des auditeurs, annonçant visuellement la défaite de Mary. Lorsqu’ Edmund lui fait comprendre qu’il refuse de l’épouser, la caméra est placée dans le couloir, laissant présager l’expulsion de l’élément perturbateur : Mary est au centre, mais sa position assise lui a ôté de son importance ; quand Edmund lui signifie de partir, elle se lève, fait une révérence et sort. On la voit alors passer devant Edmund avant de sortir sur la gauche du plan, technique symbolisant son appartenance au passé ; Fanny, quant à elle, est assise sur la droite. La crise de l’héritage prend fin dans la scène suivante où est annoncé le rétablissement de Tom. Par contre, pour les captures d'écran de Mansfield Park, il faudra attendre le bon vouloir de Mr Damien Tilney, qui a mieux à faire en ce moment Ekaterin, où en es-tu avec les captures d'écran de P&P 1940? Si vous êtes bien sages, vous aurez droit à une autre synthèse de Tante Popila sur : Médiévalisme, gothique et littérature dans Mansfield Park 1999. Enfin, pour ceux qu'une analyse de Northanger Abbey 1986 et Emma (la sérié télévisée) intéresse, j'ai "uploadé" les pages du livre où il en est question, il vous suffit de cliquer ICI pour en prendre connaissance :
Dernière édition par popila le Mer 21 Mai 2008, 23:16, édité 1 fois |
| | | cat47 Master of Thornfield
Nombre de messages : 24251 Age : 67 Localisation : Entre Salève et Léman Date d'inscription : 28/01/2006
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Mer 21 Mai 2008, 15:43 | |
| Merci Popila, ces analyses sont très intéressantes, je les lis avec grand plaisir. Quelle chance d'avoir sur ce forum autant de gens passionnés et qui sont prêts à partager leurs connaissances. _________________ |
| | | Popila Free Spirit of Longbourn
Nombre de messages : 2057 Age : 40 Date d'inscription : 27/07/2007
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Sam 24 Mai 2008, 16:12 | |
| Mais de rien, Cat : chaque fois que je rédige une synthèse, je suis bien obligée d'approfondir et du coup j'apprends plein de choses ; je me fais donc vraiment plaisir! Voici, en supplément, le dernier épisode de la série : Médiévalisme, gothique et littérature dans Mansfield Park 1999 Mansfield Park 1999 rend hommage à l’écriture dès le générique par le biais d’une fétichisation du parchemin, de l’encre et de la plume. D’autre part, en s’attachant à filmer la texture du papier en très gros plan, la caméra lui confère une dimension sensuelle dans la mesure où sa couleur évoque celle de la peau. Cet érotisme surprend dans un film qui revendique sa filiation avec l’œuvre austenienne ! Cependant, Mansfield Park 1999 n’est pas tant une glorification de l’Englishness qu’un exercice de style post-colonial irrévérencieux sur un classique de la littérature anglaise. L’affiche du film propose d’emblée plusieurs pistes d’interprétation, et comporte des sous-entendus gothiques, féministes et postmodernes. Fanny y figure en grand plan, et, au-dessous de ses mains jointes, apparaît Mansfield Park. Elle tient, serrée contre son sein, une clef, élément issu du gothique susceptible de soulever certaines questions : quelle porte, réelle ou symbolique, la jeune femme parviendra-t-elle à ouvrir ? Quel secret renferme Mansfield ? L’accent est mis sur ce personnage qui, de façon métaphorique, détient la clé de l’intrigue, et révélera l’être derrière le paraître. Plusieurs éléments tendent à entraîner le récit vers le mode gothique : Alors que dans le roman Sir Thomas est d’une nature effacée, il devient dans l’adaptation un patriarche tout-puissant qui règne en despote sur Mansfield. Ce père tyrannique est craint non seulement par ses enfants, mais aussi par Fanny, la plus timide. Dans cette perspective, il se rapproche de ces monarques usurpateurs despotiques, à l’instar de Manfred dans The Castle of Otranto de Horace Walpole (1765). Comme lui, il est attiré par une jeune fille qui devient le stéréotype de la vierge traquée dans une demeure par le chef de famille, qui fait passer son plaisir avant ses devoirs envers les siens. Sir Thomas (Harold Pinter), puissant et redoutable prédateur, tourne de façon inquiétante autour de Fanny, comme pour emprisonner une proie. Certes, la cruauté est déplacée : en fait, il souhaite lui imposer un époux sans se soucier de ses sentiments, mais il ne dissimule pas son attirance pour les jeunes femmes, en particulier celles de sa plantation d’Antigua : « Les mulâtres sont généralement bien proportionnés, plus particulièrement les femmes dont la finesse des traits est remarquable. J’en ai une – si gracieuse dans ses moindres mouvements et si intelligente… ». Cette remarque, formulée avant la découverte de dessins de Tom par Fanny, indique la volonté qu’à la scénariste de laisser au spectateur la possibilité d’en supposer davantage sur les relations de Sir Thomas avec cet esclave. Lors de la découverte des dessins, l’apparition soudaine et silencieuse de ce dernier derrière Fanny accroît doublement la tension chez le spectateur, placé dans la même situation que l’héroïne, en train de découvrir avec stupeur un aspect inconnu de son oncle. Il apparaît dans la chambre sous deux angles analogues à ceux choisis par Tom pour ses dessins : d’abord de trois quarts, avec une esclave noire à genoux devant lui dans une position équivoque, ensuite de profil, en train de fouetter un esclave ; la composition du plan associant Fanny et son oncle est identique à celle du dernier croquis et établit un parallèle entre la situation de l’esclave et celle de la jeune femme. Aucun doute ne peut subsister quant à l’identité de la brute représentée sur l’esquisse. La violence du geste de Sir Thomas, qui arrache le cahier des mains de sa nièce en s’exclamant que son fils est fou, se trouve renforcé par le choix d’un tournage en ralenti qui permet de s’attacher à l’expression de la jeune fille, mêlant horreur, douleur, dégoût et incompréhension. Le recours à Lovers’ Vows, pièce dans la pièce qui symbolise métaphoriquement l’état de délabrement de la demeure des Bertram et, par extension, la corruption de ses habitants, constitue une mise en abyme du récit : les personnages de la pièce ne sont pas si différents des acteurs qui les interprètent, et, par le truchement du spectacle, ils exorcisent leurs désirs coupables. Mansfield devient la scène du théâtre de l’ego ; les masques vont tomber et les véritables personnalités s’exprimer : la provocation de Mary, le libertinage d’Henry, la frivolité de Maria et de Julia, la folie artistique et inventive de Tom : la pièce de théâtre qu’il décide de monter reprend le thème de la corruption généralisée et met en abyme la dépravation des habitants de Mansfield et de leurs voisins, les Crawford. L’importance accordée à la demeure en tant que lieu du « crime » transparaît dans le choix du titre : comme le château d’Otrante, Mansfield est le personnage principal du livre, derrière lequel se profile l’ombre de l’esclave, présente dès le début du film par le truchement des chants funèbres qui s’échappent du cargo négrier, et parviennent à la calèche emmenant Fanny vers sa nouvelle demeure. La façon dont elle est écrasée par la caméra dans cette maison inconnue, emplie des soupirs de Lady Bertram et des chuchotements de Maria et de Julia, la chambre mansardée où la conduit sa tante et dont le mobilier disparaît sous des draps blancs semblables à des linceuls, la désignent comme la victime idéale d’un récit gothique. Les femmes, telles de nouvelles Lady Macbeth, errent dans les ténèbres, et leur somnambulisme éveillé les amène à découvrir de terribles secrets : Fanny trouve le cahier de dessins appartenant à Tom ; plus tard, lorsque, guidée par les gémissements de Tom à l’agonie, elle descend l’étroit escalier en colimaçon, sa bougie s’éteint – détail typique d’un récit gothique que Henry Tilney évoque dans Northanger Abbey – et elle ouvre la mauvaise porte, devenant ainsi spectatrice de l’adultère de Maria. Son affolement qui la conduit alors à se réfugier dans la chambre de Tom où se trouve Edmund, rappelle celui des témoins bouleversés de The Castle of Otranto. Incapable de lui révéler la cause de son émotion, elle désigne la porte d’un geste de la main ; et c’est alors qu’Edmund sort de la chambre et confond sa sœur et Henry, précipitant ainsi le dénouement. Il faut noter, à ce propos, que la sexualité représentée dans le film est caractérisée par son aspect transgressif, qu’il s’agisse des actes violents perpétrés par Sir Thomas sur les mulâtresses de ses plantations à Antigua, de l’adultère de Maria ou de la bisexualité de Mary Crawford. Mais avec sa volonté de mettre à jour les tensions sexuelles, avec ses esquisses évoquant la torture d’esclaves d’Antigua, véritables pastiches de tableaux de Goya (1746-1828), avec son architecture inquiétante et les lueurs tremblotantes des chandelles, il est vrai que ce film s’éloigne des adaptations précédentes, parfois gentillettes, ou des heritage films tournés à la manière de James Ivory. J'oubliais : les captures d'écran ont été gracieusement fournies par Mr Damien Tilney
Dernière édition par popila le Sam 24 Mai 2008, 22:34, édité 1 fois |
| | | Emjy Angel of Temptation
Nombre de messages : 6304 Age : 41 Localisation : entre Lark Rise et Candleford Date d'inscription : 05/03/2006
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Sam 24 Mai 2008, 16:19 | |
| Merci beaucoup Popila ! Tout ça est passionnant ! On ne peut pas dire que Mansfield Park 1999 n'aura pas fait couler d'encre ! Comme tu l'as fait remarquer, l'affiche du film intrigue déjà beaucoup (d'ailleurs, je trouve dommage qu'elle ne soit pas nominée au 2nd tour pour les Inn Awards , je la trouve vraiment réussie^^). Je vais lire et relire tout cela attentivement |
| | | Popila Free Spirit of Longbourn
Nombre de messages : 2057 Age : 40 Date d'inscription : 27/07/2007
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Sam 24 Mai 2008, 16:35 | |
| - Emjy a écrit:
- L'affiche du film intrigue déjà beaucoup (d'ailleurs, je trouve dommage qu'elle ne soit pas nominée au 2nd tour pour les Inn Awards, je la trouve vraiment réussie).
Oui, moi aussi, je trouve ça dommage. Je l'avais mise en première position dans mon classement : pour moi, c'était vraiment la meilleure affiche, mais beaucoup de gens sur le forum n'ont pas vu le film, et parmi ceux qui l'ont vu, certains ne l'ont pas du tout aimé. MP99 suscite des réactions très contrastées, un peu comme le roman d'ailleurs, même si les raisons ne sont pas les mêmes... En tout cas, bonne lecture, Emjy (je crois qu'il y a de quoi faire) |
| | | Copetan Romancière anglaise
Nombre de messages : 3164 Age : 47 Localisation : Entre la Cité de Calvin et la Terre Sainte Date d'inscription : 23/04/2007
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Lun 26 Mai 2008, 23:11 | |
| J'arrive avec un peu de retard pour te remercier et te féliciter sur ce superbe travail de synthèse, aussi instructif que passionnant . Je n'avait pas du tout fait le parallèle entre la façon de filmer d'Ang Lee (ou plutôt Lee Ang, si on se tient à la façon asiatique d'écrire les noms) et celle de Hou Hsiao-Hsien (bon, je dois dire que je n'ai jamais réussi à finir un film de Hou). Et moi aussi, j'ai mis l'affiche de MP 99 en première position au premier tour. Pour moi, c'était la meilleur affiche, et même d'assez loin. Elle m'a incité à lire le livre d'abord, et de voir le film ensuite, alors que je ne connaissais pas du tout l'histoire. |
| | | Popila Free Spirit of Longbourn
Nombre de messages : 2057 Age : 40 Date d'inscription : 27/07/2007
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Mar 27 Mai 2008, 00:10 | |
| Merci, Copetan ; je m'étais dit que le passage sur les paysages dans S&S 1995 avait des chances de t'intéresser - Copetan a écrit:
- Je n'avait pas du tout fait le parallèle entre la façon de filmer d'Ang Lee (ou plutôt Lee Ang, si on se tient à la façon asiatique d'écrire les noms) et celle de Hou Hsiao-Hsien (bon, je dois dire que je n'ai jamais réussi à finir un film de Hou).
Eh bien moi, c'est encore mieux puisque je n'ai jamais vu un seul film de Hou Hsiao-Hsien. Le nom me dit toutefois quelque chose... hum!Et sinon, bienvenue au club des défenseurs de l'affiche de Mansfield Park 1999... parce qu'elle le mérite! |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Mar 27 Mai 2008, 18:57 | |
| Popila merci c'est vraiment passionnant Je n'ai pas le temps de tout lire maintenant mais le peu que j'en ai lu est vraiment très intéressant donc je vais copier coller tout ça dans un fichier Word pour pouvoir le lire plus tard. |
| | | Emjy Angel of Temptation
Nombre de messages : 6304 Age : 41 Localisation : entre Lark Rise et Candleford Date d'inscription : 05/03/2006
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Mar 03 Juin 2008, 13:45 | |
| J'ai reçu le livre de Lydia Martin hier (commandé sur le site de la Fnac) est c'est vraiment un formidable ouvrage. D'habitude, je lis ce genre d'essais au compte-gouttes mais là je crois que je vais vite le dévorer. Je vous le conseille vraiment Merci du conseil Popila, sans toi je crois que je n'aurai pas connu l'existence de ce livre^^ |
| | | Mr Damien Tilney The Knight of Irony
Nombre de messages : 3463 Age : 40 Date d'inscription : 04/10/2006
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Mar 03 Juin 2008, 16:55 | |
| Tu l'as commandé Emjy ? Je l'ai vu à la fnac des Halles. Je l'ai parcouru rapidement. Je vais attendre un peu pour me le prendre, il est un peu cher. Tu nous diras ce que tu en penses. Avec deux avis on peut être facilement convaincu . |
| | | Popila Free Spirit of Longbourn
Nombre de messages : 2057 Age : 40 Date d'inscription : 27/07/2007
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Mar 10 Juin 2008, 10:33 | |
| En attendant les captures d'écran que doit réaliser Ekaterin, voici un lien vers un site très bien fait sur le cinéma Américain des années 1940 : si vous cliquez dessus, vous tomberez sur un répertoire ; il vous suffit alors d'aller à la lettre "P" et de cliquer sur "Pride and Prejudice". Vous aurez alors droit à un extrait vidéo du film dans lequel jouent Greer Carson et Laurence Olivier : il s'agit de la fête donnée par les Bingley à Netherfield, Darcy et Lizzie y échangent quelques flèches. LIEN |
| | | genny Two Lovers' Sparkling Lady
Nombre de messages : 6275 Age : 72 Localisation : A la découverte de l'Asie et de ses beaux yeux... Date d'inscription : 18/08/2006
| | | | Pivoine Pauvre gouvernante
Nombre de messages : 19 Age : 67 Localisation : Bruxelles Date d'inscription : 22/07/2008
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques Jeu 31 Juil 2008, 12:57 | |
| Un grand merci, je trouve ces références et ces analyses absolument remarquables ! |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Jane Austen au cinéma : livres critiques | |
| |
| | | | Jane Austen au cinéma : livres critiques | |
|
Sujets similaires | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |
|