Le fantôme de l'Opéra

Rohhhh, il fait du sport chez ma jumelle Lady Clare ???

Chère soeur, vous m'aviez caché cela...

Je n'ai point à vous faire la morale, il fut un temps où moi aussi je pratiquais du sport en compagnie de notre cher Erik...

Mais un certain RA a détourné mon coeur et mes pensées de lui.

Nul doute que de le voir à nouveau sur scène à Londres en avril va raviver ma flamme...

merci bien Accalia, moi qui voulait rester discrète!!!
Il est en pleine forme (mais tout propre quand même, il y a la douche chez moi...), je te l'envoie donc...à ta mystérieuse adresse...

Accalia, tu peux me l'envoyer ensuite ??? Tu seras un

Ben oui, je me sens hyper en forme ce matin et en manque de câlinous...

Ma chère April, je vous trouve un tantinet gourmande et bien légère, vous prenez, vous laissez, vous reprenez... Croyez-vous qu'en abandonnant Sir Guy de cette manière, vous allez le retrouver intact??? Que nenni, il sera chez moi, épuisé, ravi, heureux, et je refuserai de le rendre!!!!

Genny, April aussi est une "two Lovers' Sparkling lady"....

Certes, mais il faut les aimer en même temps, pas l'un après l'autre!!!!

(Ca me fait penser que je vais changer de look, pauvre RAAAAAAAAH!!!

je pense que c'est le cas d'April...elle a le coeur bien grand, comme toi!!

Eh oui, nous sommes passionnées autant l'une que l'autre!!!

genny a écrit:

Certes, mais il faut les aimer en même temps, pas l'un après l'autre!!!!

Mais je les aime en même temps !!! C'est juste qu'en ce moment, il y en a un qui a un léger avantage...

Et puis, j'ai bien senti il y a 2 semaines lors de la visite à l'Opéra Garnier que mon petit coeur faisait des "boum boum"... en particulier en regardant une certaine loge no 5. Ahhhh, que de souvenirs...

lady Clare a écrit:

je pense que c'est le cas d'April...elle a le coeur bien grand, comme toi!!

Vouiiiii, j'ai un coeur assez grand pour mes deux chouchous.

genny a écrit:

Eh oui, nous sommes passionnées autant l'une que l'autre!!!

Exactement Genny.

Passionnée, c'est mon 3ème prénom. Le 2ème étant le même que la cruche de service... et je ne sais pas si je dois en être flattée ou non.

Je viens de voir l'excellente adaptation du Fantôme de l'Opéra version 1990, grâce à ma chère Clélie.
Il y a beaucoup de choses à dire, en même temps beaucoup de choses ont déjà été dites sur ce topic, je ne vais donc pas être très originale...
Tout d'abord, je dois dire que j'ai été très surprise des libertés prises par rapport au livre (j'étais prévenue, mais quand même). Avec la version de J. Schumacher, on sait que c'est une adaptation de la comédie musicale, donc on est moins étonnés! Sinon, le nom du réalisateur m'a interpellée aussi, Tony Richardson, metteur en scène du génial Tom Jones avec Albert Finney, un de mes films préférés.
Voir les lieux mêmes de l'Opéra de Paris est très plaisant, même si à un moment il m'a bien semblé reconnaître le foyer de la Comédie française (et même les stores rouges des Galeries Lafayette en arrière-plan).
Le personnage d'Erik est fascinant. L'interprétation de Charles Dance est très émouvante. Il est toujours digne, tour à tour cruel, tourmenté, passionné, violent, doux...sublime. Je l'adore. De même, sa série de masques m'a beaucoup impressionnée et j'ai aimé qu'on ne voit jamais son visage. Sa relation avec Christine est ambiguë, j'aime leurs scènes en commun, où elle l'appelle Maestro, j'aurai aimé voir plus de leçons de musique entre eux.
Quelques détails m'ont gênée dans la vie personnelle d'Erik, notamment le fait que dans les flash-backs,

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Mes deux scènes préférées sont celles du pique-nique, j'ai vraiment eu foi en Christine, mais elle

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et la scène où ils chantent le Faust, j'en avais les larmes aux yeux..
Mon avis sur Christine ne va pas s'améliorer puisque encore une fois,

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J'ai eu quelques flashs aussi, la scène où Christine est chassée avec son père fait écho à Cosette et Jean Valjean, la scène où Christine rêve du Poto fait penser à La belle et la bête de Cocteau...
Les seconds rôles sont assez efficaces, notamment Carlotta , énervante et pathétique à souhait... Le vicomte, , la coupe de cheveux qui tue!!! désolée, mais c'est tout ce que je retiens de lui...
En conclusion, une excellente adaptation, à voir ne serait-ce que pour l'interprétation magnifique et sensible de Charles Dance.
Merci Clélie,

Mais de rien, ma chère Lady Clare

Je suis vraiment ravie que cette version t'ait plue autant qu'à moi. Pour ma part, je la préfère peut-être même à celle de Shumacher. Il est vrai qu'elle prend beaucoup de libertés par rapport au roman, que ce soit au niveau de la trame ou du caractère des personnages principaux, puisqu'on leur créé un passé bien différent du roman original, ou plus simplement parfois, inexistant.

je suis assez d'accord avec toi au sujet de la relation d'Erik à ses parents.

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Quand on y pense, Erik est né à l'opéra, y a vécu, y est mort. Il n'en est quasiment jamais sorti, à ce que l'on en sait. C'est particulièrement tragique comme existence... Au moins, le fantôme de Leroux a vécu avant sa vie à Garnier, il a existé (mais s'il n'a pas été quelqu'un de très recommandable). Sa vie retirée est un choix personnel, finalement. Même si sa nature le contraint à vivre dans l'ombre, il a choisi cette solution pour se cacher de ses semblables. Hormis le fait qu'il apprécie particulièrement de terrorriser son monde, histoire qu'on n'ait jamais l'envie de venir voir ce qui se passe dans les caves...

Quant à Christine, eh bien, c'est sans doute la version où je la trouve la moins cruche et la moins cruelle finalement. Il y a une vraie douceur et une belle honnêteté qui se dégage de Teri Polo, et même si je reconnais qu'elle choisit cette andouille plein de bouclettes blondes , je lui en veux beaucoup moins que dans les autres versions. Parce qu'il existe un certain amour entre elle et Erik, quelque chose de très fusionnel, un sentiment qui dépasse les limites du réel. Cela est bien représenté par le rêve, que tu mentionnes dans ton post, comme un rappel au mythe de la Belle et la Bête mis en scène par Cocteau

Charles Dance est un acteur sublime, il a donné une dimension très mélancolique et très tendre au POTO qui n'existe pas dans les autres adaptations, ou du moins, qui n'est pas aussi marquée. Dans mon petit coeur romantique, c'est sans doute la chose qui m'a le plus touchée : cette résolution triste et désespéré, cette acceptation de la douleur. Car même après ses instants de furie, il redevient aussitôt d'une tendresse à fendre l'âme.

Et à chaque fois, la scène de Faust finale me met dans tous mes états... cela va sans dire...

C'est vraiment un régal de rediscuter de cette adaptation avec vous... Merci pour ton post très intéressant, ma chère Lady Clare

Clélie! enfin un peu de sérieux dans ce topic!! Je plussoie sur tout ce que tu as ajouté, Charles Dance est sublime, j'en attendais beaucoup et je n'ai pas été déçue. Bien loin de là, il me manque déjà...
Quel personnage fascinant et toutes ces variantes nous permettent justement d'en explorer plus de facettes. Celle-ci me convient très bien.
Teri Polo est très juste en Christine, bien que elle fasse un peu trop "pauvrette" au début avec visage astucieusement sali et vêtements légèrement déchirés! L'actrice est très expressive et très jolie, elle a des petits airs de Jodie Foster. J'ai juste trouvé que pour l'époque,

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Le vicomte n'est pas swoonant, tant mieux, mais ces bouclettes et sa façon de les secouer , je ne m'en remets pas!!

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Et puis, je suis parfaitement d'accord, je ne trouve absolument aucun charme à sa coupe de cheveux...

Comme tu le dis si bien, le personnage est tellement fascinant et complexe que l'on peut en donner beaucoup d'interprétations différentes. Ce qui me plaît beaucoup chez Charles Dance, c'est qu'il l'a fortement nuancé. A l'origine, Erik est un personnage des extrêmes : sa vie est une passion de tous les instants que ce soit dans l'amour comme dans l'art. Sa frustration en est donc d'autant plus grande. Il aime et il déteste avec passion. C'est ce qui fait sa richesse et constitue son paradoxe.
Cela me fait penser à l'une des répliques que le Daroga adresse à Erik dans la version de 1991, qui m'avait fait sourire : "Exaltation cannot be a full-time occupation".

Charles Dance offre un fantôme plus doux, aux apparences moins violentes et moins instables. Je dis bien "apparences", car les différents meutres

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sont bien là pour laisser planer le sentiment de menace et d'incertitude. On ne le voit jamais agir, comme si on voulait encore faire croire au spectateur qu'il n'est peut-être pas coupable... Ou comme pour entretenir encore un peu son statut quasiment mythique d'être insaisissable et pseudo-spectral...

Merci pour cette belle conversation, Lady Clare !

Coucou les filles,

Je délaisse pour un instant mon élu no 2 pour revenir sur l'élu no 1. Enfin, quand je dis "sur", je parle de son topic, pas de l'élu en question. Sorry, je n'ai pas pu m'empêcher...

Merci pour ce bel échange de commentaires.

Lady Clare, je suis ravie que cette version te plaise.

Je ne vais pas répéter ici tout le bien que je pense de cette magnifique adaptation de 1990 avec l'excellent Charles Dance et la douce Teri Polo, je l'ai déjà dit maintes fois sur ce topic.

Je la préfère même à celle de 2004. Si, si, je vous assure. J'aime beaucoup le film de Schumacher, car j'ai une affection toute particulière pour la comédie musicale de Webber, qui a été un vrai coup de foudre musical pour moi, mais il y a plusieurs petits détails qui font que je préfère mille fois la version sur scène que celle sur grand écran.

Et même si dedans, il y a ce sublime acteur écossais et sa voix de velours et la toute choupinette Emmy Rossum.

Tout comme vous, le fait que la maman d'Erik ait le même visage que Christine m'a quelque peu "gênée", mais pas plus que ça. Et je suis à chaque fois très émue, je verse même ma petite larme, lors du duo final entre Charles Dance et Terri Polo. C'est bien la seule Christine que je n'appelle pas "Miss Cruche".

Il est vrai que leur duo sur Faust est fabuleux, la deuxième partie du téléfilm a d'ailleurs une intensité dramatique croissante jusqu'à cet instant ultime, et oui je vais jusqu'au bout de ma pensée, on pourrait y voir une métaphore de relation (je ne dirai pas physique, c'est un topic sérieux), mais en tout cas fusionnelle. Ils n'ont jamais été aussi proches qu'en cet instant, ils ne se sont jamais aussi bien compris, ils ne seront jamais aussi en phase avec quelqu'un d'autre, quoiqu'il arrive...Même le vicomte l'a compris, il suffit de voir sa tête... C'est une scène extraordinaire.
Il est également vrai que Teri Polo est la Christine la moins "cruche" que j'ai vue jusqu'à présent, bien que je ne lui pardonne pas

Spoiler:

Pour les meurtres, c'est vrai Clélie, ils passent presque "à la trappe", je t"avoue que je n'y ai guère prêté attention, d'ailleurs, j'ai trouvé le personnage de Jean-Pierre Cassel assez inutile...

Une scène magnifique également, c'est à la fin, lorsque Christine enlève le masque du Poto qui se meure et l'embrasse avec une infinie tendresse.

Je trouve aussi très intéressant qu'on ne voie à aucun moment le Poto sans son masque.

Oui c'est une belle scène mais ça ne l'empêche pas dans les secondes qui suivent de partir bras dessus bras dessous avec le vicomte...

Ben le Poto, il est juste un tout petit peu décédé... Donc, vivre avec un "fantôme" (sans jeu de mots svp ), ce n'est pas ce qui est le mieux pour une jeune fille.

April a écrit:

Ben le Poto, il est juste un tout petit peu décédé... Donc, vivre avec un "fantôme" (sans jeu de mots svp ), ce n'est pas ce qui est le mieux pour une jeune fille.

C'est vrai, mais bon, elle n'est pas très triste...et puis le vicomte

Ah ça, je te plussoie à fond !!!

Il fait très Monsieur "L'Oréal, parce que je le vaux bien", s'il secouait ses cheveux.

Tu as merveilleusement décrit la scène du duo sur Faust, Lady Clare. Tu as tout dit

Spoiler:

En effet, c'est sans doute le moment où on lui en veut le plus. Ce qui est touchant, c'est qu'elle est persuadée qu'elle pourra résister à la vue de son visage. Le fait qu'elle échoue, eh bien, c'est tout à fait atroce pour lui... C'est tout de même (je pense) la seule adaptation où le fantôme enlève son masque sans que Christine ne le lui arrache. S'en suis des réactions de fuites, de cris de la part de cette dernière, qui provoque une réaction plutôt brutale d'Erik dans tous les cas...
Ici, il a plutôt une réaction de violence désespérée, mais pas directement dirigée contre elle (puisqu'elle s'est évanouie, ça change beaucoup la donne)... Même si je pense qu'il lui a fait la peur de sa vie, en l'enfermant dans une cage, puis en la poursuivant dans les caves, elle se rend compte assez vite qu'elle est fautive, qu'elle n'a rien compris, qu'elle n'a pas été assez forte pour le supporter, etc.

J'aime beaucoup cette Christine, car elle est juste et tendre. Le plus paradoxal dans l'histoire est qu'elle s'amourache d'un homme à bouclettes ( ) avec qui je ne suis pas franchement certaine qu'elle aura un avenir tranquille... L'amour qui la lie à Erik (car c'en est un, elle le dit elle-même) est trop beaucoup pur et irréel pour qu'il puisse réellement exister, ce qui me fait un peu penser à l'extrait suivant de l'épilogue de Pygmalion de GB Shaw : "his relation to her is too godlike to be altogether agreeable"

Enfin, je suis certaine que vous voyez ce que je veux dire...

Ce qui est sublimement beau dans cette version, c'est l'instinct de tendresse mutuel qu'ils éprouvent l'un pour l'autre, c'est la communication tacite de leurs âmes si semblables.
On se demande comment Christine peut encore avoir un regard pour un homme volage qui l'a traité au même titre que ses autres maîtresses... Peut-être a-t-elle besoin d'un amour bien concret, bien terrestre, bien réel pour qu'elle se sente en vie...
Il faut dire aussi qu'Erik, malgré son amour pour elle depuis le début, l'a un peu repoussée (voir ses réactions diverses quand elle le touche). Lui-même ne sent pas vraiment vivant... (même s'il n'est pas un fantôme, il vit tout comme s'il en était un)... alors peut-être n'accepte-t-il que difficilement le fait de revenir à la vie ?

Il est vrai que le personnage de JP Cassel n'apporte pas grand chose, mis à part que je lui trouve beaucoup de classe
Par contre, j'aime beaucoup Ian Richardson (qui a interprété Sherlock Holmes aussi, il faut le savoir ), qui interprète un personne "dédramatisant". Il apaise l'atmosphère lugubre de certaines scènes, par sa gestuelle et son jeu pus léger.


@April : enfin de retour sur le topic du POTO ! Le pauvre commençait à se désespérer tout seul au fond de sa cave humide...

Clélie, comme tout cela est magnifiquement exprimé, c'est dur d'intervenir après toi. C'est vrai que cette Christine est plus sensible, peut-être amoureuse, en tout cas, réellement touchée par Erik, elle dit qu'elle connaît son âme...Ce qui me fait m'interroger moi aussi sur ses motivations à finir avec le vicomte, peut-être que cette version aurait gagné en profondeur à être enfin une version où "la cruche de service ne part pas avec l'andouille de service" pour paraphraser la spécialiste mondiale du Poto on stage.
On aurait pu avoir une fin à la tragédie grecque comme dans Bérénice, où chacun part de son côté...

merci ma chère Lady Clare, j'en rougis
mais tu en parles très bien aussi, avec tout l'enthousiasme d'un visionnage tout neuf.

Que Christine et Erik vivent un amour absolu, qui se suffit à lui-même, c'est finalement ce qui nous fait le plus rêver, non ?
S'ils finissaient ensemble, leur relation aurait-elle toujours un attrait pour nous, les phans, qui sommes des adoratrices des grandes amours tragiques et contrariées ?
Ce qui est admirable dans la version de Webber - et pour faire le rapprochement avec la pièce de Racine, que tu cites à très juste titre - c'est que les deux protagonistes se séparent sans se réfugier dans la mort... comme Titus et Bérénice. C'est d'une tristesse à fendre l'âme, mais c'est très beau.

La fin du POTO dans la version avec Charles Dance est très tragique également et elle n'a pas la même dimension. Erik n'a plus envie de vivre, puisque sa seule raison de rester encore dans ce monde ne pourra jamais totalement revenir à lui. Le vulgaire amour terrestre de Christine pour cet andouille à bouclettes l'en empêchera toujours. C'est ainsi, il n'y peut plus rien. Quant à se faire arrêter par le police, se faire sans doute traiter comme un criminel illuminé, il ne le supporterait pas. Il est au-dessus de ça... Quitter l'opéra et fuir, pour lui, c'est hors de question. Il fait partie intégrante de l'édifice, il y est né, y a vécu, il y mourra. Loin de l'opéra, on peut penser qu'il aurait dépéri.

EDIT : oh, mince, je viens de dépasser les 5000 messages, je n'avais pas vu

Mes copines de moââââ, je suis totalement en admiration devant vos analyses.

Parce que bon, même si je me débrouille pas mal en fics (d'après certaines que je ne nommerais pas ), je crois que je serais tout à fait incapable d'écrire des commentaires comme les vôtres.

Clelie a écrit:

@April : enfin de retour sur le topic du POTO ! Le pauvre commençait à se désespérer tout seul au fond de sa cave humide...

Erik, mon coeur, mon amour... Je suis de retour.

Et je vais enfin pouvoir revoir ce spectacle que j'adore... plus que 2 semaines d'attente !!!

lady Clare a écrit:

"la cruche de service ne part pas avec l'andouille de service" pour paraphraser la spécialiste mondiale du Poto on stage.

Vouiiiiii, c'est moi, ze folle qui a vu le spectacle un nombre incalculable de fois.




EDIT : Bravo Clelie pour tes 5000 messages. C'est vrai que ça va vite. En janvier, j'ai atteind les 1800 post et depuis que je connais RA, c'est monté en flèche, j'ai dépassé les 3000 !!!

Clélie, encore une fois, tu as tout si bien dit... (félicitations pour tes messages )
April, oui c'est toi et tu écris très bien, quel que soit le sujet...
J'ajoute que je me suis commandé la version avec Claude Rains, que j'ai vue il y a longtemps -et oubliée-, mais analyse à suivre tout de même...et bientôt le spectacle à Londres, juste après notre spécialiste...
Topic magnifique que celui-ci que nous allons continuer à hanter donc et assidûment!