Nord et Sud... La mode selon le jour, l'évènement, la classe et le lieu.

tu mets telle la tournure

Je ne sais pas si la tournure avait plus pour but de maintenir les jupe ou de modifier la silhouette, et donc un rôle purement ornemental. Ou alors ce rôle ornemental en gonflant à outrance le postérieur a supplanté progressivement le rôle utilitaire.
Mais il me semble que lorsque les tournures ont commencé à se répandre (d'abord discrètes puis de plus en plus volumineuse), la crinoline à larges cerceaux était déjà sur le déclin.
Mais il y a des différences suivant les pays peut-être. Aux Etat-Unis, les crinolines volumineuses étaient très répandues à la veille de la Guerre de Sécession. En France à cette époque il me semble qu'elles avaient déjà cédé le pas à des jupes plus droites agrémentées de tournures. Mais je me trompe sans doute.
J'étais assez calée sur ce sujet il y a quelques années, mais comme je ne m'en sers pas tous les jours...

Selen a écrit:

Tatiana a écrit:

Mais comme tout le monde est censé ignorer la visite de JT

Il n'est tout de même pas rentré et monté tout seul au salon! Et quelqu'un l'a bien annoncé pour que Margaret s'y présente elle-même avec son visage de carême.C'est la proposition que Margaret n'a pas cru bon de porter à la connaissance de son père, mais la visite de JT n'est pas clandestine.

Oui tu as raison Selen je me suis mal exprimée. Mais quand même, Margaret préfère ne pas parler de sa visite, quitte à se lever soudainement et à quitter la pièce sous les yeux de son père et de Mr Bell lorsque leurs questions deviennent trop gênantes... Elle aurait pu "inventer" un motif pour sa visite (même si je vous accorde que ça n'aurait pas été très "ladylike" ).
Enfin c'était juste pour souligner la présence de gants de JT pendant la proposition !

ceci répondra peut-être à ta question MissAcacia : extrait du livre "Sous l'empire des crinolines" de l'exposition dont parle Tatiana.

Citation :

Symbole du Second Empire, la crinoline apparaît dès 1830 avec l'utilisation de jupons en crin qui font gonfler les jupes. Ils seront remplacés en 1856 par la fameuse cage à fanons de baleine, puis substitués par une armature métallique. Le succès de cette dernière sera immédiat : en France, 5 millions sont confectionnés en 1860. Sa forme évolue également. D'abord ronde, elle est ensuite plate devant et se projette loin vers l'arrière. Puis, à partir de 1867, une "demi crinoline", plus étroite, s'impose.
Souvent comparée aux coupoles en métal et en verre la crinoline témoigne de la passion de l'époque pour le volume. Cependant, ce qui frappe surtout c'est l'exubérance de la silhouette, l'emploi récurrent des volants, l'accumulation des étoffes et des ornements, l'éclectisme des décors où se mêlent historicisme et orientalisme, où le bleu vif côtoie le rose pastel.
Mais au delà du port de la crinoline, de la rapidité des transformations de la silhouette, de la diversité des sources d'inspiration, la mode du Second Empire reflète les changements survenus en France depuis le début du siècle.

La guerre de sécession éclate en 1861 termine en 1865 et dans le film, Scarlett commence habillée avec la crinoline ronde pour terminer avec la plate à tournure... comme chez nous,.

Worth à ce moment là est le pape de la mode et fait la pluie et le beau temps, les industriels qui fabriquent ces objets le suivent et le monde entier est à la page en même temps...

Tatiana Margaret est trop droite pour mentir, et trop jeune aussi... elle ment pour son frère, et se tait pour John... c'est suffisant et de plus il vient souvent.

Donc John porte des gants, mais elle non, elle va chez les Higgins et arpente les rues non gantée... il me semble.

MissAcacia a écrit:

Aux Etat-Unis, les crinolines volumineuses étaient très répandues à la veille de la Guerre de Sécession.

Pour connaître un peu cette époque (heu non je ne suis pas aussi âgée ... ) les crinolines étaient effectivement volumineuses jusqu'en 1875 (enfin environ) où l'on voit apparaître les robes tournures mais là je ne parle que des Etats-Unis!

On voit apparaître les robes à tournure plutôt que 1875 dans certaines familles aisées mais cela reste assez rare avant 1870.

Fée clochette a écrit:

...extrait du livre Sous l'empire des crinolines

Qu'il est bien ce texte! tu peux nous donner les références exactes du bouquin? Ou d'un site qui le présente?

L'exposition est terminée mais je pense que tu peux te procurer le catalogue sur le net à cette adresse...

Sous l'empire des crinolines

Exposition, Musée Galliera, Paris, du 29 novembre 2008 au 26 avril 2009
trop tard....


Catherine Join-Dieterle , Françoise Tétart-Vittu

Paris-Musées

* Prix public : 39,00 EUR
* Prix eyrolles.com : 37,05 EUR

*
* Généralement disponible entre 2 et 7 jours

eyrolles.com le propose ou sinon, lorsque l'on ne peut pas satisfaire son envie, il reste à contacter le musée Galliera
Selen

Et si l'on parlait ses lieux.... tout ne se passe pas seulement entre Margaret et John.... à Milton, Londres ou Helston.... Elisabeth Gaskell nous entraîne dans le monde industriel par le biais des Industries Textiles du Nord, et nous parle de ce qui à étonné le monde entier : The Great Exhibition (Great Exhibition of the Works of Industry of all Nations), c’est tellement important pour l'Angleterre que Mrs HALE tient absolument à envoyer sa fille Margaretà la demande de sa soeur, c’est un passage que je trouve étonnant.

Cette femme est malade, je la trouvais bien incolore, elle s’impose à moi comme quelqu’un de curieux, qui si elle avait été en bonne santé, aurait aimé certainement aller visiter cette exposition universelle. Elle s’intéresse donc au monde : est-ce superficiel ou non.

Elle veut éloigner Margaret, c’est la raison profonde peut-être, mais non. Elle ne peut pas se déplacer et elle veut que sa fille vive et témoigne ensuite du progrès et de la puissance de l’Angleterre. Là dans cette partie elle me plait. C’est une femme qui sans doute vient d’un milieu qui s’intéressait à l'avancée du monde, puis enfermée dans une cure s’est tenue au courant et pousse sa fille partir. Mais peut-être que je me trompe.

Qu’est-ce que la Grande Exposition de 1851 de Londres ? pour ce que j'en sais et vraiment c'est succinct :

C’est un projet grandiose, conçue par le Prince Albert de Saxe Cobourg-Gotha si cher à la Reine Victoria.

Secondé par des hommes qui croient dans l’initiative tel Henry Cole employé aux archives.


Cristal Palace sera en fonte et verre édifié dans Hyde Park et a été créé par un génie Joseph Paxton, chef jardinier à Chatsworth dans le Derbyshire (très Lambtonnien n’est-ce pas) et ami du propriétaire William Cavendish 6e duc du Devonshire… Paxton avait déjà construit des serres pour le Duc qui faisaient l’admiration des visiteurs, et tout naturellement l’on recherchait un tel savoir faire.

Il fallait que ce soit solide, simple et rapide dans la construction et lumineux en un mot moderne et nouveau. Tout ce que savait faire Paxton. Le challenge était audacieux, 5000 ouvriers y travaillaient sans être très payer, mais l’époque ne considérait pas cela scandaleux. Nord et Sud nous parlent de la condition ouvrière de ses difficultés, mais la prise de conscience de tous pour l’amélioration de ces personnes n’étaient pas encore dans l’air du temps.
L’Angleterre enthousiasmée par cette création s’est mise au travail, il fallut 84 000 m2 de verre fournis par l’entreprise des frères Chance de SMETHWICK Birmingham, ils employèrent même dit l’histoire des ouvriers français pour respecter les délais.
Le couple royal et l’Angleterre vibraient à l’idée d’une telle rencontre internationale pensez-donc 13 937 exposants du monde entier arrivent et montrent ce qu’ils savent faire le mieux.

Un gigantesque supermarché et les réalisations britanniques figuraient en bonne place, c’était tout de même un sacrée histoire de Marketing !
Il y avait de tout, et des amusements aussi comme des dinosaures de tailles réelles en attractions Bref, le pays montrait ce qu’il y avait de mieux en porcelaine, cristallerie, ferronnerie, machines vapeur, construction navale et chemin de fer, presses hydrauliques et armes à feu, instruments de musique et métiers à tisser….. bref, une caverne d’Ali Baba mondiale.

La Reine Victoria ayant demandé un dessert nouveau elle stimula un grand nombre de confiseur et son choix tomba sur la jelly c'est simple du jus de fruit et de la gélatine, cela eut un succès fou et ce succès perdure... moi j'adore, merci Victoria... hey j'assume !

Je comprends vraiment que Mrs Hale ait insisté pour que Margaret assiste à cela, et surtout, s’immerger dans ce genre de lieu devait la faire assez rêver pour qu’elle demande à vivre une aventure par les yeux et la mémoire de son enfant.

Maintenant cela nous paraît peut être surfait cet engouement, mais l'Angleterre était la plus grande puissance d'Europe et l'Exposition fut une magnifique vitrine pour le pays.

si j'ai dit d'énormes bêtises, signalez les moi ! merci !

Je suis impressionnée Fée Clochette. Merci pour toutes ces recherches.

Peut-être qu'elle l'y envoie tout simplement pour pouvoir dire "j'y étais". Ca a été un événement majeur, il fallait qu'elle y soit, même par procuration... Je reste un peu sur la personnalité de la Mrs Hale du livre, que je ne crois pas curieuse. Je suis sûre que si elle y était allée, rien n'aurait été à son goût: trop de bruit, trop chaud, trop froid... Mais il faut qu'elle soit au courant!

C'est bizarre cette idée généralement répandue que la reine Victoria était austère et rétrograde. On s'aperçoit au contraire qu'elle (et son mari) ont beaucoup innové!

Fée clochette a écrit:

si j'ai dit d'énormes bêtises, signalez les moi ! merci !

Oui, là!

Fée clochette a écrit:

Donc dans Nord et Sud si vous avez des mains gantées, n'hésitez pas à le préciser, quant à P&P 05 !!! il me semble que j'ai aperçu Darcy avec une paire de crispin brun de cavalier à la main, mais c'est tout.

Quant aux soeurs Bennet 05 je ne me souviens plus, peut-être lors de la visite de Netherfield.

En fait, il y a plus de main gantées dans P&P2005 que tu ne le penses.. Carolyn Bingley auX balS porte des gants. Jane quand elle arrive à Netherfield, quand elle en part. Mrs Bennet et ses filles en visite à Netherfield et lors du défilé. Au bal à Netherfield, Charlotte, Jane, Mary et Mrs Bennett portent des gants. Et puis, il y a deux scènes où les personnages tiennent leurs gants: Mrs Wickham en visite à Longbourne et Mr Darcy himself, qui tente d'en faire de la charpie lors de sa visite à Elizabeth à Hunsford.
Liste non exhaustive, j'ai regardé hier soir très tard en brodant, il se peut que j'en aie loupé.....

Fée clochette a écrit:

Elisabeth Gaskell nous entraîne dans le monde industriel par le biais des Industries Textiles du Nord, et nous parle de ce qui à étonné le monde entier : The Great Exhibition.

Scusi, madame la Fée, mais je crois qu'il n'y a qu'une allusion à l'Exposition, dans le roman, et encore je ne suis pas sûre.

C'est la scénariste, donc, qui envoie Margaret à l'Exposition. J'avoue que pour moi le vœu de Mme Hale n'est qu'un prétexte dans l'adaptation, mais cohérent vu que c'est ainsi qu'elle se comporte quand elle envoie son mari et sa fille au dîner des Thornton.

J'avais repéré d'autres motifs à ce passage: montrer bien sûr THE Great Exhibition of the Works of Industry of all Nations, une bonne idée je trouve, puisque l'adaptation a forcément pour elle les avantages du visuel. Mais aussi y caser une partie des discours sociaux que John tient à la fin du livre dans le salon des Lennox, et qui disparaitraient sinon complètement.

Selen, dans le roman ou l'adaptation, l'allusion pour l'Exposition Universelle est rapide et comme tu le soulignes, un bon prétexte pour faire parler John T. puisque l'adaptation change la fin.

Mais pour en revenir à Mrs Hale, vous avez peut-être raison : ne pas décevoir sa soeur, et comme vous dites, être là au bon moment, je me plante bien dans les sentiments de Mrs Hale, moi qui pensais qu'elle était intéressée, donc c'est juste pour la façade vous êtes plus clairvoyantes que moi.

Quoiqu'il en soit, cela nous permet de voir John au travail en représentation, important, en homme qui compte j'aime bien l'idée moi, et cela influe donc sur l'esprit de Margaret à ce moment là car elle a l'air gêné d'être avec sa famille et des amis qui prennent si peu en considération l'industriel et parle de tâter du coton comme de partir en promenade tâter une ascension du Snowdon.

Vois-tu Fred, je ne m'étais hypnotisée que sur les mains nues et c'est assez souvent dans P&P 05... comme une midinette la montée en voiture mumm, j'aurai bien mis ma main dans la sienne qu'est-ce que je raconte c'était MA main

OUBLIER Darcy qui fait de la charpie avec ses gants carrément il faut que je révise...

Sinon, dans mon tableau idéal de la mode, il y a les gants, les chapeaux, les robes, les chaussures... et les ombrelles ! pas vu d'ombrelle, j'ai occulté ou sont-elles absentes ? ...Nord et Sud pas d'ombrelle
et P&P je ne me souviens de rien, pourtant c'était un article indispensable aux femmes... peut-être Fanny OU la mère de John. roulement de tambour, je suis comme ce poisson rouge

April, je m'instruis depuis que j'ai vu Nord et Sud un jour grâce à une chouette amie au grand coeur là bas loin de chez moi.

Fred a écrit:

C'est bizarre cette idée généralement répandue que la reine Victoria était austère et rétrograde. On s'aperçoit au contraire qu'elle (et son mari) ont beaucoup innové!

ah ! Albert me semble très moderne, la rigueur allemande, peut-être... est-ce ça l'austérité...

Fée clochette a écrit:

Mais pour en revenir à Mrs Hale, ... vous êtes plus clairvoyantes que moi.

Non, non, certainement pas, comment être clairvoyante si l'on ne voit tout simplement pas? Tu vois un portrait de Mrs Hale, je n'en vois pas, ce qui ne veut pas dire que le tien n'est pas crédible!

Je soulignais simplement que je ne creusais pas la question parce que pour moi l'idée d'envoyer Margaret à l'exposition n'est pas une exploration de la psychologie de Mrs Hale. Je n'arrive pas à prendre l'adaptation comme base de réflexion sur ce qui vient au départ du roman. Et dans le roman elle n'envoie pas Margaret à l'Exposition, c'est tout. Je ne sais pas si je suis claire? Je n'arrive pas à "penser" que la scénariste ait creusé le personnage en faisant cela, mais cela ne veut pas dire qu'elle ne l'ait pas fait, en tout cas toi tu l'as fait, ça te parle. Et le lecteur, ou le public, crée l'oeuvre lui aussi!

Citation :

Quoiqu'il en soit, cela nous permet...

Bien d'accord, j''étais ravie de la balade à Crystal Palace, ce passage est une heureuse idée de la fameuse scénariste, quoique certaines ne partagent pas cet avis, voir sur le topic du marathon, qu'on est en train de refaire, aïe...

Très heureuse idée d'introduire dans l'adaptation The Great Exhibition, résultat, je traque depuis trois années toutes les informations sur le sujet, et c'est absolument passionnant. euuuuh ... pour moi on peut très bien trouver ça très ennuyeux

Fée clochette a écrit:

...Nord et Sud pas d'ombrelle

En même temps, vu le temps radieux qu'il fait à Milton...
Sans compter la difficulté de tenir de la dentelle blanche fraîche dans cette ambiance de suie et de fumée (voir le travail que donnent les rideaux à Margaret qui passe pas mal de temps à les laver, les repasser et les empeser pour que le salon ressemble à quelque chose quand JT vient voir son père)

Dans P&P2005, il y a une ombrelle assez minuscule et il me semble que c'est Jane qui la tient mais je ne sais plus dans quelle scène.

Je rejoins Selen sur l'expo (même si ce passage apporte un peu de diversité dans les décors de l'adaptation, permet aux deux rivaux de se jauger et marque le début du revirement miltonien de Margaret) mais, Fée Clochette, ton post sur ce grand évènement est très intéressant, tout comme cette rubrique multiculturelle sur l'époque où se situe le roman. On devrait faire ça plus souvent .

Me revoici avec mes problèmes de traduction -en même temps je ne vais pas être hors-sujet.
Il s'avère après consultation de mon pool personnel de professeurs d'anglais que ma première traduction (que je vous avais épargnée) était la bonne. Si j'avais douté c'est que l'information me semblait fausse.

Je voudrais donc faire appel maintenant au gang lambtonien d'expertes ès crinolines sur la crédibilité de l'info en question:
une fois la mode des grandes crinolines cloches passée, on appelle crinolines tous les releveurs de robe AUTRES que les "bustles" ou tournures (dites aussi poufs ou faux-culs).

Ça vous dit quelque chose? Quelqu'un peut confirmer ou infirmer?
D'avance merci !

MissAcacia, malgré le temps, les ombrelles faisaient partie intégrante de la femme pour sortir visiter, mais faut-il pour l'Angleterre la substituer au parapluie. (milles excuses pour nos amis d'Albion ) il manque aussi le manchon très pratique pour donner un attitude et se réchauffer les mains les jours de grands froids, mais il en existait de léger pour parader et arriver dans le salon... et lorsque l'élégante le posait, elle apparaissait munie d'un éventail.

L'éventail était si important pour les jeunes filles, qu'il permettait de communiquer avec les jeunes gens par de légers signes de branches de l'éventail, n'ayant pas assez manier l'éventail ... je ne m'étend pas mais comme dirait encore MissAcacia, il ne fait peut-être pas assez chaud à Milton.

* Bustle ou tournure pouvait être aussi appelée crinolinette.


J'appelle au secours toute modératrice experte, je n'ai pas réussie à mettre le lien que je colle ci-dessous, avec votre petite flèche ronde qui va directement sur le net et ne déforme pas vos écrans.... l'informatique et moi j'vous jure !!!!

http://www.avictorian.com/sitemap.html

c'est tout à fait instructif...

Merci pour ce lien Fée Clochette! Il va aller directement dans mes favoris!

J'aime aussi dans l'adaptation l'allusion au langage des fleurs deux fois, la première de la part d'Henry, la seconde de la part de John T. et ces deux fois n'ont pas la même signification.

la première.... Henry l'offre sur place pour montrer son intérêt et elle hésite un peu avant d'accepter.

la seconde fois.... John T. a pris la peine d'aller la cueillir sur place à Helston, c'est vraiment je pense à vous toujours et je vous aime avec passion...



http://www.victorianbazaar.com/meanings.html

merci pour les liens Fée Clochette ...

(au fait surement que cela a déjà été dit mais la "fleur/rose jaune d'Helstone dans l'adaptation bien sûr provient de quel arbre si quelqu'un sait ?!)

il est dur le réveil L_Alex le rosier est un arbuste, seulement ce qui t'induit en erreur, c'est que John le cueille sur une haie monumentale... donc tu as l'impression que c'est un arbre... Un rosier non taillé peu prendre des proportions impressionnantes.

j'avoue j'y connais rien de rien ... mais si quelqu'un connait son nom à ce rosier je aimerais bien savoir

Apparemment c'est une rose simple jaune sur l'adaptation. genre rugosa, plus proche de l'églantier dont la couleur peut aller au blanc pur en passant par le jaune jusqu'au rose et à l'incarnat très agréablement parfumé.

Rugosa a un tempérament pugnace et investit littéralement tout un jardin si tu le laisses faire sa résistance aux maladies est celle d'une pionnière ^^.

ce que je poste en exemple.

Pas étonnant qu'après avoir été supprimé par le pasteur successeur de Mr Hale, il se soit réfugié dans des haies pour prospérer encore.

merci beaucoup Fée Clochette
Je connais le rugosa ma mère en avait mais rose ...

Désolée si on s'est écarté du sujet initial ...

L_Alex nous allons demander MissAcacia au parloir, elle est dans les arbres, mais après tout, les rosiers doivent bien y grimper et nous n'avons pas été HS, bien au contraire.

On appelle MissAcacia notre référence botaniste sauf si tu es embourbée c'est quand tu veux : A toi la parole MissAcacia