Saison 2, épisode 4

Et moi donc !

Fée clochette a écrit:

La plupart des femmes ne peuvent pas toujours se comporter comme des péripatéticiennes, même si tu as l'air de penser que cela est naturel Glee ! le chagrin d'amour stérilise beaucoup l'envie justement de se comporter comme tu le suggères.

j'ai jamais dit que se sont des péripatéticiciennes et je les prends pas pour sa.... et si la plupart des femmes peuvent être comme sa.... l'exemple récent, s'est anne sinclair qui a un nouveau mec.... j'ai dit que s'était une histoire mignonne et moi aussi je suis émue et j'aimerais vivre un truc de se genre avec la personne que j'aimerais comme une folle, retrouvé la personne un soir comme sa.... mais je dis juste que sa empêche pas de pas se priver.... pour se consolée par exemple si s'est pas pour se faire du bien....

clinchamps a écrit:

L'homme que j'aimais m'a quittée il y a .... 16 ans, et je ne l'ai jamais remplacé ... et je t'assure, Glee, que je vais très bien, je suis tout à fait à l'aise dans ma tête et mon corps .... Je regrette que tu ne voies dans l'histoire si belle de Fée Clochette qu'une banale et pauvre abstinence(absence) sexuelle au lieu de la beauté et de la force d'un lien transcendant(dépassant) l'espace et le temps ....

je suis désolée pour toi (on peut en causé en privé si tu veux )..... s'est triste de se faire larguée par un homme.... et je comprends que tu souffres encore, il y a des gens comme sa.... j'en connais..... mais courage.... mais tu comprends quand même se que je veux dire? sa veut pas dire oublier la personne qu'on aime mais faire un break physique... mais bon, le sujet s'était l'attente de Mary....
En tout cas, s'est pas crédible que Matthieu file aucchateau alors que Ladiva doit être morte d'inquiétude.... et il se doute bien de se que veut Mary mais il va chez elle.... donc soit il comprend rien soit il espère.....

Glee, tu es plein(e) de bons sentiments, mais je t'assure qu'il faut que tu travailles encore la compréhension en lecture, tu sais? Regarde ces deux lignes:

clinchamps a écrit:

et je t'assure, Glee, que je vais très bien, je suis tout à fait à l'aise dans ma tête et mon corps ....

et ta réponse:

Citation :

et je comprends que tu souffres encore

Tu n'as pas un peu compris de travers, là? C'est un peu difficile de te faire confiance quand on voit à quel point tu peux transformer ce qu'ont écrit les autres, tu comprends? et c'est un peu tout le temps comme ça avec toi.

J'étais passée à côté de Downton Abbey lors de la première diffusion (enfin j'avais enregistré et du coup vu les 2 premiers en français, je n'avais pas accroché plus que ça) mais j'ai rattrapé mon retard avec la diffusion actuelle sur nrj12, et j'aime beaucoup, le dimanche soir est devenu un plaisir ces derniers temps Bref je peux enfin me balader dans cette partie de l'auberge sans me spoiler (enfin un peu quand même tout à l'heure en allant dans le sujet de l'épisode 8 comme une idiote )

Comme Nathy's j'ai trouvé ça un peu cliché l'arrivée de Matthew en plein concert, sur le coup j'ai cru que Mary rêvais, qu'elle pensait tellement à lui qu'elle le voyait en imagination face à elle... et non, il était vraiment là, sain et sauf ?! J'ai eu du mal à y croire durant quelques instants ( après, comme Matthew est un peu mon chouchou, j'ai trouvé ça parfait ^^ )

Et donc, au passage, merci à fée Clochette pour sa jolie histoire vraie, ça redonne un peu foi en l'amour avec un grand A ... la réalité dépasse la fiction, et pas que pour les affaires sordides, c'est bon de se l'entendre rappeler parfois

Pour parler un peu des autres personnages de la série, j'aime beaucoup Anna, Bates aussi, mais il a un côté chien battu qui m'agace moi aussi ... cela dit c'est vrai face aux coups durs de la vie tout le monde ne devient pas forcément un médiocre petit opportuniste comme Thomas à qui j'ai envie de mettre des claques J'aime bien Branson aussi, le "bad boy irlandais" ( le coup de la soupière était un peu ridicule, mais en fait j'étais soulagée qu'il n'ait rien fait de plus grave, ce qui aurait nécessité son renvoi Les trois filles Crawley ont toutes un côté que j'admire et un autre qui me déçoit ou m'agace un peu, leur mère beaucoup , leur père en revanche est parfait, et leur grand-mère ... délicieuse

Bonnie a écrit:

Les trois filles Crawley ont toutes un côté que j'admire et un autre qui me déçoit ou m'agace un peu, leur mère beaucoup , leur père en revanche est parfait

Est-ce que ça veut dire que tu n'aimes pas Cora? (j'ai pas compris si tu admirais beaucoup leur mère ou si elle t'agaçait beaucoup^^) Si c'est le cas, ça me fait plaisir de ne pas être la seule, j'ai beaucoup de mal avec Cora et de plus en plus

Oui, ça veut dire qu'elle m'agace ! (oups, je fais des phrases bancales parfois)

Je poste ici mes impressions sur les épisodes 2 à 4 de la saison 2, sans redire tout ce que vous avez déjà dit.

D'abord, je continue à beaucoup apprécier cette série, même si certains points m'agacent ou me gênent, par exemple :

= la gestion de la chronologie :
Là où j'en suis arrivée (episode 4 de la saison 2), nous sommes en 1918. La série a commencé en 1912. Or depuis 6 ans que les filles Crawley sont à marier, il ne s'est rien passé ; d'accord Mary a beaucoup tergiversé, nous sommes en guerre et beaucoup d'hommes "ne sont plus sur le marché", mais quand même, Mary a au moins 27 ans en 1918, et je trouve que c'est âgé pour se marier à cette époque ... d'autant qu'on se marie pour avoir des enfants .
Je trouve que les choses traînent trop dans le temps, d'autant qu'à l'époque, à 40 ans on entre dans le début de la vieillesse, et on meurt plus facilement d'accident ou de maladie que de nos jours ...
Donc j'aurai compris que 2 ans se soient écoulés, mais 6 je trouve que ça fait beaucoup trop ...

= ensuite les secrets de la maisonnée me font rire : dès qu'il y a un secret, du haut en bas tout le monde est au courant en moins de 2, sauf la/le principal intéressé(e) ; et j'ai du mal à trouver crédible la tentative de chantage de Vera Bates sur cette vieille histoire de Pamuk le représentant de la Turquie ; au bout de 5 ans, et de 3 ans de guerre, à mon avis cette information est devenue sans intérêt aucun, et n'a plus aucun prix dans la presse ...

= et enfin, j'ai du mal à comprendre la si longue complicité de Thomas et O'Brien, qui sont plus intelligents que leur condition, et qui sont aigris tous les deux, mais pourquoi cette complicité se renoue-t-elle après que Thomas soit devenu le sergent Barrow ? j'ai pensé pendant pas mal de temps que O'Brien allait se rapprocher de Branson, irlandais comme elle, et qu'elle allait donner un tour positif à sa révolte/rancoeur/rancune en l'élargissant à des sujets de société, mais pas du tout ; elle est très conservatrice aussi, et se cantonne uniquement à des basses intrigues ; elle reste un mystère pour moi ... et ce goût qu'elle a pour la délation, j'ai vraiment du mal avec elle.

Et pour finir, je suis d'accord avec celles d'entre vous qui trouve les scènes de guerre inutiles, à part celle de l'épisode 1 (avec la main de Thomas), elles n'apportent rien et sont un peu ridicules.

Et je voulais ajouter aussi que dans la scène du concert, que vous avez évoquée avec ferveur, j'ai surtout été attristée de voir que le major Bryant (?) le moustachu de Ethel, figurait en bonne place, sans remords ni regret que sa conduite ait jeté Ethel à la porte ; je sais que c'était normal pour l'époque, mais ça me révolte.

Merci pour tes commentaires Petit Faucon

Pour revenir sur deux points que tu soulèves, la gestion du temps et la réapparition de l'affaire Pamuk, ce sont deux éléments qui ne m'avaient pas gênés lors de mon visionnage, mais avec le recul je comprends tes réserves. En particulier sur l'affaire Pamuk, car on peut effectivement s'étonner qu'une histoire vieille de quelques années puisse continuer à intéresser la presse dans un contexte où elle a bien d'autres chats à fouetter mais c'est peut-être sous-estimer l'intérêt des Britanniques pour leurs familles aristocratiques. Je pense que la famille Crawley préfère ne rien risquer du tout (Mary n'étant pas encore casée, ne l'oublins pas) plutôt que de voir leur histoire salie.