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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Sam 14 Aoû 2010 - 19:32
Bienvenue parmis les admirateurs de Kang Dong Won Clinchamps et pour continuer dans la lancée
Je viens de finir mes devoirs, cela ma pris un peu de temps parce que je suis lente, mais aussi parce que le film que je vais vous présenter méritait quelques petites recherches. A 1ère vue, Duelist peut être considéré comme un des ses nombreux films asiatiques qui surfent sur la vague depuis Tigre et Dragon, mais je trouve personnellement que du côté de sa réalisation il a quand même une certaine touche d’originalité.
DuelistHyeongsa
Duelist est une film d’époque coréen de 2005 réalisé par Lee Myeong Se. Il s’agit d’une adaptation d’un manwha très populaire en Corée Damo Namsoon de Bang Hak-gi. Cette histoire a aussi été adapté en drama sous le nom de Damo, Lady_Livia nous en a d’ailleurs une présentation dans le topic Drama.
Namsoon - Ha Ji Won Sad Eyes - Kang Dong choupinou graouuuuu Won Détective Ahn - Ahn Sung Ki Ministre de la Défense - Song Yeong Chang
Citation :
Corée XVIIème siècle pendant la dynastie de Chosun. L’Empire va mal et de fausses monnaies circulent sur le marché. Le commerce et l’économie du pays sont en chute libre. Une équipe de police est mise en place pour enquêter sur l’affaire. Parmi elle le détective Ahn et sa jeune protégée Namsoon, un véritable garçon manqué au caractère bien trempé. Orpheline depuis sa naissance, elle a été élevée par le vieil homme qui en a fait une Damo. Ce titre désigne les quelques femmes nommées par la royauté pour enquêter sur des affaires épineuses. L'enquêtent conduit les deux officiers au Ministre de la Défense dont l’arme secrète est Sad Eyes, un voleur au charme énigmatique, prodigue de l'épée à qui il confie toutes les basses besognes. C’est lors d’une des ses missions dans le marché de la ville que Namsoon et Sad Eyes vont se rencontrent pour la 1ère fois.
L’originalité de ce film est qu’il a plusieurs lectures et c’est ce qui accroché, en plus du charme de son acteur principal il va s’en dire^^ Bien sur il a pas mal de défauts.
Tout d’abord son scénario qui tient il faut le dire dans le creux de la main. Ce qui est quand même paradoxal puisqu’il m’a fallu un moment pour comprendre le comment du pourquoi, ce que viennent faire ces faussaires, qui était qui et les liens qu’ils avaient les uns avec les autres. Avec le recul je me rends compte que tout est dit dès le début, mais c’est trop décousu. Il est à la fois simpliste et confus, Lee Myeong Se a voulu nous en mettre pleins la vue et les oreilles du coup par moment on est un peu étourdit. Au niveau des acteurs là encore je suis restée sur ma faim. Tout repose sur le duo Ha Ji Won/Kang Dong Won, tout les oppose et tout les attire. Ils représentent le ying et le yang, ils se complètent parfaitement. Elle masculine et lui un brin androgyne. Beaucoup d’alchimie entre eux, on a l’impression que le temps s’arrêtent quand ils se regardent et s’affrontent, c’est magique. Malgré tout le jeu de Ha Ji Won a un côté caricatural qui m’énerve un peu. Son personnage est archi classique, archi utilisé par le cinéma coréen. Celui de la jeune fille bruyante, grimacière et parfois grotesque. Bref il manque de nuance à mon goût personnel. A côté Kang Dong Won est presque figé, son rôle est plus symbolique, mystérieux au risque d’en être un peu vide. Une beauté figé par le temps. Concrêtement il y a quatre personnages, et quatre histoires qui n’aboutissent malheureusement pas toutes. L’histoire globale, celle du couple Namsoon/Sad Eyes, celle de Namsoon/Ahn et celle de Sad Eyes/Ministre de la Défense. Là encore nous avons deux pendants, deux contraires entre la description de Ahn et du Ministre. Ahn est encore une fois l’image typique du bouffon et le Maître de Sad Eyes est aussi mystérieux et sobre que son disciple. C’est dommage j’aime beaucoup Ahn Sung Ki, j’aurais bien aimé que sa relation paternelle avec Namsoon soit plus travaillé. C’est une vrai relation shakespearienne qu’il y a entre Sad Eyes et son maître. Même maintenant je n’ai toujours pas compris ce qu’il y avait entre eux, pourquoi Sad Eyes le déteste autant, pourquoi il met tout en oeuvre pour le détruire. Est-il son esclave, son bâtard ? Pourquoi a-t-il fait de lui un tueur ? Là encore on reste sur sa faim. Pas étonnant que Sad Eyes soit attiré par Namsoon, il a été à bonne école en ce qui concerne les relations humaines. Il ne connait rien à l’amour, seulementy la haine.
Mais Duelist est avant tout un superbe travail d’artiste, une œuvre d’art, un mélange de style. Comme je l’ai dit plus haut il existe plusieurs lectures pour le comprendre.
- La Gestuelle et les combats : Comme il y a très peu de dialogues, tout est dans le regard et la gestuelle. Gestuelle qui est elle-même liée à la musique. Il ne s’agit pas à proprement parlé d’un films de combat, mais plutôt un film sur la danse et le rythme. Lee Myeong Se a fait subir un intense entraînement à ses acteurs pour maîtriser le Taoshik, une danse traditionnelle des masques et le Zen Sunmudo, un technique pour contrôler la respiration. Mais aussi le tango et le base ball. A chaque affrontement les héros exécutent une parade nuptiale, ils dansent pour exprimer leurs sentiments. On passe constamment du lent au rapide, ce qui n’arrange pas la compréhention il faut le dire^^
- La Musique : Elle occupe une place très importante dans l’histoire. Elle renforce renforcer ce côté danse dans les combats. La BO est très riche, un mélange de styles (classique, tango, hard rock…) complètement anachronique. Je pense notamment à la danse qui a lieu chez le Ministre pendant le repas où Namsoon se déguise comme servante. C’est entre le french cancan et la danse de perruches. Selon le réalisateur la musique est le reflet des émotions intérieures et des situations : elle est une des voix du film et en est indissociable. Elle correspond vraiment à l'idée que j'ai de la musique de film qui n'accompagne pas seulement les images mais les raconte et va au-delà de la perception visuelle.
- La Couleur : Tout au long du tournage, j'avais constamment à l'esprit deux mots - mouvement et rythme- et deux oeuvres d'art – Danse de Matisse et Manhattan de Mondrian - comme références.
La couleur est très importante dans le film, Duelist a été conçu comme un tableau. La colorisation ainsi que le jeu des ombres/lumière est totalement artificielle et arbitraire. Il ne faudra pas non plus chercher de l’exactitude dans les costumes, là encore complètements fantaisistes. Tout est blanc ou noir ou très coloré
En définitive, Duelist est fait pour toucher les sens, manque plus que l’odeur et tout y est, il faut se laisser porter par les belles images. Sur beaucoup de points, Duelist me rappelle Crying Freeman. Le côté héros tueur torturé, par l’esthétisme des combat, le jeu des couleurs, les ralentis et le soucis extrême du détail. Je ne saurais conseiller de regarder le film avec le commentaire audio du réalisateur, c’est vraiment passionnant. Je n’ai toujours pas vu Hero, mais hier soir je suis tombée dessus par hasard. Je n’ai vu que la fin, mais là encore j’y trouve une certaine similitude entre les deux.
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mimidd Aki no Hoshizora
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Dim 15 Aoû 2010 - 0:16
Merci pour tes avis sur Temptation of wolves et Maundy Thursday, Clinchamps. Je remarque qu'une fois de plus, nos avis se rejoignent
Hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, la présentation de Duelist, enfin Et quelle présentation, merci Ekat
J'adore ce film . Je l'ai vu je ne sais combien de fois, j'ai arrêté de compter après le 6ème visionnage . Même si, comme Ekat, je n'ai rien compris à l'histoire les premières fois, alors que y'a pas plus simple . Je passais à côté de plein de trucs évidents, et j'avais du mal à identifier les personnages secondaires . Mais je maitrise à peu près maintenant ^^
Il va sans dire que j'adooooore Sad Eyes , je trouve le jeu de Kang Dong Won tout à fait remarquable, il arrive à faire passer tout un tas d'émotions à travers sa gestuelle et son regard. Il a un charisme très "animal", et j'utilise d'autant plus volontiers cette expression que Sad Eyes me fait véritablement penser à un animal blessé Concernant ce personnage, voici les conclusions auxquelles je suis arrivée, mais çà n'engage évidemment que moi ^^
Spoiler:
j'ai compris qu'il était le demi-frère du roi que le ministre de la défense veut renverser, ce qui fait de sad Eyes l'héritier potentiel du trône, celui que ledit ministre veut marier à sa propre fille. Ce qui me fait dire çà : le ministre considère Sad Eyes comme son fils (de là à en faire son fils officiel = gendre ?), il le traite avec respect (haute naissance ?), et il sous entend à plusieurs reprises que ce qu'il fait, il le fait pour Sad Eyes (= pour qu'il devienne roi ?)
Pour répondre à ta question, je ne suis pas sûre que Sad Eyes déteste vraiment le ministre. De toute évidence, ils ont quelques problèmes relationnels ^^, mais pour moi, c'est plus une question de confiance que de haine (et çà rejoint un peu ce que je disais sur son coté "animal"). Arrive un moment où Sad Eyes ne lui fait plus confiance, où il lui retire sa confiance pour la donner à Nam Soon, ce qui se traduit matériellement par la remise des documents à la jeune femme, mais il reste aux côtés du ministre jusqu'à la fin. Je pense que s'il le détestait vraiment, il n'aurait pas agi de la sorte
Contrairement à Ekat, j'aime également beaucoup Nam Soon, son personnage est certes un chouya caricatural, mais j'aime les éclairs de féminité qui transparaissent au détour d'un regard, d'un sourire, d'une mélodie ...
Concernant la forme du film, je vais me contenter de plussoyer :
Citation :
Duelist est avant tout un superbe travail d’artiste, une œuvre d’art, un mélange de style
Je suis admirative de la recherche formelle qui a été faite pour ce film, j'ai vu M, du même réalisateur, avec également Kang Dong Won, et on retrouve la même exigence, le même souci du détail, la même inventivité, le même mélange des genres, le même travail de recherche autour d'un scénario simplifié à l'extrême. Et je suis définitivement fan (même si le réalisateur a l'air un peu mégalo sur les bords, et que je ne voudrais pour rien au monde travailler avec lui )
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clinchamps Oshaberi Sensei
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Dim 15 Aoû 2010 - 0:27
Ah !!! ben!! nom d'un petit bonhomme !! ça valait la peine d'attendre !!! Superbe, magnifique présentation, Ekat Je me demande maintenant si je vais partir mardi, ou rester pour attendre mon DVD !!! Tu compares Duelist à Hero, attention !!! là je vais être très attentive car Hero est pour moi un pur chef d'œuvre Tout ce que tu dis de la beauté, de la gestuelle, des couleurs me donne très très envie de le voir, c'est sûr que quand je vais rentrer ça ne va pas traîner !!! (Et je mets M sur ma liste Mimidd ! Bon, maintenant, Paul et après ... tu sais ce qu'il te reste à faire )
Kusanagi Scottish Jedi Sensei
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Dim 15 Aoû 2010 - 9:31
Magnifique présentation ma co-épouse.... les combats et l'esthétique donnent très, trèèèèèèèèèès envie (même si le scénario tordu pas tordu et l'histoire super aussi gaie qu'un 2 novembre m'attirent moins... mais bon, c'est du ciné asiatique )
ekaterin64 Queen of Nanars
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Dim 15 Aoû 2010 - 10:04
Oui le cinéma asiatique est connu pour nous amener de la joie et de la bonne humeur mais bon les regards de Kang Dong WonGraouuuuSad Eyes valent le déplacement. Un charme animal, je pussoie Mimidd, il a le regard d'un serpent je trouve. Hypnotique, inquiétant et attirant à la fois... c'est pourquoi il lui plait d'ailleurs, il fait très bien les psychopathes
Avant que Clinchamps ne me tombe dessus, je tient juste à préciser que je n'ai vu que 15mn de Hero. Un passage où ils sont au milieu de rideaux et ensuite il y a plein de rouge, et puis plein de lbleu et puis plein de blanc. J'ai rien compris, mais visuellement et comme j'étais en pleine rédaction de ce post j'y ai trouvé des liens. Pas taper alos ma Clinchamps
Je reviens au personnage de Namsoon, c'est clair que lorsqu'elle est avec Sad Eyes, sa féminité est incontestable. Ca transpire le désir charnel, la passion. Et même avec toute son armure sa féminité l'emporte. Mais en dehors, on est d'accord c'est un bourin^^
Pour compléter le sujet des enquêtes policières, il ne me reste plus qu'à voir Damo que j'ai sur ma PAL et Blood Rain, dvd que j'avais acheté un jour pas cher aux soldes de la fnac. Je ne savais pas ce que c'était mais comme c'était coréen j'ai pris
Citation :
Blood Rain est une sorte de pendant au Nom de la Rose de Jean-Jacques Annaud, mais à la sauce coréenne. Se déroulant dans la Corée du XIXè siècle, l'histoire est celle d'une petite île isolée contrôlée par des fabricants et marchands de papier, sur laquelle survient un mystérieux meurtre. Persuadés qu'il s'agit du fantôme de l'ancien propriétaire de la fabrique, les habitants/ouvriers voient arriver deux enquêteurs coréens, chargés de faire la lumière sur ce meurtre. Le plus jeune des deux, Wong-Kyu, s'affranchit complètement des croyances locales et se lance à la poursuite d'un serial killer remarquablement agile et qui se met à tuer une personne par jour.
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clinchamps Oshaberi Sensei
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Dim 15 Aoû 2010 - 10:40
ekaterin64 a écrit:
Avant que Clinchamps ne me tombe dessus, je tient juste à préciser que je n'ai vu que 15mn de Hero. Un passage où ils sont au milieu de rideaux et ensuite il y a plein de rouge, et puis plein de lbleu et puis plein de blanc. J'ai rien compris, mais visuellement et comme j'étais en pleine rédaction de ce post j'y ai trouvé des liens. Pas taper alos ma Clinchamps
Mais non, mais non !!! mais tu DOIS voir Hero, parce que là il y a un vrai scénario, en plus et une magnifique parabole sur le pouvoir, et le sacrifice (toujours très fun, bien sûr, comme il se doit dans le cinéma asiatique !! ) mais dis-donc, ça en fait des présentations, ça ??? jusqu'où vas-tu aller comme ça, de plus en plus haut dans les étoiles, peut-être jusqu'à ... Mars ?????
Kusanagi Scottish Jedi Sensei
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Dim 15 Aoû 2010 - 10:49
clinchamps a écrit:
comme ça, de plus en plus haut dans les étoiles, peut-être jusqu'à ... Mars ?????
Tiens après le monsieur blond vénitien ailleurs, en voilà un autre qui est arrivé
Mais sinon, je plussoie à fond Clinchamps, il faut que tu vois Hero
ekaterin64 Queen of Nanars
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Dim 15 Aoû 2010 - 10:56
C'est pas une présentation ça c'est juste une mise en bouche. Et tu as raison le meilleur pour la fin
Hero est dans la liste de mes fututrs achats avec 3 Royaumes vous êtes contentes les Miss rabat joie
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clinchamps Oshaberi Sensei
Nombre de messages : 72648 Age : 81 Localisation : Dans les bois du Fushimi Inari-taïsha Date d'inscription : 09/01/2007
je viens de voir "Fly, daddy fly !" et j'ai bien aimé ce film qui se laisse regarder avec plaisir, même si ça n'atteint jamais de vrais sommets d'émotion. Il y a deux raisons à ça : la première c'est la présence de Lee Jun-ki, beau à tomber en pâmoison immédiate, et bien sûr parfait dans le rebelle au grand cœur qui prend sous son aile le pauvre quadra bedonnant humilié afin de l'aider à prendre sa revanche sur l'ignoble fils à papa qui a agressé sa fille. L'autre raison c'est Lee Mon-sik le quadra en question, reconnu immédiatement comme le père génial et bouleversant du même Lee Jun Ki dans "Iljimae" !!!(et là il a encore toutes ses dents !! ) Et lui aussi est tout à fait excellent et l'alchimie entre ces deux hommes fait que j'ai bien accroché au film jusqu'au bout. Le combat final était plutôt pas mal, une certaine vraisemblance était conservée. Mais ... car il y a un mais j'ai quand même regretté que la relation entre LJK et LMS, bien amorcée quand le second va récupérer le premier au commissariat, soit ensuite laissée dans le vague, et non approfondie,
Spoiler:
cela aurait donné une fin plus construite et plus satisfaisante de savoir que ces deux-là n'allaitent pas se quitter comme ça, après ce qu'ils avaient vécu, surtout que LJK lui demande de "devenir fort pour prendres soin de lui" et puis ... rien !
. Cependant l'entraînement de Jjang par une panthère plus "félin aux aguets" que jamais est tout à fait savoureux !!
Spoiler:
La course avec le bus, géniale !! et le chauffeur du bus qui se met au roller !
ce film est tout à fait regardable, la preuve :
Spoiler:
mimidd Aki no Hoshizora
Nombre de messages : 15717 Localisation : with a Japanese man singing for Rotterdam Date d'inscription : 17/04/2006
il a le regard d'un serpent je trouve. Hypnotique, inquiétant et attirant à la fois... c'est pourquoi il lui plait d'ailleurs, il fait très bien les psychopathes
Arrrfffff, je suis démasquée . Disons qu'il peut tout aussi bien avoir un regard de chiot battu, et l'instant d'après, celui d'un serpent prêt à vous bouffer tout cru, comment voulez vous que je résiste
Puisqu'on parle de "psychopathe", je vous met quelques vidéos de M. Je ne m'aventurerai pas à le présenter, parce que ce film expérimental, à la fois hyper angoissant/glauque mais éminemment poétique, est inprésentable , mais çà vous donnera une petite idée de ce qui vous attend :
le trailer :
Une MV sur la chanson principale du film :
Pour résumer rapidement et grossièrement l'histoire, le film est centré sur le personnage de Min Woo (Kang Dong Won), un écrivain dont l'esprit semble vaciller de plus en plus. Hallucinations, rêves, dédoublement de personnalité ? Min Woo va tout mettre en oeuvre pour découvrir le fin mot de l'histoire ...
Merci pour ton avis sur Fly Daddy Fly, clinchamps ! Je l'ai déjà dit, mais je ne suis pas vraiment fan de ce film Néanmoins, je me suis quand même tapé la version japonaise, parce que figurez vous que ... Okada Junichi y joue le rôle de la panthère . Ou plutôt l'inverse, puisque la version japonaise est antérieure.
en novembre dernier, j'avais écrit :
Citation :
Apparemment, la version japonaise, qui date de 2005, a l'air plus réussie, j'y jetterai peut être un coup d'oeil si je trouve les sous titres ...
ben ... oui et non en fait . Dans la version japonaise, les choses sont mieux expliquées, mais les relations entre les personnages - en particulier les deux héros - sont moins touchantes, je trouve. Et le méchant est trèèèèès caricatural. Cela dit, Junichi y est très bien - voire mieux que la panthère ? - et son histoire personnelle y est un chouya plus développée (d'ailleurs, les traits marqués de Junichi doivent vraiment être inhabituels au Japon - c'est un sujet qui revient souvent en interview - parce qu'ils lui font encore jouer un personnage coréen. Non pas que cà me déplaise ^^). Et j'adore quand il fait sa danse de l'aigle
le trailer :
et quelques images du film dans cet extrait d'émission :
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clinchamps Oshaberi Sensei
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Il est bien évident que je ne vais pas laisser passer "Fly, daddy fly" avec Junishi !! (qui pour moi n'a pas du tout l'air coréen, mais bon !! ) par contre le papa fait quand même bien jeune
mimidd Aki no Hoshizora
Nombre de messages : 15717 Localisation : with a Japanese man singing for Rotterdam Date d'inscription : 17/04/2006
Je dirais plutôt que c'est Lee Moon Shik qui a l'air vieux , parce que l'acteur japonais a 3 ans de plus que lui, et il avait 40 ans passés au moment du tournage, ce qui est plus que crédible pour jouer le père d'une ado ^^
[mode mimidd qui regarde trop les émissions de tv japonaises] Je ne sais pas si Junichi ressemble vraiment à un coréen, mais en tout cas, il n'a pas l'air de ressembler à un japonais vu que les journalistes lui demandent tout le temps si c'est un japonais pur souche ou s'il a des origines étrangères . Et lui même dit que lors d'un séjour à Istanbul, il a rencontré plein de sosies
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clinchamps Oshaberi Sensei
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Je ne sais pas si Ekat l'a vu, mais je ne me suis pas (encore) penchée sur Voice of a murderer, parce que Kang Dong Won joue précisément le meurtrier éponyme, et apparemment, on entend sa voix, mais il n'apparait jamais à l'écran. Et comme je suis une fille complètement futile, je trouve un peu beaucoup dommage qu'on nous prive de son regard de serpent psychopathe , donc le film est toujours dans ma liste d'attente
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Effectivement il n'y a que sa voix et je crois même qu'on ne l'entend que 5/10mn au bas mot. Certaines critiques ont dit que les fans de KDW doivent passer leur chemin parce qu'ils risquent d'être frustrés. Et vu l'état de ma PAV c'est un conseil que j'ai suivi.
Par contre il reste 1% of Anything. c'est nul, mais au moins il a le rôle pricipal et le drama dure 26 épisodes
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Par contre il reste 1% of Anything. c'est nul, mais au moins il a le rôle pricipal et le drama dure 26 épisodes
ça va être sans moi, alors !!! par contre je vais regarder quand même "voice of murderer" parce que l'histoire m'intéresse ... maintenant qu'il est su ma PAL !! Il n'y a pas assez longtemps que je connais KDW pour que je me sente frustrée !
ekaterin64 Queen of Nanars
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Mar 17 Aoû 2010 - 13:40
On continue avec les polars, je viens de finir de voir Blood Rain. Je le dis tout de suite rien à voir avec Duelist^^ Il s'agit ici d'un thriller classique avec une enquête policière dans une ambiance gore à souhait. C'est sympa, une enquête à tiroir, donc forcément au début on pédale un peu dans la semoule. En plus aucun détail sanguinolant ne nous est épargné
Spoiler:
je pense notamment à la scène de l'écartellement.
Histoire de vengeance, de fantôme, de complexe d'oedipe avec un zeste d'amour impossible.
Comme tout est liédans l'aquarium, une petite devinette rien que pour Mimidd. Pendant tout le film je me suis creusée la tête pour me rappeller où j'avais bien pu le voir Je pense que pour toi il y aura moins de problème
Spoiler:
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mimidd Aki no Hoshizora
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Sam 28 Aoû 2010 - 15:11
Oh, ben, çà a l'air sympa ton film
Fastoche, le petit vieux, c'est le grand père de Yeux de Biche dans Hong Gil Dong . Ah, c'était pas lui dont tu parlais ? ^^ Je n'ai pas trop de mérite, j'ai vu récemment Blades of Blood et revu quelques épisodes de City Hall, dans lesquels joue Cha Seung Won, alias Mr Playmobil
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Fastoche, le petit vieux, c'est le grand père de Yeux de Biche dans Hong Gil Dong . Ah, c'était pas lui dont tu parlais ? ^^
Comment que t'as deviné ? Nan mais tu en as d'autres comme ça à sortir de ton chapeau
Tu sais que tu fais peur quand même
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clinchamps Oshaberi Sensei
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Sam 4 Sep 2010 - 19:49
Je viens de voir "Duelist" , enfin, hier soir et je l'ai presque revu en entier à l'instant pour faire des captures, et je dois dire que cette deuxième vision ainsi que la relecture des commentaires de Mimidd et d'Ekat m'ont bien éclairée (si je puis dire, pour un film qui se passe la plupart du temps dans l'ombre, et dont les plus belles scènes sont carrément en pleine nuit sous la neige !!! ) Ma première impression, hier soir : trop de tout, trop de ralentis, trop d'esthétique, trop d'accélérés et pas assez de clarté dans une histoire qui, pour être simple, est quand même racontée avec pas mal de confusion. C'était comme si j'étais entraînée par un torrent, avec par moment une pause sur une scène magnifique de combat/danse (sublime idée de jumeler la sensualité du tango à celle des combats entre Nam Soon et sad Eyes) puis je repartais, et il était évident qu'il faudrait le revoir. Je n'aurais jamais capté les rapports avec la peinture sans la présentation d'Ekat, mais c'est normal, pour moi, je ne sais pas voir ce genre de chose, je n'ai pas l'esprit assez analytique, et de plus j'aime bien que lorsqu'on me dit : celui-là est mort ! qu'il le soit effectivement , sinon, je rame un peu Ma première impression de ce film, c'était comme si je m'étais gavée de pâtisseries : chaque gâteau était succulent, mais à la fin j'avais un peu mal au cœur, je ne sais pas si je suis bien claire ? Alors ma seconde impression a été bien meilleure, j'étais plus à l'aise avec l'histoire (Mimidd, ton interprétation de la relation Ministre/Sad Eyes me plaît beaucoup, mais il faudra que je le revoie une troisième fois pour essayer de trouver où tu as vu ça cependant je penche dès à présent vers cette explication du fait du choix final de Sad Eyes). Plus détachée de l'intrigue elle-même, et ne cherchant pas à vraiment comprendre, je me suis abandonnée avec plus de plaisir à la beauté du film en tant qu'œuvre picturale proprement dite. Quand je cherchais à comprendre, tous ces effets de réalisation m'entravaient, une fois l'histoire assimilée, elle passe au second plan et l'essentiel apparaît : la beauté pure. Bon, c'est vrai que Nam Soon a un jeu un peu outré, mais pas tant que ça, par rapport à ce qu'on a pu voir ailleurs, ça ne m'a pas vraiment gênée, et bien sûr Sad Eyes est ...... sublime !!!! Y a pas d'autre mot possible !! C'est sûr qu'il est remarquablement photographié, que le réalisateur joue constamment sur son visage à peine éclairé, à demi caché par les cheveux, à tel point que quand il se balade habillé "comme tout le monde" c'est tout juste si on le reconnaît ! La démonstration de sabre dans la grande galerie, et surtout, surtout le combat final sont des morceaux d'antologie, d'une réalisation éblouissante. Comme on avait parlé de "Hero" je dirais que "Duelist" et plus faible, car "Hero" est aussi beau et moins "esthétisant", et bénéficie d'un scénario solide, d'une grande clarté. J'ai bien sûr pensé au "Roi et le Clown", et là aussi, je trouve ce dernier au dessus par la perfection et la force du scénario, de la construction des personnages et de leurs rapports. Mais comparaison n'est pas raison et "Duelist" demeure à mes yeux un très bon film, de ceux qui gagnent à être vus et revus afin d'y découvrir sans cesse de nouveaux trésors.
Spoiler:
Les yeux noirs Romancière anglaise
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Mer 8 Sep 2010 - 14:45
Ca y est, sur les conseils de Miss Acacia, Ekat et moi avons regardé Tampopo mardi soir. Je ne sais pas s'il avait été présenté alors brièvement :
Citation :
Tampopo (タンポポ,) est un film japonais de Jūzō Itami, sorti en 1985, avec Tsutomu Yamazaki, Nobuko Miyamoto et Ken Watanabe.
L'accroche du film, « le premier western-nouille », est un jeu de mot sur le terme de Western spaghetti.
La trame est l'histoire de Tampopo, restauratrice japonaise qui tente de trouver la recette de la soupe de nouilles (ラーメン, ) ultime, avec l'aide d'une équipe menée par un homme mystérieux et solitaire. D'autres histoires traversent le film, notamment les aventures érotico-alimentaires d'un homme en complet blanc, l'obsession compulsive d'une vieille dame, le dernier repas d'une mère de famille, un dîner d'affaires...
J'ai trouvé ça très sympathique, mais j'avoue avoir été un peu déstabilisée par les mini-histoires qui traversent le film. J'ai trouvé qu'elle survenaient comme des cheveux sur les ramen et que cela donnait une impression de décousu. J'ai pourtant bien aimé ces petites histoires, mais c'est la façon de les amener ou plutôt de ne pas les amener qui ma gênée, et qui a perturbé ma lecture générale de la quête de Tampopo Quand on lit des résumés, ce qui ressort de ce film c'est que c'est la recherche de la nouille parfaite. De ce fait, je m'attendais à une espèce de road-movie et du coup j'ai été un peu surprise (voila ce que c'est que de se faire des films à l'avance!) Le côté western au Japon confère une touche d'humour et une ambiance particulière (le héros qui ne quitte jamais son chapeau le cow-boy
Spoiler:
même dans son bain
est d'ailleurs assez drôle. Cependant plus qu'à la "nouille parfaite", pour moi ce film est une ôde à la nourriture sous toutes ses formes et dans toutes les circonstances de la vie, agrémentée de rencontres improbables. Une idée originale qui ne peut que plaire à qui aime manger ou partager un bon repas!
marie21 Lost in RA Sunbae
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Ven 10 Sep 2010 - 12:45
J'ai loué à la médiathèque de ma ville Confession of Pain
C'est un film de 2006. Je pense que Kusa a dû déjà en parler car il y a Mr Kusa alias Takeshi Kaneshiro qui est très, très beau dans ce film! Heureusement qu'il est là et "illumine" par sa beauté ^^ un peu l'écran car sinon, c'est très glauque/ sombre comme film!
Il y a aussi Tony Leung , méconnaissable et assez inquiétant, je dois dire. L'histoire se passe à Hong-Kong. L'inspecteur Hei (Tony Leung) et son jeune collègue Bong (Takeshi) sont exposés en permanence à l'horreur, la violence et la mort. Bong est même "touché" de très près lorsqu'il découvre un soir sa compagne, Rachel, morte. Elle s'est suicidée. scène assez terrible et très gore. Bong noie son chagrin dans l'alcool et se retire de la police pour être détective privé. Hei le re-contacte lorsque son beau père est assassiné....Crime monstrueux et parfait mais certains indices mènent Bong sur un piste insoupçonnée... bon, c'est un polar très noir, voire un peu "gore"! j'avais anticipé un peu car il y a beaucoup de rouge sur la photo de ma jaquette, et en fait, j'étais d'humeur à regarder un film policier sombre et violent. De ce point de vue là, je n'ai pas été déçue! même si c'est "gore" et pessimiste comme film, j'ai quand même bien aimé, en particulier parce que les acteurs sont excellents, en particulier Takeshi et Tony Leung, mais les femmes ne sont pas en reste (Qi Shu et Jing Lei Xu) et puis ce flic incarné par Takeshi est très attachant. Bien qu'il soit encore très affecté par le suicide de sa compagne, il continue de chercher, il ne lâche pas prise, que ce soit dans son enquête personnelle et celle professionnelle, il veut savoir la vérité.
clinchamps Oshaberi Sensei
Nombre de messages : 72648 Age : 81 Localisation : Dans les bois du Fushimi Inari-taïsha Date d'inscription : 09/01/2007
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Ven 10 Sep 2010 - 13:05
Merci de me rafraîchir la mémoire, Marie !! Ce film est sur ma PAV et je l'avais oublié !!!
mimidd Aki no Hoshizora
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Merci pour vos commentaires, les Yeux Noirs et Marie Rhooooo, y'a Ken Watanabe dans Tampopo ? Intéressant Faudrait que je jette un oeil sur Confession of Pain un de ces jours, un film glauque et pessimiste, çà devrait me plaire
Et avec pas mal de retard , contente que Sad EyesDuelist t'ait plu, Clinchamps . Je comprends tout à fait tes premières impressions, même si je me suis laissée prendre par le torrent lors de mon premier visionnage, et que je n'ai cherché à comprendre que par la suite
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