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 Shirley

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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeVen 23 Sep 2011 - 19:31

Arf, j'avais bien aimé les trois vicaires mais par la suite, ça s'est gâté en ce qui me concerne et l'arrivée de Shirley n'y a rien fait. J'ai bien aimé aussi cette ressemblance évidente avec Nord et Sud mais malheureusement, alors que j’espérais que ça me suffirait pour tenir, j'ai vraiment eu du mal quand même. Mais tu as l'air bien accroché, toi, Clinchamps. J'espère que tu ne te lasseras pas et j'ai hâte de lire ton avis définitif. Je pense le retenter un de ces jours. Parfois, l'appréciation est juste une question de moments... J'avais tant envie d'aimer parce que j'aime tant Jane Eyre mais non, rien n'y a fait. J'étais déçue. Je n'ai même pas tellement réussi à retrouver la plume incisive de Charlotte sauf au début.
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeLun 26 Sep 2011 - 3:26

Clinchamps Tu en es où dans ta lecture de Shirley maintenant ?
Je viens de l'entâmer aujourd'hui et je suis au chapitre VII: Noé et Moïse, j'ai lu 104 pages pour le moment et j'aime beaucouuuuuup (pour le moment encore) cheers
Les personnes qui se sont ennuyées au début du bouquin: Est ce que c'est par la suite que ça devient ennuyant selon vous ? ^^
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeLun 26 Sep 2011 - 11:56

J'ai vu passer Noé et Moïse, ça continue à me plaire bien qu'il soit de plus en plus évident que la construction n'est pas stable !! J'ai l'impression que Charlotte a écrit sans trop savoir où elle va, et il y a des passages consacrés à ses considérations politiques ou sociales un peu longuets. Cependant dès que l'on revient aux personnages ça repart très bien et j'adore Caroline !! Moore, j'attends un peu ! Very Happy
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeLun 26 Sep 2011 - 20:41

Satine a écrit:
Est ce que c'est par la suite que ça devient ennuyant selon vous ? ^^

Pas du tout. lol! Moi c'est la première partie que j'ai eu beaucoup de peine à ingurgiter. Comme le dit Clinchamps, les considérations politique ou sociales tirent en longueur, et pourtant en général je suis fan de cet aspect dans les romans de l'époque, en particulier chez Elizabeth Gaskell. Et le passage, c'est presque au début, si mes souvenirs sont bons, avec les trois pasteurs, j'ai cru que ça ne finirait jamais. Mais peut-être que le traducteur a abrégé. lol! Si c'est le cas, je pourrais lui pardonner. Razz

Clinchamps, tout comme toi j'aime beaucoup Caroline. J'aurais d'ailleurs préféré que le roman s'appelle Caroline plutôt que Shirley. Twisted Evil

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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeLun 26 Sep 2011 - 21:48

Je suis pour le moment à la page 222 et bizarrement je trouve que dès l'apparition de Shirley le livre est devenu moins intéressant et captivant ... Mais bon je suis loin de m'ennuyer et j'ai hâte de découvrir ce qui va se passer par la suite lol!
Et comme vous j'aime beaucoup Caroline =)
J'aime beaucoup Moore également qui est un personnage assez "mystérieux" et intriguant je trouve ^^
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeVen 30 Sep 2011 - 23:31

Je viens à l'instant de terminer ma lecture du dernier roman des soeurs Brontë, Shirley et bizarrement, il y a des points où je ne pense pas comme vous ^^. Alors mon sentiment envers ce livre est très confus sur le moment ... La constuction n'est pas stable comme vous le dites. Il y a des passages que j'ai vraiment beaucoup beaucoup aimé et d'autres que j'ai trouvé assez longuet (pour rien) ... J'ai adoré le début du livre jusqu'à l'arrivée de Shirley (contrairement à vous) et j'ai trouvé que l'histoire s'est un peu esoufflée après l'arrivée de Shirley. Je n'ai pas vu un grand intêret à ce personnage au début. Puis par la suite ce perosnnage à pris un peu d'ampleur et de signification ... J'ai adoré tous les passages avec Robert Moore et l'arrivé de Louis Moore a vraiment pimenté l'histoire lol! Je pense sincèrement que Shirley est son livre le plus différent de son style, de ses autres oeuvres ... D'un côté par son contexte (pas mal de similarité avec N&S) et d'un autre par sa narration et écriture. J'ai trouvé ce roman plus "légers", moins "gothique" et surtout plus "humouristique" et "ironique" de ses autres oeuvres. Et puis j'ai trouvé son écriture plus fluide, avec beaucoup plus de dialogue que les autres ... J'ai beaucoup aimé ce côté de ce livre et son côté ironique et humouristique ^^. Il y a des moments où j'ai eu des larmes aux yeux, où j'ai été très touché, et d'autres moments où je me suis découverte en train de sourire ou même rire ... C'est un roman un peu trop long et avec peu de rebondissement mais très prenant et captivant par moment .... Je pense que ma scène préférée ou du moins une de mes préférées est celle quand
Spoiler:
Concernant les personnages, j'ai adoré Caroline. J'ai également beaucoup appréciée Shirley mais moins que Caroline. J'ai adoré Louis Moore et beaucoup beaucoup aimé Robert Moore malgré qu'il agisse assez bêtement un moment ... et j'ai beaucoup aimé Mme Pryor. En conclusion, je dirais que ce roman, n'a pas la force de Jane Eyre et de North & South, MAIS que son écriture plus humouristique et plus fluide m'a conquise. lol! Par contre je ne trouve pas très judicieux de mettre Shirley comme titre parce que selon moi c'est plutôt Caroline le personnage principal mais bon ce n'est pas si important ^^. Clinchamps: Tu l'as terminé toi ? Tu en pense quoi ? lol!


Dernière édition par Satine le Sam 1 Oct 2011 - 12:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeSam 1 Oct 2011 - 11:42

Satine a écrit:
D'un côté par son contexte (influencé beaucoup par N&S apparemment)

Shirley date de 1849 et North and South de 1855, l'influence est donc dans l'autre sens si influence il y a. Wink

Je suis d'accord avec toi pour le titre, je le dis d'ailleurs depuis longtemps. lol! Et je suis d'accord aussi avec toi sur le fait que l'arrivée de Shirley ne rend pas le livre plus intéressant. Si j'ai préféré la deuxième partie, c'est parce que je trouve que ce qui arrive à Caroline est plus intéressant après l'arrivée de Shirley, et aussi parce que j'avais enfin compris le titre, même si je ne l'approuve pas. Laughing

Je te rejoins aussi sur la scène préférée, je crois bien que c'est à ce moment mon petit coeur de midinette a su que je finirais le livre, alors que je l'avais laissé trainer encore et encore. rendeer

Pas d'accord du tout sur la fluidité. lol! Mais peut-être que le traducteur a bien fait son boulot. Embarassed

Et moi aussi je suis impatiente de connaître l'avis de Clinchamps. bounce


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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeSam 1 Oct 2011 - 12:44

Citation :
Pas d'accord du tout sur la fluidité. Mais peut-être que le traducteur a bien fait son boulot.

Euuuh peut être, peut être car moi c'est pas l'édition Marabout mais c'est Les Nouvelles Editions Latines 1988. Mais je pense quand même que dans ce roman l'écriture de Charlotte est plus fluide rien que par les dialogues (qui sont assez fréquents) et même par rapport au style je l'ai trouvé fluide mais bon ce n'est que mon avis. C'est ce que j'ai ressenti lol!

Sinon merci beaucoup pour l'information sur les dates de N&S et Shirley !!!

Citation :
Je te rejoins aussi sur la scène préférée, je crois bien que c'est à ce moment mon petit coeur de midinette a su que je finirais le livre, alors que je l'avais laissé trainer encore et encore.

Bah c'est tout à fait compréhensible Razz
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeJeu 17 Nov 2011 - 13:51

Je continue à flâner dans Shirley, le roman le plus bizarrement construit que j'aie récemment lu !! Very Happy On démarre à fond sur le côté social ... puis on s'en va voir du côté de l'amour (cela pourrait aller si on ne perdait pas totalement de vue les histoires de révoltes ouvrières) puis tout à coup un petit crochet sur les rivalités religieuses anglicanisme/non-conformisme, retour au sentimental avec la supposition d'une rivalité amoureuse du fait de l'arrivée de la seconde héroïne. Le beau Robert Moore va-t-il oublier sa jolie cousine ??? le tout avec description abondante d'une fête paroissiale dont on ne comprend pas forcément ce qu'elle vient faire là ... Cependant je continue sans déplaisir à le lire, il est pratique pour le soir : pas vraiment ennuyeux, mais pas assez passionnant pour empêcher de s'endormir !! lol! Blague à part les scènes diverses sont fort bien écrites, les dialogues sont très bien faits, les personnages intéressants, mais tout ça s'en va un peu dans tous les sens !! Bon, je suis persuadée du choix amoureux final, mais j'attends la nouvelle direction surprise de ce roman !! Very Happy peut-être un retour aux réalités sociales ??? lol! Quel sera le nouveau larron qui viendra enlever le cœur de Shirley ? (car je ne doute en rien de celui de Robert !! lol! )
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeJeu 17 Nov 2011 - 14:04

clinchamps a écrit:
Je continue à flâner dans Shirley, le roman le plus bizarrement construit que j'aie récemment lu !!
Ah! je ne suis donc pas la seule à penser cela! lol!



Citation :
le tout avec description abondante d'une fête paroissiale dont on ne comprend pas forcément ce qu'elle vient faire là ...
Je me souviens très bien de la fête. J'ai rarement vu une fête aussi longue. lol!

Décrit par toi, le roman est tout à coup investi d'un charme inédit. sunny

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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeJeu 17 Nov 2011 - 14:24

cat47 a écrit:
[

Décrit par toi, le roman est tout à coup investi d'un charme inédit. sunny

C'est que finalement il ne me déplaît pas vraiment, parce que ça et là c'est quand même Charlotte Brontë qui apparaît !! lol!
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeVen 18 Nov 2011 - 4:49

Je pense que j'avais trouvé que la "fête" était le passage le plus ennuyeux du bouquin je crois ... Aucun intêret et trop long ... Rolling Eyes
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeVen 18 Nov 2011 - 18:05


cat47 a écrit:
Décrit par toi, le roman est tout à coup investi d'un charme inédit. sunny

Shirley - Page 2 59455 Vos commentaire ne font qu'aiguiser ma curiosité, il faut vraiment que je m'y mette.

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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeJeu 22 Déc 2011 - 15:33

j'ai trouvé sa sur ce roman et sa ma donné encore plus envie de le lire^^

Shirley (roman)
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Shirley est un roman de Charlotte Brontë, paru en 1849. Sa popularité a permis à « Shirley » de devenir un prénom de femme. (Dans le roman, le père de Shirley lui donne ce nom, qu'il a au départ choisi pour un fils).
Le roman se situe dans le Yorkshire dans la période 1811-1812, pendant la dépression industrielle due aux guerres napoléoniennes et à la guerre de 1812. Les quatre caractères centraux sont analysés par contrastes : les frères Robert Moore (industriel dont le Moulin tourne à vide en raison de la guerre) et Louis Moore (précepteur privé attaché aux enfants d’une famille) ; et leurs deux aimées, Caroline Helstone, timide et incertaine (qui aurait été copiée sur Ellen Nussey, amie rencontrée à l'école de Miss Wooler), et Shirley Keeldar, héritière d’une fortune, sans doute à l'image d'Emily Brontë, sœur de l'auteur. La maison de la famille Keeldar s’appelle Fieldhead ; Charlotte Brontë s’est inspirée pour Fieldhead d’un manoir élisabethain appelé Oakwell Hall
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeJeu 22 Déc 2011 - 15:46

Dakmew a écrit:
Shirley est un roman de Charlotte Brontë, paru en 1849. Sa popularité a permis à « Shirley » de devenir un prénom de femme. (Dans le roman, le père de Shirley lui donne ce nom, qu'il a au départ choisi pour un fils).

Eh oui, j'avais aussi appris cela en lisant le roman. Very Happy

Je dois dire que je suis tombée des nues en ayant cette info. Shocked Quand on a pris l'habitude depuis sa plus tendre enfance de penser à Shirley Temple en entendant ce prénom, ça ne fait pas vraiment penser à un garçon. Shirley - Page 2 55950

Spoiler:

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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeJeu 22 Déc 2011 - 16:11

Shirley Temple est ses saucisses !!! lol! lol!
Pour ce qui est du roman, j'avoue que j'ai laissé en rade il y a maintenant quelques semaines, il va falloir que je m'y remette, mais Noël et St Lambton m'ont apporté d'autres livres qui me tentent beaucoup !!! Il faut pourtant que je sorte Shiley des suites de l'attaque de la filature !! lol!
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeJeu 22 Déc 2011 - 16:13

Ma pauvre Clinchamps, tu n'avances pas vite. Tu me rappelles mon propre rythme en lisant ce roman. Shirley - Page 2 55950 Que j'avais finalement terminé, et même trouvé intéressant, sur la durée. Donc courage! Shirley - Page 2 64968

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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeDim 30 Juin 2013 - 5:27

Encore de la poussière ! Cette auberge n’est pas partout bien tenue ! Comme au sujet d'Anne Brontë, il est heureux que Charlotte Brontë ne soit plus de ce monde, car elle qui donna l’impression à Elizabeth Gaskell qu’il fallait prendre garde à ne rien déranger lorsqu’on était invité chez elle, elle serait peut-être fâchée qu’au fil consacré à Shirley pendouillent quelques grasses araignées :

« Deux petites pages, voilà comment on peut compter sur ses fans ! Deux petites pages ! Et  point pour célébrer mon roman de surcroît ! »

Pour ma part, une telle situation excite le désir de servir propre à la « pauvre gouvernante » que je demeure, malgré 23 messages (les gages sont vraiment chiches dans cette auberge ; je vais finir par me plaindre auprès de la patronne Austen) dont cinq épisodes d'une série ambitieuse : Sur les traces d’Anne Brontë pour celles qui n’auraient pas participé à mes promenades (œil scrutateur et sévère). Certaines n’en étaient pas, je vois. Si, si, vous par exemple, j’en suis sûr(e) !  Passons, mais permettez d’abord que je ramasse dans mon mouchoir les araignées de ce fil pour les porter dehors…

Voilà, voilà.

Je pousse un petit soupir triste. Shirley (1849) est peu lu et aimé. Pour ma part, c'est un des romans qui m'a le plus marqué au cours de ma vie, davantage même que Jane Eyre. La désaffection du public pour lui s'expliquerait d'abord par une certaine attente déçue après la lecture de la grande œuvre romantique de Charlotte Brontë. Elle-même semble avoir redouté cela si on considère son entame :

« Si vous pensez, lecteur, après ce prélude, que je vous prépare un roman, jamais vous ne fûtes dans une plus complète erreur. Pressentez-vous du sentiment, de la poésie, de la rêverie? Attendez-vous de la passion, des émotions, du mélodrame ? Modérez vos espérances et renfermez-les dans des bornes plus modestes. Vous avez devant vous quelque chose de réel, de froid, de solide; quelque chose d'aussi peu romantique qu'un lundi matin, quand tous ceux qui ont du travail s'éveillent avec le sentiment intime qu'ils doivent se lever, et agissent en conséquence. Nous n'affirmons pas positivement que vous ne serez pas quelque peu excité vers le milieu ou à la fin du repas ; mais il est résolu que le premier plat servi sur la table peut être mangé par un catholique, oui, même un Anglo-catholique, le vendredi saint: ce seront de froides lentilles au vinaigre et sans huile, du pain sans levain  et des herbes amères, sans agneau rôti. »
   
Peut-être, mais ce menu est cuisiné par Charlotte Brontë tout de même, ce qui le relèverait à la seule lecture de ces lignes, non ?

En fait, suivant les pas d'auteurs comme Charles Dickens et Elizabeth Gaskell, Charlotte Brontë voulait offrir avec Shirley un Condition of England Novel,  c'est-à-dire un roman témoignant des ravages sociaux causés par la révolution industrielle.

Sa matière, la révolte luddite contre l'emploi des machines telle qu'elle éclata dans son Yorkshire natal et les régions alentours au début du 19ème siècle, lui fut donnée par les récits marquants que lui en avaient fait au cours de sa vie son père et une de ses plus proches amies, Miss Wooler.

Ainsi, les trois vicaires dénués de charme qui font les premiers leur entrée en scène ne peuvent-ils que dépiter les amatrices de romance. Pieuse, Charlotte Brontë commence son roman de cette façon pour poser l’arrière-plan métaphysique de sa fresque socio-historique : un Dieu qui paraît absent, laissant les hommes faire face seuls à leur sort sous le ministère de ses représentants ecclésiastiques. Malheureusement, alors que leurs frères se déchirent aussi bien autour des machines que de la guerre menée par l'Angleterre contre Napoléon, les vicaires fats, préoccupés de broutilles, que croque Charlotte Brontë, se révèlent de bien peu de secours.

Dans cet autre pays du Wa (harmonie en japonais) que représente l'Angleterre, le point de vue offert par Charlotte Brontë sur la paupérisation ouvrière est celui d'une conservatrice modérée – à une époque, il convient de le spécifier, où les Tories était défiant face au libéralisme que défendait leurs grands adversaires, les Whigs. En effet, pour me citer moi-même paresseusement, à la foi en la main invisible que possédaient ces derniers, les Tories « opposaient l'idéal de classes supérieures guidant avec respect et sagesse les classes inférieures sous l'égide d'une religion active. »

Lors, dans Shirley, Charlotte Brontë rappelle combien le Yorkshire, et l'Angleterre dans son ensemble, avait (déjà) été dans une situation fort éloignée d'un tel idéal dans un passé proche, les classes supérieures ayant dominé avec égoïsme les classes inférieures et les femmes au sein d'une communauté désunie sous le regard indifférent ou complice de l’Église d’Angleterre.

Charlotte Brontë ne blâme pas toutefois outre mesure les patrons-manufacturiers des débuts de la Révolution industrielle. À travers la figure centrale de Robert Moore qui se met à dos ses ouvriers pour vouloir recourir à de nouvelles machines alors que son entreprise de filature est menacée de faillite, elle entend montrer comment le régime de la concurrence assujettissait les patrons d'usines à un élan puissant et aveugle.

Sur ce point, il faut bien reconnaître que les portraits de patrons offerts par Charlotte Brontë sont plus subtils et crédibles que ceux de ses ouvriers qui présentent sous sa main des contours plutôt flous, voire anonymes, certainement décevants par rapport à ceux, par exemple, d'Elizabeth Gaskell dans Mary Barton (1848) ou ceux de Charles Kingsley dans Alton Locke (1850) – grand roman sur les dérives démagogiques du mouvement chartiste.

Charlotte Brontë réussit mieux aussi ses figures variées de femmes dont la domination, au sein de toutes les classes, inférieures comme supérieures, constitue l'autre grand sujet d'un roman, notamment à travers les destins entrecroisés de deux jeunes filles de conditions dissemblables : Caroline Helstone et Shirley Keeldar.

Orpheline effacée et solitaire, la première vit sous le toit d'un oncle, le recteur Helstone, misogyne et indifférent à son sort. Sa seule joie dans la vie réside dans les relations privilégiées qu'elle entretient avec l'homme qui cristallise les tensions dans la région, Robert Moore. Dur, intraitable dans ses affaires, dans le privé il révèle une personnalité plus sensible et douce qui, pour Caroline, ne demande qu'à se répandre au dehors. Mais si elle rêve d'union, il n'en est pas de même de Robert, qui ne veut être distrait en rien du sauvetage de son usine quelle qu'en soit le prix pour les autres.

Je crois que Charlotte Brontë n'a jamais rien écrit de plus délicat et tendre en décrivant le désespoir, non seulement sentimental, mais existentiel, dans lequel plonge alors sa jeune héroïne, désemparée par une pauvreté et une dépendance lui promettant un avenir morne de vieille fille.

Toutefois, celle qui s'enfonce dans des ruminations poignantes sans fin va voir bientôt sa vie être un peu illuminée par l'amitié dont va se prendre pour elle Shirley Keeldar, jeune noble, elle aussi orpheline, de retour sur la terre de ses ancêtres après une absence de plusieurs années.

L'apparition du personnage éponyme du roman de Charlotte Brontë est tardive et certains le déplorent. Pour ma part, je pense que, si le personnage de Shirley n’en finit plus d’arriver comme Godot, ce serait à rapporter au propos conservateur du roman. Charlotte Brontë aurait désiré d’abord exposer l’état désastreux de la société avant d’y apporter des réponses comme l'appel à une noblesse plus rassie dans ses responsabilités.

Pour la figure fière, énergique et généreuse, en un mot solaire que va incarner ainsi Shirley, il convient de mentionner que Charlotte Brontë s'est inspirée de sa propre sœur Emily, commençant son roman peu avant une période où elle verra non seulement cette dernière, mais aussi Anne et son frère Branwell être emportés tour à tour par la maladie de façon prématurée. Si le roman porte assurément la marque de ces épreuves, je ne m'attarderai pas toutefois sur cette question qui nous entraînerait trop loin - pas plus que sur le débat existant sur la justesse avec laquelle Charlotte a mis en scène sa secrète cadette...

Par contre, il est certain que, pour animée qu'elle soit du désir de s'investir dans les affaires locales, Shirley ne sera pas l'héroïne du roman qui porte son nom. Femme avant d'être noble, elle ne le peut pas dans une société dont les hommes tiennent jalousement les reines. De façon générale, il n'y a pas de héros dans Shirley. Pour Charlotte Brontë, ce n'est que par des voies laborieuses et imparfaites que les hommes peuvent améliorer l'ordre des choses – et encore en devant peut-être compter sur la providence divine...

Charlotte Brontë envisage le bonheur en amour de la même façon, que cela soit pour Caroline et Robert ou pour Shirley et son ancien précepteur, Louis Moore, frère de Robert. Charlotte Brontë mène à cet égard un double-jeu croisé puisque Louis, à la position inférieure à ses talents, se présente comme le pendant masculin de Caroline et Robert, patron, comme celui de Shirley, noble.

À travers ces derniers, Charlotte Brontë met en scène des personnes appartenant aux couches supérieures de la société– même si la situation de Robert n'est pas stable - qui se révèlent davantage sensibles aux qualités et aux mérites d'une personne qu'à son statut - ou son sexe, soulignons-le, en ce qui concerne Robert vis-à-vis de Caroline et de Shirley.

Entre Robert et Caroline se dressent cependant les murs d'une usine en péril, entre Shirley et Louis, l'esprit farouche de liberté de la première, excessif aux yeux de Charlotte Brontë - bien qu'elle semble s'amuser à un moment de faire de Louis un « toutou » avide des caresses d'une « léoparde ».

Comme on le voit, Shirley constitue un roman complexe aux fils multiples. Malheureusement, on peut déplorer que Charlotte Brontë ne parvienne pas à les tenir bien tous ensemble, la question de la condition féminine et les intrigues sentimentales prenant à un moment tellement le pas sur la réflexion ouvrière que celle-ci se retrouve perdue de vue longuement. Sur ce point du reste, on pourra aussi, du moins de notre côté généreux de la Manche,  reprocher à Charlotte Brontë de s'en tenir à des réponses paternalistes – mais il faut bien se rendre compte que les problèmes posés par la Révolution industrielle étaient nouveaux et que, pour beaucoup, rien n'était moins naturel que de voir l’État prendre à charge le secours social ou donner voix au chapitre à tous.

Mené à terme dans des conditions des plus pénibles, manquant certes de maîtrise et quelque peu de clairvoyance, Shirley n'en demeure pas moins un roman puissant sur la domination des ouvriers et des femmes. Outre la vérité de la plupart de ses personnages, il comporte des parties mémorables. Je pense notamment aux dizaines de page, pour moi époustouflantes, composant le long épisode de la fête de la Pentecôte. Charlotte Brontë y ressaisit symboliquement tout son propos développé jusque là sur la désunion de la société pour enchaîner sur la suite dramatique des événements en un seul mouvement particulièrement intense.

Shirley se révèle ainsi un roman bancal inspirant un certain chagrin car, à mon sens du moins, il n'a pas manqué tant à Charlotte Brontë pour produire une œuvre de plus grande tenue. Nous avons de la sorte envie de prier le lecteur de faire de l'indulgence une cale pour jouir de tout l'art que Charlotte Brontë a déployé malgré tout, notamment en ce qui concerne les jeunes filles d'antan et toutes celles d'aujourd'hui qui encore, et pas seulement à l'étranger – je pense à nos banlieues difficiles - font face à la sujétion masculine  :

« Suis-je vouée à demeurer toujours contrainte ? s’exclama-t-elle un peu vivement.»

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MessageSujet: Shirley par Eugène Forcade   Shirley - Page 2 Icon_minitimeSam 3 Aoû 2013 - 20:14

D'après mes recherches, Eugène Forcade (1820-1869) est l'homme qui fit connaître Charlotte Brontë en France. En 1848, il consacra en effet à Jane Eyre (paru en Angleterre en 1847) un article dithyrambique dans La Revue des Deux Mondes (vénérable organe qui existe toujours). Peut-être du reste est-ce à lui que l'on doit la première traduction (ou plutôt « imitation » par Old Nick) de Jane Eyre en français l'année suivante, en 1849. Quoiqu'il en soit, cette même année, Eugène Forcade couvrit à nouveau de louanges Charlotte Brontë pour son Shirley, louanges dont je voudrais offrir quelques extraits. Charlotte Brontë elle-même déclara avoir trouvé dans le critique littéraire français celui ayant le mieux compris son roman.

Pour la bonne compréhension des lignes qui suivent, il convient de savoir que Charlotte Brontë se faisait passer, comme ses sœurs, pour un auteur masculin, Currer Bell, ce qui était mis en doute par certains critiques.

« Premièrement [sur la question à l’époque du sexe de l’auteur de Jane Eyre], Currer Bell est une femme : le roman de Shirley en est la preuve définitive. Ce livre abonde en caractères de femmes qu’une femme seule a pu nuancer avec cette variété et cette finesse. La cause des femmes y est défendue partout avec la conviction et l’art tout personnels à ceux qui plaident pour leur compte.
(…)
Ce roman dépayse fort agréablement un lecteur étranger. Il se compose, je crois, d’une trentaine de chapitres. Je ne connais pas le Yorkshire, où Currer Bell a placé la scène de Shirley ; mais, quoique le pays et la société ne paraissent pas devoir être fort attrayants pour un Français, j’y passerais volontiers un mois, à condition de voir en action chaque jour un chapitre de Shirley, de vivre avec des personnes aussi aimables, aussi originales, aussi curieuses que celles dont Currer Bell a peuplé son roman, et d’être admis aux entretiens vifs, énergiques, positifs, poétiques, fantasques, qui remplissent ce livre.
(…)
Cette fois, Currer Bell n’a pas relevé la langueur de l’action par les soubresauts de passion où s’emportait Jane Eyre. Il y a moins d’invraisemblances dans Shirley ; il y a plus d’observation dans l’étude des caractères, plus d’habileté dans l’agencement des scènes, plus d’art peut-être dans le style ; tant pis, c’est un second roman ; je préfère le premier. Currer Bell a conservé cependant, en augmentant la dose çà et là, une des plus piquantes épices de son premier livre : la liberté morale, l’esprit d’insoumission, les velléités de révolte contre certaines conventions sociales. Le dernier mot de Shirley est un défi narquois aux censeurs de la morale de Jane Eyre. [La critique anglaise, après avoir encensé cette œuvre, reprocha à Charlotte Brontë aussi que ses deux sœurs d’attenter aux mœurs.]
(…)
Érigées en théorie, ces révoltes engendrent sans doute la plus dangereuse morale. L’âcre et ardente volupté qu’on trouve un moment à employer tous les ressorts de la vie, même lorsqu’on commence par n’y chercher que la satisfaction des plus nobles appétits de l’esprit, dure peu et aboutit à l’étourdissement le plus bestial. Chez Currer Bell, poussés au hasard d’un roman, ces cris révèlent les inquiétudes d’un feu de jeunesse qui ne s’est point épuisé, les ébullitions d’une force qui se tourmente à chercher une issue. La morale de Currer Bell semble inspirée par un individualisme puissant et exubérant. Il peut y avoir là le principe d’une fausse et funeste tendance ; pourtant nous péchons si peu en France par ce genre d’exagération, nous nous sommes tant amollis dans l’excès contraire, qu’au lieu d’en faire un reproche à Currer Bell, je souhaiterais plutôt qu’il pût nous communiquer son défaut. »


L’article complet d’Eugène Forcade est disponible à cette adresse :
http://fr.wikisource.org/wiki/Le_Roman_anglais_contemporain_en_Angleterre

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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeDim 4 Aoû 2013 - 16:01

Merci pour cet article, très intéressant Shirley - Page 2 567661 Tout se qui se réfère aux soeurs Brontë me passionne Shirley - Page 2 150390 
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeMar 3 Sep 2013 - 15:20

Double-post pour la bonne cause Very Happy 

J'ai bien lu tous vos avis sur Shirley, et je me suis décidée à l'acheter...Je dois dire que c'est surtout grâce à Leibgeber, qui a écrit un avis magnifique sur un roman qui lui tient à coeur...

J'ai déjà lu L'Hôtel Stancliffe, pourtant très différent de Jane Eyre (et donc que j'avais moins apprécié), et pourtant, tout le génie de Charlotte Brontë était là ! drunken Alors, même si Shirley est un roman instable selon vous, je suis sûre que je l'aimerais, ne serait-ce que parce que c'est Charlotte qui l'a rédigé I love you
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeMer 4 Sep 2013 - 14:51

« Un avis magnifique », tu me fais moi assurément rougir d’aise !  Je n’en mérite pas tant - mais cela réjouit quand même, ne mentons pas ! J’espère que Shirley te plaira, Charlotte Brontë y a manifestement tout mis. Et si elle a voulu faire quelque chose en rupture avec Jane Eyre et composer une fresque sociale avec distanciation, très vite la page emporte sa main, pour ainsi dire, et l’aspire de sorte qu’elle est « là » et bien « là » dans son ouvrage.

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MessageSujet: Shirley di Carlotta Brontì   Shirley - Page 2 Icon_minitimeJeu 3 Oct 2013 - 19:35

Aujourd'hui, je voudrais faire découvrir les couvertures on ne peut plus glamours que reçurent les Shirley et Jane Eyre de Charlotte Brontë ainsi que d'autres classiques de la littérature britannique dans le cadre de la collection I Darling (Les Chéris), publiée en Italie dans les années 60/70. (Cime Tempestose correspond aux Hauts de Hurlevent et L’Eterno contrasto à Raisons et sentiments.)

IMAGES (À dérouler) :

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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeVen 4 Oct 2013 - 13:58

Razz Razz  A part l'aspect "vintage" et étude des brushings d'y il y a 50 ans, ces couvertures sont assez révélatrices du public féminin auquel je suppose qu'elles sont adressées !
Je serais curieuse aussi de savoir ce que vaut la traduction : je suis peut-être influencée par le côté "fleur bleue" des couvertures, mais elles donnent aux livres une impression de frivolité Cool
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitimeVen 4 Oct 2013 - 17:49

Merci pour les couvertures très spéciales ! lol! lol! Razz 
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MessageSujet: Re: Shirley   Shirley - Page 2 Icon_minitime

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