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| Semaine 6, Tome 2, Le Pousseur (p. 277 à p.397) | |
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Pando_Kat Lady Gunslinger of Gilead
Nombre de messages : 7151 Age : 43 Localisation : Dans le Tardis, entre Westeros, Arrakis et Giléad Date d'inscription : 26/06/2008
| Sujet: Semaine 6, Tome 2, Le Pousseur (p. 277 à p.397) Lun 15 Déc 2008 - 21:16 | |
| Oh la vache, j'ai un peu oublié d'ouvrir ce sujet hum... J'espère que cette dernière partie vous a plus accroché que la précédente, au moins maintenant, Detta ne devrait plus vous embêter Intermède *romantique* avec ce nouveau brassage, puisque le retour d'Odetta, associée à un affaiblissement de Roland permet à Eddie et à la Dame d'Ombre de se rapprocher... Intermède un peu court tout de même, puisque la fin nous montre que non seulement Detta est revenue, et qu'elle est armée, merci Eddie mais qu'en plus Eddie reste de ce côté, seul et épuisé pendant que Roland va tirer sa troisième carte... Destin ou coïncidence?, la fameuse troisième carte de Roland se trouve être le responsable de ce qui est arrivé à Odetta, mais également de la mort de Jake. Jake que l'on revoit ici et que Roland va sauver cette fois Il y a encore un espoir pour le "vraiment méchant" Cela dit, on a une piste que ce qui nous attend dans la suite avec ce passage "un tantinet dérangeant" comme aurait pu le dire Walter - Citation :
- Les considérations sur ce qui pourrait advenir s'il empêchait l'Homme en noir d'assassiner Jake ne devaient se présenter que plus tard : l'éventuel paradoxe, la fissure dans le temps et dans l'espace susceptible d'annuler tout ce qui s'était produit après son arrivée au relai... car Jake n'avait pu y être puisqu'il le savait ici, et tout ce qui avait alors suivi leur rencontre s'en trouvait nécéssairement modifié
Encore de bonnes migraines en perspectives Mort est un personnage assez horrible, et je dois dire que je suis très heureuse que Roland ne le ramène pas de l'autre côté celui-là... On a encore droit à des scènes d'anthologie avec Roland qui embobine proprement les "pistoleros" de notre monde ^^ Et pendant ce temps, Eddie se trouve lui proprement ficelé par Detta, et sur le point de passer un très mauvais moment. Jusqu'à ce que Roland soit sur le point de franchir la porte dans l'autre sens, et mette ce passage entre les mondes et la *double vision* qui l'accompagne pour permettre à Detta et Odetta de prendre réellement conscience l'une de l'autre, jusqu'à ce que leur réunion donne naissance à une femme enfin complète, Susannah (qui ne va pas s'embarrasser de formalités et prendre le nom de Susannah Dean, quel tombeur cet Eddie ^^) J'aime beaucoup les dernières pages, même si il faudra attendre le tome 3 pour faire réellement connaissance avec Susannah... Ils sont trois maintenant, et la quête de la Tour peut reprendre. _________________ Library Thing - Listography - Tumblr - Goodreads"Captain Cogitation" | CEO of Black Corporation | Commander of the Kraken (and other big bad ass monsters) N°1 loyal subject of the One and Only Queen Margaret |
| | | norav Northern Breath
Nombre de messages : 4928 Age : 48 Date d'inscription : 29/03/2007
| Sujet: Re: Semaine 6, Tome 2, Le Pousseur (p. 277 à p.397) Lun 15 Déc 2008 - 22:07 | |
| J'ai rattrapé tout mon retard. Je me suis fait un dimanche tour sombre. Oui, j'ai de loin préféré cette dernière partie. . Qu'est ce qu'elle est horrible cette Detta !!! J'aime beaucoup le fait qu'on passe d'un monde à l'autre régulièrement tout le long de la partie. Le compte à rebours est lancé et le pistolero doit revenir avant qu'Eddie se fasse dévorer. Je me suis demandée tout le long comment Roland allait pouvoir le sauver avec Detta l'attendant derrière la porte. Je dois avouer que je ne m'attendait pas du tout à ça. Jake est sauvée. Le pistolero a en quelque sorte réparé sa faute mais comme tu le souligne Pando, que va t-il se passer maintenant que le futur est changé ? Que nous réserve encore ce sacré Stephen ? (et une question de plus, une ) Je suis bien contente également pour Mort, il l'a bien mérité. Que dire de Susannah ? J'ai bien aimé le passage de la lutte entre Odetta et Detta. C'est un peu la lutte entre le bien et le mal. Et cette fusion entre les 2 donne Susannah qui possède l'humanité d'Odetta et la force de Detta. Les dernières pages m'ont beaucoup plus également. Roland devient plus humain. On sent qu'il aime vraiment Susannah et Eddie. D'ailleurs, il me semble que c'est la 1ère fois qu'il avoue qu'il éprouve de l'amour. Ben maintenant, je sais plus trop si j'ai envie d'attendre une semaine, moi |
| | | Artemis Clever Smiling Sweetness
Nombre de messages : 2721 Age : 38 Localisation : De passage au 221B Baker Street Date d'inscription : 14/09/2008
| Sujet: Re: Semaine 6, Tome 2, Le Pousseur (p. 277 à p.397) Jeu 25 Déc 2008 - 20:40 | |
| J'ai beaucoup aimé la dernière partie , notamment pour l'humour dans le décalage entre le monde de Roland et "notre monde" quand ce dernier s'y trouve, et puis d'une certaine manière la boucle est bouclée, les trois cartes ont été tirées, on peut reprendre le chemin de la Tour Sombre. Pour reprendre un peu plus en détails, dans l'ordre du texte ... A la fin de la partie précédente, on laissait Roland dans un sale état, trop faible pour bouger, et je me demandais comme il pourrait atteindre la 3e porte, qui n'est visible nulle part. De plus Odetta est de retour, ce qui est un soulagement... Mais pour combien de temps ? Detta va bien finir par revenir , me suis-je dit au début de cette partie, et je dois dire que je pressentais un peu les ennuis, sans savoir comment tout cela allait se dérouler ... Cette partie débute par un "rebrassage". Pourquoi rebrassage ? Rebrassage de cartes ? Avec la maladie de Roland qui risque de mettre sa quête en péril ? Ou alors qui annonce que Roland va "sauver" Jake ce qui va changer le jeu ? Toujours pas de porte à l'horizon, donc Odetta et Eddie partent seuls à la recherche de celle-ci, laissant Roland seul dans un environnement plutôt suspect. Je m'attendais à ce qu'un des animaux qu'on entendait dans les collines l'attaque, mais heureusement non (enfin je crains que nos héros croisent ces bestioles pas très sympathiques dans le tome suivant ... enfin ce n'est qu'une supposition !) Odetta, pour en revenir à elle, ne réalise toujours pas qu'elle subit un dédoublement de personnalité, et comme Detta, se construit des faux souvenirs (comme par exemple pour s'expliquer pourquoi elle est si faible, c'est selon elle parce qu'elle est allergique aux homards). Je me suis demandée longtemps comment les deux personnalités allaient pouvoir fusionner. Mais tant qu'elles restent distinctes, le danger de Detta reste toujours bien présent, ce qui pousse le pistolero à interdire à Eddie de lui laisser une arme lorsqu'elle sera seule. J'ai d'ailleurs beaucoup aimé leur échange à ce moment là (p283): - Citation :
- - C'est d'une logique impeccable. Tu n'en restes pas moins le dernier des salauds.
- Bon, tu pars ou tu restes. Mais tu arrêtes de me traiter de tous les noms. - Tu as oublié quelque chose, fit Eddie, furieux. - Quoi ? - De me dire de grandir. C'est toujours ce que finissait par me lâcher Henry : "Grandis un peu, gamin !" Le Pistolero sourit. Un sourire las, étrangement beau. - Je crois que c'est déjà fait. Tu es grand maintenant. Alors, tu pars ou tu restes ? J'aime beaucoup cette manière dont le Pistolero considère Eddie comme un adulte, et non comme un enfant. D'ailleurs, il est vrai qu'Eddie a énormément muri depuis qu'il a passé la porte. Et puis aussi la manière dont Eddie voit le Pistolero, en le comparant à son frère par certains côtés, avec une relation d'autorité (Eddie suit, plus ou moins, ce que Roland demande) mais aussi de soutien mutuel. En même temps, dans ce passage, on voit deux personnalités bien distinctes. Celle de Roland, qui est rationnel, logique, qui a un objectif et fait tout pour l'atteindre. Et en face, Eddie, qui est plus impulsif, plus basé sur les émotions. En effet, il est évident que Odetta n'est pas dangereuse, mais que l'épée de Damoclès plane au-dessus de leurs têtes, que Detta peut réapparaître à n'importe quel moment, et alors Detta en possession d'une arme pourrait être mortelle. Cependant, Eddie ne voit pas le côté Detta dangereuse, mais le côté Odetta vulnérable. Odetta est d'ailleurs la première à apercevoir la porte. Eddie remarque ses capacités hors-pair, ce qui me fait penser à ce que disait Roland dans la partie précédente, que ces deux cartes étaient potentiellement des Pistoleros: - Citation :
- Seigneur, se dit-il, elle a d'aussi bons yeux que Roland. Meilleurs, peut-être.
Enfin ils arrivent à la porte. Là encore, c'est un grand étonnement face à cette porte qui n'est pas visible de tous côtés. Et l'heure du retour a sonné pour Eddie, qui va agir de manière totalement inconsciente, en laissant une arme à Odetta, alors que même cette dernière, en "écho inconscient" du Pistolero lui demande des aliments et des pierres pour se protéger. L'échange entre Odetta et Eddie est assez étonnant car Odetta ne lui demande à aucun moment l'arme, mais on a le sentiment que Eddie culpabilise de suivre les ordres de Roland et de laisser Odetta, la femme qu'il aime, sans moyen, efficace selon lui, de se défendre, alors qu'Odetta en est à insister pour ne pas être armée ! J'aime bien l'humour de cette partie, notamment au retour d'Eddie pour aller chercher Roland (p297): - Citation :
- - [...] mais je ne cracherais pas sur un cheeseburger accompagné d'une mousse.
- Mousse ? répéta le Pistolero, incertain, revoyant les frais vallons du Parc Royal. Lorsque les deux arrivent, épuisés, à la porte, plus d'Odetta ni de Detta. Enfin on se doute bien du retour de Detta... La porte se nomme "le pousseur", alors qu'elle représente la mort, comme lui avait dit l'Homme en noir (d'ailleurs, hors sujet, mais je crois que j'ai un peu confondu les personnages de Marten et de l'homme en noir ... je me suis rendue compte que c'étaient deux personnages différents dans le résumé du début de tome ... ). A ce moment là de la lecture, je me suis creusé les méninges pour comprendre ce que signifiait "le pousseur". Je dois avouer qu'à aucun moment je n'aurais imaginé le sens qu'en a choisi King ... Avant d'entamer la partie "le pousseur", encore quelques citations qui m'ont beaucoup plu ... - Citation :
- Romantique dans sa rudesse, Roland avait également le réalisme de savoir que l'amour triomphait parfois de tout. Et lui, maintenant, où en était-il ? (p 299)
Ou alors lorsqu'il discute avec Eddie, avec qui il est en désaccord concernant ce qu'il faut faire (alors que pendant ce temps, n'oublions pas que Roland se meurt !!!) (p301) - Citation :
- Roland sentait monter en lui une exaspération lasse. Quelqu'un - Cort, peut-être, mais il lui semblait plutôt que c'était son père - avait eu un diction : Autant chercher à boire l'eau de l'océan à la petite cuillère que de vouloir discuter avec un amoureux.
Puis les allusions au Petit Chaperon Rouge sont assez savoureuses, tandis que Roland entre dans une partie de poker (au sens figuré bien sûr, mais c'est l'impression que ça m'en a fait ... d'ailleurs, encore des cartes !!!) avec les armes et les balles, quelles sont les balles utilisables ou non, etc. On sent la maîtrise du Pistolero, sa volonté de fer malgré son état. Puis on entre dans la partie consacrée au "Pousseur". Je plussoie, Pando, "toutélié" ! Là encore, on ressent de manière latente l'opposition entre libre-arbitre et fatalité/destin (dont KittKat avait parlé dans la partie de la semaine dernière), lorsque, en sauvant Jake, Roland se pose des questions, comme Pando l'a cité (oh oui, quelles migraines en perspectives !!! S. King s'amuse à nous faire marcher nos petites cellules grises et nous titiller les méninges !! ) Pour en venir à la 3e carte, Jack Mort est un personnage absolument horrible. Moi qui trouvais Detta Holmes dérangeante et ne l'aimais pas du tout, elle n'est pas grand chose face à ce monstre. Enfin elle est loin d'être sympathique non plus, vu ce qu'elle fait à Eddie. D'ailleurs, la tension due à cette course contre la montre pour sauver Eddie m'a donné un peu l'impression d'être dans un film d'action. Par contre, si j'ai horreur de Jack Mort (d'ailleurs, j'ai apprécié la différence de comportement de Roland qui ne tente à aucun moment de le rassurer et de lui expliquer ce qu'il se passe), j'ai adoré tout le décalage de comportement et de langage (Roland qui est comparé à un Terminator) et l'humour de cette partie (comme pour compenser, dans un sens, son horreur ...) : le concept de "Mortcyclopédie", et autres "tenancier de magasin", "pot de piquet" (pickpocket) et "fers" (menottes) ! D'ailleurs, New York n'a pas fini d'étonner Roland (p344): - Citation :
- 150 cartouches ! Dieu du ciel ! Quelle corne d'abondance insensée que ce monde !
Ou alors lorsqu'il s'attend à trouver en place d'un pharmacien un magicien, enchanteur ou alchimiste ! Et puis j'ai adoré la maîtrise et l'adresse avec lesquelles il finit par obtenir ce qu'il veut (armes et médicaments), et la manière dont il roule les pistoleros locaux !!! J'étais bien contente que Mort meurt, et pas seulement parce que ça a permis à Detta et Odetta de fusionner. Ce personnage était vraiment trop horrible, et je me demande bien ce que Roland aurait bien pu en faire de l'autre côté de la porte. Ainsi, j'ai l'impression qu'il y a, d'une certaine manière, une morale dans l'histoire (enfin dans ce cas là je veux dire), il meurt de la manière dont il a fait mourir. La boucle est bouclée, ce qui pour moi est symbolisé par la question de Roland pose à Odetta/Detta, question que celle-ci s'est posée en traversant la porte : "qui es-tu" . Avec le "Brassage final", on sent que la quête va pouvoir reprendre, maintenant que la nouvelle Susannah s'est constituée, cette femme qui a la puissance de Detta et l'intelligence et la sensibilité d'Odetta. - Citation :
- Roland l'aimait parce qu'il la savait capable de se battre jusqu'au bout ; et il avait peur pour elle parce qu'il se savait capable de la sacrifier - comme de sacrifier Eddie - sans la moindre hésitation, sans un regard en arrière.
Pour la Tour. Cette damnée Tour. Eddie compare d'ailleurs le Pistolero à son frère, en lui disant qu'il est accro à sa Tour, comme son frère était accro à la tour blanche, la drogue. Or, ça l'a tué. On se demande vraiment jusqu'où ira Roland. Je me demande: s'il croise à nouveau Jake, le sacrifierait-il encore pour la Tour ? Et qu'est-ce que représente cette Tour ? Est-ce que ce qu'elle incarne vaut tous ces sacrifices ? J'ai ressenti comme une mise en garde lorsque Roland trouve de l'herbe du diable. Tout n'est pas résolu, les dangers planent toujours. La prochaine étape est désormais de faire parler la mâchoire de l'homme en noir ... Je crains que ça ne soit pas si simple ... Maintenant que j'ai rattrapé mon retard, je vais essayer de rester dans les rails cette fois ! Donc je vais filer lire la partie suivante (que j'ai eu pour Noël ! ) Oups, je viens de me rendre compte que je me suis un peu laissée emporter ... Désolée pour la longueur !! |
| | | Pando_Kat Lady Gunslinger of Gilead
Nombre de messages : 7151 Age : 43 Localisation : Dans le Tardis, entre Westeros, Arrakis et Giléad Date d'inscription : 26/06/2008
| Sujet: Re: Semaine 6, Tome 2, Le Pousseur (p. 277 à p.397) Dim 28 Déc 2008 - 12:00 | |
| Pas de problème pour la longueur du post ^^ et bravo pour tes cadeaux de Noël Ca fait plaisir de voir votre enthousiasme sur cette dernière partie *et en route vers le tome 3* Toujours effectivement, ces petites touches d'humour, que ça vienne d'Eddie qui est très cynique et pince-sans-rire parfois, ou de Roland qui lui prend tout au premier degré je trouve que ça fonctionne très bien _________________ Library Thing - Listography - Tumblr - Goodreads"Captain Cogitation" | CEO of Black Corporation | Commander of the Kraken (and other big bad ass monsters) N°1 loyal subject of the One and Only Queen Margaret |
| | | KittKat Romancière anglaise
Nombre de messages : 1655 Age : 43 Localisation : In the Whoniverse Date d'inscription : 02/04/2007
| Sujet: Re: Semaine 6, Tome 2, Le Pousseur (p. 277 à p.397) Mar 30 Déc 2008 - 14:09 | |
| Rolala, quelle patate je suis, je me rends compte que j'ai complètement oubliée de poster mon avis sur cette dernière partie En plus ça fait maintenant quelques temps que je l'ai lu et du coup, ma mémoire de poisson rouge fait encore des siennes ! Donc je vais commencer avec LE passage qui m'a le plus interpellé dans cette partie : le sauvetage de Jake... Si ce passage m'a marqué, c'est parce que la première réflexion qui m'ai traversée la tête a été : "OMG, mais que dirait le Docteur???" Enfin bref, déja qu'il est dangereux d'écraser une fourmi dans le passé, alors sauver quelqu'un qui est censé mourir, franchement, j'ai envie de dire que ce n'est pas très malin ! Mais bon, l'avenir nous dira bien si Roland a eu ou non raison de faire ça ! Sinon j'ai beaucoup aimé cette dernière partie, plus que la partie précédente que j'avais trouvé un peu laborieuse, surtout à cause du personnage de Detta! Non pas que le pousseur soit beaucoup plus fréquentable, mais j'aime beaucoup la manière qu'à Roland d'intéragir avec lui, en l'écrasant de sa présence quand il se rend compte de ce que recèle l'esprit de ce monstre ! Et il n'y a pas à dire, c'est tout de même assez rigolo de voir notre monde par les yeux du Pistolero ! Et puis comme cette partie se termine sur la "fusion" Detta-Odetta, on a l'impression d'un mini happy-end, qui ne durera certes pas très longtemps, on s'en doute, mais de vois nos héros un peu heureux fait franchement du bien Donc voila, un bilan plutot positif pour ce deuxième volet des aventures du Pistolero, qui du coup me donne vraiment envie de me mettre à la suite |
| | | Miss Halcombe Wandering White Soul
Nombre de messages : 3819 Age : 74 Localisation : Bourbonnais Date d'inscription : 24/06/2007
| Sujet: Re: Semaine 6, Tome 2, Le Pousseur (p. 277 à p.397) Mar 6 Jan 2009 - 16:14 | |
| Je poste ici pas mal de temps après avoir lu cette partie et je vais être plutôt succincte ( j'ai un peu oublié les détails ). J'ai particulièrement aimé le chapitre 3 intitulé " Roland prend son médicament " : ce titre à double sens m'a beaucoup amusée, quand on pense à la façon dont il le prend, ce médicament ! . J'ai trouvé beaucoup d'humour dans cette partie ( à part les passages avec l'horrible Detta , je suis contente qu'elle disparaisse du paysage ) : - dans la façon dont roland se sert de l'esprit de Mort ( qui est devenu sa " Mortcyclopédie " - quand il juge les capacités moyennes des policiers , ses " frères pistoleros " ( on voit là qu'il n'est pas cruel, car bien que redoutable tireur, il cherche à préserver leur vie ) - dans le regard décalé que Roland pose sur ce monde qui n'est pas le sien ( le pharmacien est un alchimiste ) etc...je me rappelle m'être bien amusée à la lecture de cette partie ! Et je suis de plus en plus épatée par la façon qu'a Stephen King de distiller les informations sur le passé de Roland, de nous faire faire des allers-retours incessants dans le temps et les lieux ( la mort de Jake qui semble ne plus être vraie ... ) Je me demande comment il a fait pour s'y retrouver en écrivant ! |
| | | Pando_Kat Lady Gunslinger of Gilead
Nombre de messages : 7151 Age : 43 Localisation : Dans le Tardis, entre Westeros, Arrakis et Giléad Date d'inscription : 26/06/2008
| Sujet: Re: Semaine 6, Tome 2, Le Pousseur (p. 277 à p.397) Mar 6 Jan 2009 - 16:58 | |
| Ravie de te retrouver Miss Halcombe Effectivement King met beaucoup d'humour dans ce cycle (et dans ses livres en général) et cette partie en est un exemple assez réjouissant ^^ Et j'ose même pas imaginer la montagne de notes qu'il a du avoir en effet _________________ Library Thing - Listography - Tumblr - Goodreads"Captain Cogitation" | CEO of Black Corporation | Commander of the Kraken (and other big bad ass monsters) N°1 loyal subject of the One and Only Queen Margaret |
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| Sujet: Re: Semaine 6, Tome 2, Le Pousseur (p. 277 à p.397) | |
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| | | | Semaine 6, Tome 2, Le Pousseur (p. 277 à p.397) | |
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