Episode 2

Bizarrement quand je lis vos commentaires, c'est d'une évidence!! Je cherche la petite bête!

Et c'est tant mieux, c'est ça qui nous permet de discuter de la série.

Fée clochette a écrit:

pas pleurer bébé

Margarett, essaye de réparer sa première erreur ! souviens-toi, il avait tendu la main et ne l'avait pas prise, car dans son milieu, les jeunes filles n'avaient pas à le faire, mais à la réception, elle est avec son père et elle remplace sa mère, elle peut saluer en tendant la main, elle insiste un peu, elle met les deux mains pour lui signifier qu'elle est contente d'être venue et qu'elle le salue à sa manière du nord.. elle le met sur un pied d'égalité. C'est ce que je pense MOI peut-être d'autres auront une réponse différente.

Si elle s'est "jetée à son cou"..... elle l'a fait sans réfléchir, Margaret est une impulsive, calme, mais impulsive car très jeune. Elle a tellement l'habitude de protéger (Edith, sa mère, son père) que cela lui est naturel. Pris dans un autre milieu, celui d'Helstone ce n'était pas étonnant. Par contre, les moeurs du nord sont différents, et elle est critiquée ce qui la met en colère.... et oui, il y a qui pro quo entre John, les domestiques des Thornton, Fanny, sa mère et elle. D'où la déclaration.

Je rejoins l'avis de Fee Clochette et celui de Mr Darcy. Margaret est effectivement très impulsive selon moi et de plus, se retrouve encore en terrain inconnu à Milton. Je la vois encore très "innocente" même si elle a du répondant, d'ailleurs, tout dans ses vêtements lorsqu'elle se rend chez les Thornton alors qu'il y a l'émeute, montre qu'elle a l'air encore innocente. Elle ne sait pas non plus très bien comment se comporter avec lui. Je pense qu'elle se sent mal à l'aise vis à vis de Thornton...C'est un homme aux allures très différentes de celles des hommes qu'elle voit dans son cercle fermé de Londres...RA en impose aussi physiquement; attention, je n'ai pas dit qu'il lui faisait peur mais elle est un peu mal à l'aise...Elle essaie toujours de respecter une certaine distance physique avec lui sauf lorsqu'au diner, elle accepte de lui serrer la main...mais je pense que là, elle commence à s'intéresser à lui et peut-être même à l'apprécier. Quand ils sont à table, elle regarde à un moment donné avec un peu d'admiration (j'aime beaucoup ce regard, d'ailleurs!) jusqu'à ce que Mr Bell fasse sa remarque provocante et puis Thornton, réagit bien sûr et la rabaisse devant tout le monde "you do more harm than good with your basket"

Lorsqu'elle se jette à son cou, c'était tout à fait impulsif. Elle l'a fait sans réfléchir. C'est la mère de Thornton et Fanny qui vont croire qu'elle s'est jetée à son cou parce qu'elle est amoureuse de lui.

Donc elle est très mal à l'aise quand elle revoit Thornton après coup puisqu'elle a entendu la conversation de Fanny avec la servante. Et de nouveau, j'ai noté qu'elle voulait mettre de la distance entre elle et lui...En fait, j'ai dit plus haut qu'elle n'avait pas peur de lui mais dans la scène de demande en mariage, j'ai l'impression très nette qu'elle est très "mal à l'aise" de se retrouver face à lui, dans le sens où elle est très consciente de la proximité physique de Thornton. Il a fermé la porte (grosse erreur!), donc elle se retrouve complètement seule avec lui.
Il fait d'autres "boulettes" (excusez moi l'expression mais c'est le 1er mot qui me vient à l'esprit) en ne l'écoutant pas lorsqu'elle essaie de lui faire comprendre qu'il s'y est mal pris avec les ouvriers et en prenant un ton un peu condescendant par rapport à sa relation avec les ouvriers.
Alors qu'elle essaie de lui faire comprendre qu'elle aurait fait la même chose avec n'importe quel autre homme, il ne l'écoute pas si bien que quand il lui dit enfin "Miss Hale, my feelings for you are very strong", elle l'arrête tout de suite. Je pense que ça lui fait peur, à Margaret d'entendre ces mots...Ce qui lui fait peur en fait, c'est le tempérament de Thornton. Il a un tempérament assez volatile, sa réaction l'est justement dans cette scène. Elle n'est pas prête à se marier et encore moins avec lui qu'elle voit encore comme un homme rustre...c'est elle qui pense en 1er qu'il veut la posséder...je parle surtout de la scène dans l'adaptation car dans le livre, elle est vraiment très différente.

C'est une scène très intéressante, dans la mise en scène, au niveau des dialogues et l'interprétation des acteurs.

Marie,
j'admire l'exactitude de votre l'étude du comportement des personnages... vous soulignez une attitude d'une très grande importance dans le milieu fréquenté par Margaret Hale : respecter une certaine distance physique, sauf lors du salut. c'est vraiment important pour elle, non pour lui, chef d'entreprise donc homme de contact, non rompu aux manières raffinées des salons londoniens huppés, comme Mr Lennox. Ses fréquentations se bornent à des hommes qui lui ressemblent.

Vous dites

Citation :

qu'elle voit encore comme un homme rustre...

C'est un homme de commandement. Diriger une usine demande des qualités qu'elle n'a jamais encore rencontré chez un autre. Que connait-elle de la vie, presque rien, mais nous lui pardonnons car elle n'a que 19 ans. Diriger une usine ce n'est pas faire la charité, comme l'entend une fille de Pasteur. Il paye ses hommes plutôt mieux que certains, il est un patron qui investit et n'admet pas la grève pour les raisons qu'il donne et il ne sait pas être mondain. Mais est-ce que cela lui enlève sa valeur d'homme. Je ne crois pas.

Miss Margaret a écrit:

Bizarrement quand je lis vos commentaires, c'est d'une évidence!! Je cherche la petite bête!

Ben, je ne pense pas que tu cherches tant que ça la petite bête, j'ai moi aussi l'impression que Margaret a une attitude relativement ambiguë par rapport à Thornton (en particulier durant la réception). Attirance inconsciente ? sans doute. Spontanéité et désir de faire plaisir à l'ami de son père ? peut-être.
Il me semble cependant que dans le XIXème extrêmement codifié et subtil que nous a peint de vives couleurs Fée Clochette, elle lui donne nombre d'encouragement (qui n'apparaissent pas dans le livre... même s'il ne faut pas comparer). A tel point que l'on peut se demander pourquoi il est tellement sûr qu'elle va le refuser quand il part faire sa demande. Elle l'a repris, parfois vertement à plusieurs reprises (notamment sur les paniers lors de la réception: "But surely to give a dying baby food... is not just a question of logic.") mais son attitude prête un peu à confusion: illumination du regard et sourire à son arrivée (même Mr Bell s'en aperçoit), poignée de main appuyée, suivi du regard lorsqu'il s'éloigne (une des spécialités de Margaret dans la série: se retourner sur John Thornton et le suivre des yeux).

Bon je n'ai pas encore posté sur l'épisode 1... ni sur les autres

MissAcacia a écrit:

Ben, je ne pense pas que tu cherches tant que ça la petite bête, j'ai moi aussi l'impression que Margaret a une attitude relativement ambiguë par rapport à Thornton (en particulier durant la réception). Attirance inconsciente ? sans doute. Spontanéité et désir de faire plaisir à l'ami de son père ? peut-être.
Il me semble cependant que dans le XIXème extrêmement codifié et subtil que nous a peint de vives couleurs Fée Clochette, elle lui donne nombre d'encouragement (qui n'apparaissent pas dans le livre... même s'il ne faut pas comparer). A tel point que l'on peut se demander pourquoi il est tellement sûr qu'elle va le refuser quand il part faire sa demande. Elle l'a repris, parfois vertement à plusieurs reprises (notamment sur les paniers lors de la réception: "But surely to give a dying baby food... is not just a question of logic.") mais son attitude prête un peu à confusion: illumination du regard et sourire à son arrivée (même Mr Bell s'en aperçoit), poignée de main appuyée, suivi du regard lorsqu'il s'éloigne (une des spécialités de Margaret dans la série: se retourner sur John Thornton et le suivre des yeux).

pour moi aussi, Margaret se sent attirée par Thornton inconsciemment. Elle ne peut s'empêcher de le regarder. je pense qu'au début, c'est de la curiosité par rapport au "statut" de JT: tout le monde autour d'elle "loue" les louanges de cet homme donc elle se pose des questions à son sujet et puis elle ne peut s'empêcher de le trouver intéressant ou du moins les conversations qu'elle a un peu avec lui l'intéresse. C'est le cas dans le livre, mais on peut le voir aussi au tout début de l'épisode 2 quand elle est à Malborough Mills et qu'elle se met à discuter de la grève et du salaire des employées avec lui. Et lui, de son côté voit bien que ça l'intéresse, qu'elle veut savoir. En ce sens, Margaret Hale est bien différentes des autres femmes du même milieu qu'elle et de son époque car les femmes n'étaient pas censées s'intéresser aux "affaires" des hommes pendant l'ère victorienne. (je mets en italique car ce n'est pas moi qui affirme cela) Donc Margaret Hale est une femme à part puisque elle a envie de savoir comment se gère une usine de textile, comment Thornton gère sa manufacture, et n'hésite pas à demander.
Tout cela me rend perplexe parce que d'un coté, on a une période victorienne extrêmement "codifiée" et où les femmes de rangs les plus élevés n'avaient pas vraiment leur mot à dire et de l'autre, des auteurs comme Elizabeth Gaskell qui nous présentent des héroïnes ayant du caractère et en quête de savoir...Je me demande comment les lecteurs et les lectrices dans les années 1850 ont réagi par rapport à ce roman et à cette héroïne qui pose des questions...qui dit ce qu'elle pense.
désolée pour cette digression mais Margaret Hale doit être peu banale aux yeux de JT.
Lui, de son côté, est très vite "ébloui" par elle mais il ne perd pas de vue que ce n'est pas le cas de la jeune femme. J'ai l'impression qu'il se rabaisse un peu et se dit "comment une femme aussi belle et aussi intéressante pourrait s'intéresser à un homme comme moi?" c'est pour ça que quand sa mère tente de le persuader que Margaret ressent quelque chose pour lui, il n'y croit pas. Il se laisse persuader à faire sa demande car il veut que ça sorte. On a l'impression qu'il veut y croire dans la scène où il parle à sa mère.

Scarlett, je me suis exprimée de façon plus caricaturale, certes, que l'auteur, mais il y a des passages où, en essayant d'expliquer/de s'expliquer la situation il me semble que MH exprime une certaine volonté de disqualifier Thornton :

Selen a écrit:

en lui expliquant clairement qu'elle se serait jetée au cou de n'importe quel ouvrier dans la même situation que lui mais avec davantage de plaisir !

Scarlett a écrit:

Je ne me rappelle pas qu' elle ait dit ça!

Je m'appuie sur les passages :

Citation :

But what possessed me to defend that man as if he were a helpless child! Ah!" said she, clenching her hands together, "it is no wonder those people thought I was in love with him, after disgracing myself in that way. I in love — and with him too!" Her pale cheeks suddenly became one flame of fire; and she covered her face with her hands. When she took them away, her palms were wet with scalding tears.
" Oh how low I am fallen that they should say that of me! I could not have been so brave for any one else, just because he was so utterly indifferent to me — if, indeed, I do not positively dislike him. (...)

Traduction du discours direct seulement :

Citation :

Mais qu'est-ce qui m'a pris de défendre cet homme comme s'il était un enfant sans défense! Ah ! (...) il n'est pas étonnant que ces gens aient pensé que j'étais amoureuse de lui, après que je me sois déconsidérée de cette façon. Moi amoureuse - et de lui en plus! (...) Oh combien je suis tombée bas pour qu'on puisse dire cela de moi ! Je n'aurais pu être aussi courageuse pour personne d'autre que parce qu'il m'est si profondément indifférent - même si, en effet, je ne le déteste pas positivement. (...)"
CHAPTER XXIII MISTAKES

et bien sûr la fameuse explication lors de la demande :

Citation :

"But you seem to have imagined, that I was not merely guided by womanly instinct, but" — and here the passionate tears (kept down for long — struggled with vehemently) came up into her eyes, and choked her voice — "but that I was prompted by some particular feeling for you — you! Why, there was not a man—not a poor desperate man in all that crowd — for whom I had not more sympathy — for whom I should not have done what little I could more heartily."
"You may speak on, Miss Hale. I am aware of all these misplaced sympathies of yours. (...)"

que je traduis :

Citation :

"Mais vous semblez avoir imaginé, que je n'étais pas seulement guidée par l'instinct de femme, mais (...) par un sentiment particulier pour vous - vous ! Alors qu'il n'y avait pas un homme—pas un pauvre homme désespéré dans toute cette foule—pour lequel je n'avais davantage de sympathie - pour qui je n'aurais fait le peu que je pouvais de meilleur coeur. "
"Vous pouvez le dire, Miss Hale. Je suis au courant de toutes ces sympathies déplacées qui sont les vôtres. (...)"
CHAPTER XXIVMISTAKES CLEANED UP

Voilà en particulier d'où viennent mes impressions, mais dis-moi s'il te semble que ma traduction déforme, cela m'intéresse, bien sûr !

Selen, le problème avec toi, c 'est que tu commentes le livre et l' adaptation en les comparant Ce qui n' est pas mon cas et je croyais que tu parlais juste du film toi aussi. Ce topic est celui de l' adaptation et je ne commente que le film. je n' ai pas le temps de me consacrer au marathon du roman pour l' instant et je ne le connais pas par coeur au contraire du film

Scarlett a écrit:

Selen, le problème avec toi, c 'est que tu commentes le livre et l' adaptation en les comparant

Oui, oui, bien d'accord (voir mon post précédent), mais c'est qu'en relisant le forum je me suis rendu compte que je ne t'avais pas répondu sur ce point précis. Bonne soirée.

J'arrive après la bataille mais je n'avais pas eu trop le temps de me poser pour rédiger un commentaire constructif...
Ce que j'aime dans cette épisode, c'est l'évolution de Margaret. Elle est toujours aussi maladroite, mais on voit bien qu'elle essaye de faire des efforts. Par exemple quand elle discute avec les ouvrières dans la cour de l'usine... On sent une certaine proximité entre elles et Margaret.... un peu gâchée quand elle leur demande si elles vont faire grève alors que Thornton est dans son dos...
Et puis, elle et Thornton se rapprochent petit à petit. Le climat n'est plus aussi hostile. Je trouve même Thornton plutôt pédagogue et patient. Elle est sympa avec lui aussi, avant le diner par exemple (j'adoooooooooore cette scène). A ce propos, j'en profite pour glisser un message personnel à tous les réalisateurs qui, je le sais, lisent avec attention mon avis: il faut arrêter ces plans sur les mains... Quand on sait que je peux pleurer devant un écran de pub, imaginez ce que ces images ont comme impact sur mon petit d'artichaut! Un peu de pitié, SVP!

Je poursuis, plus sérieusement... Une bonne idée que d'expliquer le contexte de cette grève par l'échange de lettres avec Edith. Elle est utilisée comme un symbole de neutralité, en quelque sorte (alors qu'en fait, elle doit se cogner sévère des évènements de Milton ).
Une autre bonne idée, celle de faire raconter par Margaret l'histoire de Frédérick à Bessy Higgins. Elle devient plus qu'une amie, une confidente, et on mesure ainsi l'attachement que Margaret éprouve pour elle.

Il y a beaucoup moins d'oppositions Nord/Sud que dans le premier épisode. La seule qui demeure vraiment et qui contraste, c'est quand Dixon parle de son attachement à Mrs Hale, alors que les ouvriers et Thornton, eux, revendiquent leur indépendance.

C'est à peu près tout! Un petit mot sur mes Thorntonnettes préférées... Fanny est hilarante... Si je devais choisir la scène où elle me fait le plus rire, ce serait sans doute celle où elle s'évente alors que Margaret est inconsciente sur le canapé comme si elle était celle qui souffrait le plus. Et puis, Mrs Thornton, quelle mère incroyable! Elle m'a scotchée! Je croyais être une bonne mère, elle va finir par me filer des complexes!

Pour le reste, vous avez tout dit. Je rajoute juste un mot sur l'air désemparé de John Thornton quand Margaret est à terre, aussitôt il prend le dessus avec arrogance... Et il a exactement la même attitude quand elle le rejette. De là à penser qu'il est dévasté par son refus, il n'y a qu'un pas que je franchis allègrement personnellement.

Cette fois, c'est tout!

Surtout pas arrêter les plans sur les mains ! jadore

Fred a écrit:

Mrs Thornton, quelle mère incroyable! Elle m'a scotchée! Je croyais être une bonne mère, elle va finir par me filer des complexes!

Clelie a écrit:

April a écrit:

J'en viens même à me demander pourquoi Margaret ne s'est pas dit "Mais qu'est-ce qu'il a à me parler de fruits ???

Tout à fait... Cette phrase "I didn't notice the colour of the fruits..." est demeurée une énigme pour tout le monde, jusqu'à voir enfin la scène non coupée dans les bonus...

Et ben bizarrement ce n'est pas cette phrase qui m'a fait tiquer. C'était pour moi une façon d'engager la conversation, pas plus... Là où je me suis dit "Il nous pète un cable, pèpère...", c'est quand il dit "One minute WE talk about the colour of fruit". Il parle tout seul de la couleur des fruits et il dit "nous"

C'est parce qu'il est en présence de Margaret, il est tout perturbé le pauvre chéri.

Je n'ai pas le temps de lire tous vos avis sur cet épisode, mais je viens de le voir à l'instant alors je livre mon impression ici ^^
Très bon épisode !

J'aime bien les scènes entre Margaret et Bessy, leur complicité La scène de l'émeute est vraiment bien rendue même si j'aurais aimé voir le passage où John avoue son amour à Margaret alors qu'elle est inconsciente La scène du dîner, lorsqu'ils se serrent la main est très jolie et touchante car j'ai eu l'impression que Margaret cherche à se faire pardonner son impolitesse de la dernière fois et vu comme elle le regarde, pour moi, même si elle ne se l'avoue pas, elle est sous son charme !
D'ailleurs, John apparaît plus sympathique dans cet épisode. Sa demande en mariage m'a fait de la peine, enfin c'est surtout l'accusation que porte Margaret à son égard qui m'a peiné pour lui, surtout qu'on le sent assez ému. Certes, il n'avait pas l'air à l'aise et on aurait dit qu'il se sentait obligé de lui faire cette demande, mais vu les mots échangés avec sa mère avant, on voit qu'il l'aime vraiment, du moins, j'ai interprété ça comme ça
Mr Bell a l'air bien sympathique mais totalement différent de l'image que je m'en faisais : je ne sais pas pourquoi, je le voyais plus rondouillard ^^
Sinon, la scène du début où on voit tous les enfants travailler est bien triste
Fanny me fait autant rire qu'elle m'exaspère
Sinon, je n'ai pas vu la scène dont vous parlez où Margaret caresse les gants de John

Bref, j'ai hâte de voir le troisième épisode

C'est normal qu'elle n'y est pas, elle fait partie des scènes coupées que l'on trouve en bonus sur le dvd.

Ah d'accord, je comprend mieux Merci April !

MarianneJustineBrandon a écrit:

Mr Bell a l'air bien sympathique mais totalement différent de l'image que je m'en faisais : je ne sais pas pourquoi, je le voyais plus rondouillard ^^

à la lecture, il l'est, et moi aussi j'ai été surprise et puis je m'y suis faite

Ah merci ! Il me semblait bien que dans le livre il était décrit comme tel ! Mais celui du téléfilm me plaît aussi ^^

Dans le téléfilm je le trouve très élégant alors que je n'avais pas cette impression en lisant.