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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Dim 5 Jan - 18:57
Beau programme Merci pour ce premier avis, Clinchamps
cléopatre Traveler of both time & space
Nombre de messages : 12761 Age : 30 Localisation : Santa Carla Date d'inscription : 25/04/2012
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Lun 10 Fév - 14:20
Oscar du meilleur film attribué à Parasite, et aussi meilleur scénario original, meilleur film international, ainsi que meilleur réalisateur pour Bong Joon-Ho Bravo à eux
Petit Faucon Confiance en soie
Nombre de messages : 12005 Age : 59 Date d'inscription : 26/12/2011
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Lun 10 Fév - 14:41
Oui j'ai vu ça, je suis très contente, c'est la première fois qu'un film coréen est primé aux Oscars
clinchamps Oshaberi Sensei
Nombre de messages : 72616 Age : 81 Localisation : Dans les bois du Fushimi Inari-taïsha Date d'inscription : 09/01/2007
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Lun 10 Fév - 15:36
Et c'est la première fois que l'Oscar du meilleur film,la récompense suprême, est attribuée à un non américain ! Quand c'st un Coréen, c'est encore mieux !! Bong Joon Hoo va sortir une version en noir et blanc de son film. D'arès le distributeur en france, que j'ai entendu à Fce Inter à 13 h, c'est lui qui le veut, il veut voir si le noir et blanc donnera une plus grande profondeur au film. Je l'ai vu en couleur à sa sortie et j'avoue que dans mon souvenir je le vois quasiment en noir et blanc particulièrement la scène du déluge d'eau et de l'inondation, ou la scène finale... C'est lui aussi qui est en discussion avec HBO pour une mini-série. Personnellement je ne vois pas trop l'intérêt, si ce n'est de profiter d'être sous la gouttière pour ramasser le plus possible d'eau !
Juliette2a Tenant of Hamley Hall
Nombre de messages : 29104 Age : 27 Localisation : Entre l'Angleterre et la Thaïlande ! Date d'inscription : 06/03/2012
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Lun 10 Fév - 18:19
Oui, c'est vrai que c'est un événement et une belle récompense pour le cinéma sud-coréen et une très bonne nouvelle ! Dire que je n'ai toujours pas vu Parasite
Annwvyn Subtle scent of rain
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Lun 10 Fév - 19:30
Clinchamps, tu parles d'attribuer la récompense du meilleur film à un film non américain ? Mais je crois que c'est déjà arrivé, avec The Artist par exemple.
En tous les cas, je suis ravie pour Parasite, qui m'avait absolument soufflée par sa puissance. La force, l'engagement, la virtuosité et la violence de Victor Hugo pour moi. J'avais été bluffée par la qualité cinématographique de l'ensemble.
Fauvette Bluebird on a White Cliff
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Lun 10 Fév - 19:36
Je crois que c'est la première fois que l'Oscar du meilleur film est attribué à un film en langue étrangère (The Artist ne comptant pas du coup vu que c'est un film muet )
_________________
Dessin de Jaimie Withbraid
MyleneS Woodalchi lady
Nombre de messages : 19209 Age : 34 Localisation : In a k-drama* Date d'inscription : 30/05/2012
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Mar 3 Mar - 15:24
Vu dernièrement : le film coréen Method, avec l'acteur Park Sung-Woong
L'idol Young-woo et l'acteur renommé Jae-ha sont recrutés pour jouer dans "Unchain", une pièce de théâtre mettant en scène un couple homosexuel. La relation entre les deux hommes s'avère vite conflictuelle. Cependant, au fil des répétitions, la fiction semble prendre le pas sur la réalité...
J'ai trouvé la 1ère partie de l'histoire très intéressante Scénario original, bonne ambiance (bien que très particulière) et quel bon casting ! Le duo d'acteurs est vraiment impressionnant Par contre, j'ai trouvé la 2ème partie plutôt déroutante, dérangeante (sans doute voulu par le réalisateur !?), et j'ai trouvé que le film se termine bizarrement... nous n'avons pas réellement de fin ! Etant donné sa courte durée (1h20 environ), je pense que le réalisateur aurait pu l'allonger de quelques dizaines de minutes, afin de mieux nous expliquer certaines choses et mieux en approfondir d'autres, et nous offrir une vraie fin !!
Le début commençait vraiment bien, mais... mon avis est finalement bien mitigé
clinchamps Oshaberi Sensei
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Mar 3 Mar - 16:54
Merci pour ton commentaire, Mylène Il est à noter que c'est une femme qui l'a réalisé, Bang Eun Jin, qu'elle est aussi actrice et joue la belle-mère de Son Ye Jin dans "crashlanding on you". "Method" est son 7e film en tant que réalisatrice.
MyleneS Woodalchi lady
Nombre de messages : 19209 Age : 34 Localisation : In a k-drama* Date d'inscription : 30/05/2012
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Mar 3 Mar - 18:11
Merci pour l'info, Clinchamps
Juliette2a Tenant of Hamley Hall
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Mar 3 Mar - 18:17
Merci pour ton avis, Mylène ! Ce film est dans ma wish-list
MyleneS Woodalchi lady
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Mer 1 Avr - 17:35
J'ai vu il y a quelques jours le film coréen The Himalaya's. Que dis-je !? J'ai savouré ce film !
Sorti en 2015 et réalisé par Lee Seok Hoon, ce film est basé sur la vie réelle de l'alpiniste d'Um Hong-Gil :
Ce film trainait dans mon ordinaire depuis des années, je ne m'étais jamais motivée à le regarder. Finalement, je l'ai supprimé il y a quelques mois, mais je suis récemment tomber dessus en fouillant mon disque dur externe Je lui ai donné une chance et la première chose qui me vient en tête, c'est : pourquoi ne l'ai-je pas regardé plus tôt !? J'ai adoré !! J'ai beaucoup ri dans la 1ère partie, beaucoup pleuré dans la 2ème, j'ai eu des frissons lors de plusieurs scènes. J'ai été attendrie par les personnages, impressionnée par le scénario, chamboulée par les évènements Je n'ai pas vu passer les 2h que durent le film, je n'avais pas envie de quitter cette bande d'alpinistes, que j'aurais voulu accompagner dans leurs aventures un peu plus longtemps. De plus, on a droit à une belle brochettes d'acteurs, dont j'ai déjà croisé la plupart dans divers dramas.
Vraiment, regardez-le !
Edit : Et voici la bande-annonce officielle de Penincula, nouveau film de zombies par l'équipe derrière Dernier train pour Busan. J'avoue que ça ne me donne pas du tout envie de regarder ! Mais après tout, j'ai bien aimé "Dernier train pour Busan", donc on verra si je tenterai quand même cette "suite" ^^
Spoiler:
Juliette2a Tenant of Hamley Hall
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Jeu 2 Avr - 16:06
Merci pour ton avis, Mylène ! Je note ce film, j'aime les histoires sur l'alpinisme
Et merci également pour la bande-annonce de Peninsula ! Le film me tente bien, même si le casting est totalement différent
clinchamps Oshaberi Sensei
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Mer 13 Mai - 12:15
Je vous ai copié un article très intéressant de Télérama (seulement pour les abonnés, c'est paour ça qu'avec le lien vous n'auriez pas pu le lire ! )sur la poussée du cinéma asiatique à Cannes, etaussi à quel point Cannes et son festival sont le Graal de tout cinéaste d'Asie !
Spoiler:
Cette année, Covid-19 oblige, pas de “nouvelle vague” sur les marches du Palais. Pour fêter le cinéma, Télérama.fr vous propose du 12 au 23 mai un “Cannes sans Cannes”, mais avec l’esprit de Cannes. Aujourd’hui, gros plan sur l’histoire d’amour entre la Croisette et les cinéastes venus d’Asie, à travers la Palme d’or 2018 du Japonais Hirokazu Kore-eda, “Une affaire de famille”, diffusé sur Ciné+ Premier.
Vu du Japon, c’est un événement sans pareil. « La Palme d’or, c’est le Nobel du cinéma », s’enflamme sur la chaîne publique NHK un professeur de l’université Waseda, proche de Hirokazu Kore-eda, qui, en mai 2018, vient de décrocher, pour Une affaire de famille, la récompense suprême des mains de Cate Blanchett. Le quinquagénaire de Tokyo est le quatrième cinéaste japonais à recevoir ce prix après Teinosuke Kinugasa (en 1954) et les maîtres Akira Kurosawa (en 1980) et Shohei Imamura (en 1983 et 1997). Le tsunami est sérieux. Il excède largement la poussée de fièvre patriotique qui accompagnait la reconnaissance du cinéma national dans la deuxième moitié du XXe siècle. Le film devient l’un des plus gros succès de l’Histoire dans les salles du pays et soulève des vagues à n’en plus finir.
Citation :
CANNES SANS CANNES, LE SOMMAIRE : Chaque jour, du 12 au 23 mai, “Télerama” vous offre une “séance” où, autour d’une thématique, d’un auteur ou d’un film à (re)découvrir à la télé, le Festival exprime sa vision d’un cinéma résolument contemporain • Mardi 12 : Une vitrine du cinéma asiatique • Mercredi 13 : Un festival politique • Jeudi 14 : Almodóvar, cinéaste maudit de la Croisette • Vendredi 15 : Cannes et Hollywood, “je t’aime moi… non plus” • Samedi 16 : Pourquoi les films en costumes ne gagnent jamais de prix • Dimanche 17 : Un festival qui révèle les talents et accélère les carrières • Lundi 18 : Ruben Östlund, un “enfant” de Cannes jusqu’à la Palme d’or • Mardi 19 : Retour sur l’année folle du “Portrait de la jeune fille en feu” • Mercredi 20 : Les “chouchous” de Cannes • Jeudi 21 : Des nouvelles de Nanni Moretti • Vendredi 22 : Cannes et le glamour ? • Samedi 23 : Quand les grands films sont oubliés par les jurys : notre palmarès • Et aussi : À la télévision, que l’esprit du Festival soit avec nous
L’engagement et l’humanisme de Kore-eda, sa critique d’une société qui abandonne les plus démunis, ne plaît pas au gouvernement de Shinzo Abe, qui salue la distinction du bout des lèvres. Le Festival de Cannes est un tremplin pour le cinéma asiatique. Il est aussi devenu, au fil des décennies, une terre d’accueil pour des voix anticonformistes, des auteurs singuliers, excentriques ou insoumis qui brossent le portrait d’un continent en plein chambardement. L’année où Hirokazu Kore-eda triomphe, la compétition accueille le magnifique Burning, du poète coréen engagé Lee Chang-dong, Asako, de Hamaguchi Ryûsuke (nouvelle figure du Soleil-Levant), Les Éternels, grande fresque sociale du Chinois Jia Zhang-ke… Le tableau est riche, les couleurs denses, le ton acide. L’année suivante sera celle de la Palme d’or de Parasite, du Coréen Bong Joon-ho, qui explore, sous un même angle provocateur, une société rongée par les inégalités. Parasite poursuivra sa course bien au-delà de la Croisette pour devenir la première production asiatique à remporter l’Oscar du meilleur film sur les terres de Hollywood, parfaite sidération dans l’Amérique de Trump. 1993 : la Palme d’or va à la Chine, le Prix du jury à Taïwan
Hirokazu Kore-eda a presque 40 ans quand il se pose pour la première fois à Cannes, en 2001, pour accompagner son troisième long métrage de fiction, Distance, chronique aux émotions assourdies de l’onde de choc laissée par des attentats terroristes. Le réalisateur est une figure discrète dans un monde en pleine ébullition. Après la montée en puissance de quelques maîtres japonais et chinois dans les décennies précédentes (Adieu ma concubine, de Chen Kaige, a décroché une Palme chinoise en 1993), les auteurs venus d’Asie se bousculent dans les festivals. Et Cannes est leur terre d’élection. Kore-eda creuse en douce son sillon dans l’histoire du cinéma japonais mais, dans les années 1990, une nouvelle vague naît à Cannes qui arrive de partout et commence à enflammer le monde. Les actrices Mayu Matsuoka, Kirin Kiki, Sakura Ando, Miyu Sasaki et les acteurs Jyo Kairi et Lily Franky posent à leur arrivée le 13 mai 2018 pour la projection du film Une affaire de famille, du réalisateur japonais Hirokazu Kore-eda (au centre), lors de la 71e édition du Festival de Cannes.
En 1993, Hou Hsiao-hsien a remporté le Prix du jury avec Le Maître de marionnettes. Le chef de file des auteurs de Taïwan reviendra avec des œuvres sidérantes, Les Fleurs de Shanghaï, Millenium Mambo (et plus récemment The Assassin). Il entraîne dans son sillage le jeune esthète radical Tsai Ming-liang, ainsi qu’Edward Yang qui aurait pu gagner la Palme d’or de l’an 2000 avec Yi yi (il n’aura que le prix de la mise en scène). Wong Kar-wai sonne, lui, l’éveil d’un cinéma nouveau sous les cieux électriques de Hongkong. Il aurait pu, lui aussi, décrocher la Palme de l’an 2000 avec In the Mood for Love (prix d’interprétation à Tony Leung). Et c’est cette même année, à la pliure du millénaire, que la Corée présente son premier film en compétition, Le Chant de la fidèle Chunhyang, d’Im Kwon-taek (alors qu’apparaît Hong Sang-soo dans une sélection parallèle). Garder le cap de l’intégrité
L’élan est irrésistible. En Corée, la compétition cannoise suscite un engouement qui va aiguillonner les politiques et doper le cinéma national. Partout sur le continent, les auteurs surgissent, originaux, indépendants, dopés par la révolution numérique. Bientôt la Thaïlande connaîtra son raz de marée avec Apichatpong Weerasethakul (Palme d’or en 2010 pour Oncle Boonmee, sa troisième apparition sur la Croisette) et la Chine, elle-même, est secouée par une foule de jeunes cinéastes qui apprennent à déjouer les interdits pour peindre le vertige de changement qui s’est emparé du pays.
Les sélectionneurs français commencent souvent leur tournée de prospection par le festival de Busan, crée en 1996, qui s’est donné pour mission de repérer les talents émergents aux quatre coins de l’Asie. La compétition cannoise est pour eux l’objectif absolu. Elle ouvre une multitude de portes sur les marchés internationaux, permet de trouver au large un public quand son propre pays offre peu de visibilité (c’est le cas pendant longtemps en Chine et à Taïwan, où les films d’auteur sortent à peine). Cannes permet surtout de solidifier le financement des films et de garder le cap de l’intégrité, de développer une œuvre à l’abri des compromis. Sakura Ando, Miyu Sasaki, Jyo Kairi, Lily Franky, Mayu Matsuoka et Kirin Kiki, Une affaire de famille, de Hirokazu Kore-eda.
Pendant ces années où la créativité explose tous azimuts, Hirokazu Kore-eda ne se laisse pas griser. Il avance à son rythme, son cinéma suit la pente de l’intime, garde un ton souvent feutré pour explorer le malaise de la société nippone. Sans céder au spectaculaire, son cinéma s’impose dans les marges de la sélection, de l’émouvant Nobody Knows (prix d’interprétation masculine en 2004) à Une affaire de famille. Le Festival de Cannes lui a permis de devenir un cinéaste de renom international, tournant avec Catherine Deneuve dans une autre langue que la sienne (La Vérité, sorti en décembre 2019). Et maintenant ? Comme les autres, il attend. Un monde sans Festival donne le vertige.
À voir on aime passionnément Une affaire de famille, de Hirokazu Kore-eda, diffusé en ce moment sur Ciné+ Premier.
Juliette2a Tenant of Hamley Hall
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Mer 13 Mai - 18:07
Merci pour l'article, Clinchamps !
Juliette2a Tenant of Hamley Hall
Nombre de messages : 29104 Age : 27 Localisation : Entre l'Angleterre et la Thaïlande ! Date d'inscription : 06/03/2012
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Dim 19 Juil - 18:04
J'ai visionné hier soir Memories of Murder, présenté comme LE film incontournable du cinéma policier sud-coréen, et j'ai beaucoup aimé ce film ! Je me suis régalée durant mon visionnage, je suis passée par toutes les émotions, le film alternant entre des moments drôles (comme le policier "Bruce Lee" ou encore l'utilisation de techniques atypiques pour faire avouer un suspect ), des moments terrifiants (comme à chaque fois que le meurtrier passe à l'acte), des moments intenses (notamment une certaine scène sous la pluie, vers la fin du film ). Les acteurs sont impeccables, j'ai reconnu l'acteur principal de Parasite Le film est bien rythmé, sans temps mort, jusqu'à une scène finale inattendue Le film est tiré d'une histoire vraie, ce qui rend le film d'autant plus bouleversant... Une très belle découverte, donc !
Ysabelle Stardust Reveries
Nombre de messages : 36538 Localisation : Quelque part entre l'orient et l'occident Date d'inscription : 07/05/2010
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Dim 19 Juil - 18:28
Merci pour ton avis sur ce film, Juliette. J'en prends note car je ne pense pas l'avoir vu. Je ne suis pas en mode polars ou thrillers en ce moment, mais il passe sur ma liste de projets
Dernière édition par Ysabelle le Lun 20 Juil - 22:58, édité 1 fois
clinchamps Oshaberi Sensei
Nombre de messages : 72616 Age : 81 Localisation : Dans les bois du Fushimi Inari-taïsha Date d'inscription : 09/01/2007
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Dim 19 Juil - 20:08
Il est de Bong Joon Ho, le réalisateur de "mother" et de "parasite",entre autres ! Je suis ravie que tu l'aies aimé, Juliette !
Juliette2a Tenant of Hamley Hall
Nombre de messages : 29104 Age : 27 Localisation : Entre l'Angleterre et la Thaïlande ! Date d'inscription : 06/03/2012
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Lun 20 Juil - 18:19
Ysa, j'espère qu'il te plaira !
Clinchamps, tout à fait ! Je suis bien contente de l'avoir vu !
Juliette2a Tenant of Hamley Hall
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Sujet: Re: Le cinéma asiatique Mar 25 Aoû - 18:49
Je remonte ce topic suite au visionnage du film policier sud-coréen Le Gangster, le flic et l'assassin, film que j'ai beaucoup aimé !! Quel film haletant ! Comme dans Memories of Murder, le film propose des scènes franchement drôles (notamment grâce au duo improvisé entre le gangster et le policier ), des scènes insoutenables (chaque scène de meurtre / agression), et bien évidemment des scènes palpitantes
Spoiler:
je pense notamment à la course poursuite pour "attraper" l'assassin
J'ai été impressionnée par le jeu des acteurs (j'ai reconnu le passager si sympathique de Dernier Train pour Busan dans le rôle du gangster ), coup de cœur pour le personnage du "flic", extraverti, téméraire, compétent L'assassin est glaçant, l'acteur l'incarnant est épatant dans ce rôle J'ai également noté la présence du papa adorable de Strong Woman Do Bong Soon en chef de gang Je me suis régalée devant ce film, que je conseille vivement ! Décidément, le cinéma policier coréen ne cesse de me surprendre (positivement bien sûr)
clinchamps Oshaberi Sensei
Nombre de messages : 72616 Age : 81 Localisation : Dans les bois du Fushimi Inari-taïsha Date d'inscription : 09/01/2007
Sujet: Re: Le cinéma asiatique Mar 25 Aoû - 19:26
Je l'ai hélas raté quand il est passé chez moi !! Effectivement la critique en était excellente !
Citation :
(j'ai reconnu le passager si sympathique de Dernier Train pour Busan(Ma Dong Seok ) dans le rôle du gangster ), coup de cœur pour le personnage du "flic",(Kim Mu Yeolvu dans "Iljimae et Bad guys;vile city) extraverti, téméraire, compétent. L'assassin est glaçant, l'acteur l'incarnant est épatant dans ce rôle (Kim Sung Kyu, vu dans les dramas Kingdom et A piece of your mind)
J'ai resitué les acteurs dans les dramas qu'on connaît !