Spooks, saison 8

Je suis toute retournée. Qu'est ce qu'elle est dure, cette série ? Tout le long de l'épisode, je me disais que Ros allait mourir car elle était coincée dans la panic room avec les terroristes et c'est Jo qui meurt, tuée par Ros. Je l'aimais beaucoup. C'était elle la plus humaine de la section.
Pauvre Ros, elle n'avait pas le choix mais elle risque d'aller assez mal.
L'épisode était assez dur, je trouve. L'histoire du vote sur internet et l'attente du résultat pour finir par une exécution. Le chef des terroristes était vraiment un fou.

à ce rythme, il ne va plus rester grand monde des anciens à la fin de la série pourvu que Lucas reste! et pauvre Ros

l'égarement d'Harry Pierce , qui fait que son personnage apparaît plus dur et froid que dans la saison 7-comme dans le premier épisode d'ailleurs-, avant que Ruth n'aide à rétablir les choses

j'avais vu tant de "concernant Jo" dans vos spoilers que la fin de l'épisode a été pour moi un véritable soulagement : j'ai cru que le coup de revolver l'avait tuée, puis j'ai pensé que cette énième épreuve la pousserait à quitter l'équipe... ouf elle reste !

Je ne sais pas encore si j'aime son remplaçant, c'est un petit jeune bien sympathique, mais Malcom avait tellement de classe et de réserve que je pense qu'il va beaucoup me manquer

sa relation avec Sarah ne m'a pas gênée plus que ça, certes elle est superficielle, mais je pense que les deux héros ne ressentent pour le moment rien de plus qu'une forte attirance l'un pour l'autre , j'ai aussi le sentiment que leur relation va être assez froide voire "brutale". En cela j'ai trouvé que la scène finale était bien amenée : seulement des échanges de regards durs, des défis lancés sans paroles et au travers des relations de travail

Amusant que Sarah choisisse comme nom d'emprunt "Violette" parce que c'est sa fleur préférée est ce qu'elle dit qu'elle aime ce parfum ou bien c'est moi qui invente ?

j'ai cru comprendre que la relation Lucas-Sarah rappelait un peu les premières saisons

Spooks (Saison 8) - L’eau dans le gaz

Spooks (dont la huitième saison a débuté sur la BBC) fait partie de ces séries dont on se dit toujours que l’on ne parle pas assez, qu’elles ne disposent pas de la place et de la reconnaissance qu’elles méritent. Après huit années, les aventures de Harry Pierce, patron de la section D au sein du MI-5, conservent un suspense intact, sans jamais avoir eu recours à une utilisation immodérée du téléphone portable, des armes de poing, des courses poursuites en voiture et des scènes de torture. Spooks, c’est 24 tournée par des gentlemen qui préfèrent le flegme aux perfusions d’adrénaline.

Diffusée depuis le printemps 2002, la série imaginée par David Wolstencroft est une des meilleures fictions proposées par la BBC depuis des années. Sa qualité ne s’est jamais démentie au fil du temps, malgré l’arrivée de nouveaux personnages. Seul, Harry Pierce (Peter Firth) a survécu à tous les soubresauts et changements de gouvernement, continuant à défendre le Counter-Terrorism Department. Il est certain que les attentats meurtriers de juillet 2005 à Londres ont suscité un intérêt du public pour la série qui, à ses débuts, traitaient d’événements nationaux autant que de menaces étrangères.

Le passage à un format feuilletonnant a permis aux scénaristes de disposer de plus de temps pour asseoir une narration qui s’inspire très largement et avec beaucoup d’intelligence de la situation géopolitique. Il était en effet difficile de traiter en une heure (sans donner un sentiment de précipitation) d’une affaire d’espionnage impliquant des officiels iraniens en poste en Grande-Bretagne et de dévoiler la manipulation à laquelle se livraient certains membres des services du renseignement russe.

Désormais, chaque saison constitue un arc complet de narration, autorisant une plus grande complexité du récit et surtout un meilleur emploi des personnages. Avec la saison 7, c’est la Maison Russie qui est revenue dans le jeu après quelques années d’absence consécutives au chaos de la fin de l’Union soviétique. Ce retour correspondait à une réalité incarnée par l’ancien président Vladimir Poutine, aujourd’hui Premier ministre de Dmitri Medvedev, mais qui peut être considéré comme le véritable dirigeant au Kremlin.

La saison 8 démarre exactement où sa devancière s’en était arrêtée. Moscou continue donc de semer le trouble en Grande-Bretagne, mais il était temps de se souvenir sur la Russie avait autrefois des républiques qu’elle dominait (pour ne pas dire plus) au nom d’une union des peuples soviétiques. Ces Etats devenus indépendants continuent d’entretenir des liens avec l’ancienne puissance dominante qui voit toujours d’un mauvais oeil les velléités d’éloignement. La brève guerre en Géorgie l’an passé a confirmé que les Russes ne sont pas prêts à renoncer à leur ancienne sphère d’influence. Cela ne signifie pas que les choses soient simples et qu’elles obéissent aux anciennes règles, comme l’a confirmé le contentieux avec les Ukrainiens à propos des approvisionnements de gaz.

Cette question sert de point de départ à la huitième saison et tente d’illustrer à quel point les pays occidentaux peuvent être vulnérables car dépendants d’anciennes puissances ennemies pour leurs approvisionnements en hydrocarbures. En filigrane est évidemment abordée la rivalité qui oppose les projets Nabucco et South Stream pour acheminer les ressources énegétiques vers l’Occident. Nabucco est le projet soutenu par l’Union européenne pour utiliser les ressources des pays du Caucase en passant par la Turquie et l’Europe centrale. South Stream est le projet russe qui bénéficie de l’appui de l’Italie.

Il est bien évident que cette lutte, qui se mène le plus souvent dans l’ombre, intéresse au plus haut point les dirigeants politiques de ces pays car elle détermine l’étendue de la sphère d’influence de chacun et le poids qu’il peut jouer dans les affaires intérieures des autres. Une telle complexité dans les relations constitue une aubaine pour les scénaristes qui peuvent à l’envi échaffauder des récits sophistiqués avec pour point de départ la défense des intérêts de la Grande-Bretagne. Dans ce petit jeu où chacun garde plusieurs cartes dans sa manche, utilise des dés pipés ou des jetons sans valeur, les relations entre Londres et ses vieux amis de Washington semblent évoluer.

Les Américains ont toujours été des partenaires privilégiés mais pragmatiques. Les relations sont un peu celles d’un vieux couple qui se connaît par coeur et dont chaque membre sait qu’il ne peut pas totalement faire confiance à l’autre malgré l’attachement qui les unit. Chacun conserve sa part d’égoïsme et de mystère tout en sachant qu’une véritable trahison reste peu probable. Ce sont plutôt des petites chicaneries dont les deux savent qu’elles sont indispensables pour la durée d’un ménage. Il est assez singulier de constater que cette relation est illustrée clairement dans l’histoire sous une représentation qui a tout d’une relation idéale entre deux jeunes gens beaux, intelligents, dévoués et promis à un bel avenir. Comme si les auteurs avaient voulu mieux se moquer de la réalité.

MAIS COMMENT ILS PEUVENT FAIRE CA ? Laisser Jo se faire tuer ! Et en plus par Ros !! Quelle cruauté de la part des scénaristes ! Autant j'avais eu peur pour Jo tout du long de l'épisode 2, autant cette fois ci j'étais très confiante, persuadée que j'allais de toute façon revoir toute l'équipe dans l'épisode suivant. Mais là... Sur le moment, j'ai été prise d'une violente envie de balancer mon ordi à l'autre bout de la pièce. Maintenant, je suis juste désolée que la seule personne à peu près humaine du MI-5 s'en aille.

L'idée d'un huis clos souterrain, situation dans laquelle tout le monde est totalement impuissant face un un fou -français soit dit en passant - était géniale.

Entre les hommes d'affaires crapuleux qui effectivement s'enrichissent sans aucun respect pour les populations, et les anti-capitalistes barbares, je ne sais pas comment on va s'en sortir

peut être au détriment de la profondeur et de l'humanité de nos héros

j'ai beaucoup aimé le "Glad to have you back "de Harry à Ruth, en pleine situation de crise, suivi de son petit sourire. Seul moment personnel qu'il s'autorise dans l'épisode.

L'épisode de la piscine... Même si on ne peut pas parler de chemise mouillée, quelle classe il a ce Lucas quand il se bat !

j'ai failli m'énerver toute seule ! Après la disparition de Jo, on s'attaque à Lucas ! Syndrôme de Stockholm envers son ravisseur Lucas soupçonné d'être un agent double. mais comment ça va finir ??

j' ai été retourné par la mort de Jo et les regards échangés entre elle et Ros oui, comment peuvent-ils faire disparaître les personnages de cette maniére ? Hermione Norris et Miranda Raison jouent cette scéne à la perfection je crois que Ros aura du mal à se remettre de ce qu' elle a été obligé de faire et je suis vraiment triste de ne plus revoir Jo dans la suite avec Malcom, ça fait deux! c' est une hécatombe

c' est une prise d'otages comme on en a déjà vu dans Spooks mais poussée à son paroxisme et faire condamner des gens par votes sur internet, quelle horreur! la tension est palpable à tout moments et comme l' a dit Annwvyn, les seconds rôles sont parfaits! c' est un des épisodes le plus stressant que j' ai vu jusqu' à présent...

la relation de Larry avec Ruth et je suis super contente qu' elle soit revenue toujours aussi efficace

dans la piscine, super efficace même si la scène est bien trop courte à mon goût mais bon ne rêvons pas, on n' est pas dans P&P95 alors pas de chemise mouillée mais quand même un p'tit Tshirt

pour le plaisir

Harry portait la même cravate que Malcom dans l' épisode1 ils ne lui ont même pas laissé sa cravate pour sa retraite

Et je ne sais pas si c' est moi, mais cette saison est étrangement bleue

Je crois qu' il sera axé sur Lucas et qu' il va en baver

Je crois bien que c'est un des épisodes les plus éprouvants qu'il m'ait été donné de voir

notre Lucas-RA dans la piscine !

avec beaucoup beaucoup d'agent North

la premiére cap que j' ai posté me fait penser à Leonardo DiCaprio dans Titanic quand il essaie de fuir la montée des eaux....sauf que l' eau était moins bleue dans l' atlantique

il n' y en a jamais assez

et je ne parle pas de la couleur de l'eau , je pense plutôt au bel homme plongé dedans Je n'ai rien contre Léonardo, mais enfin Richard ... c'est autre chose !

je n' ai rien non plus contre Leonardo mais quand même il n' arrive pas à la cheville de Richard....il est sous ses pieds

OMG, c'est vraiment une hécatombe !!! Pauvre Jo. Je me souviens tellement de l'épisode où Adam la recrute.
ça m'embête tout de même un peu ces morts en série car à chaque fois il faut intégrer des nouveaux et ça rompt un peu le rythme des épisodes. Et puis, à ce rythme plus personne en Angleterre ne va vouloir travailler au MI5, vu l'espérance de vie des espions.

même si Je suis sure que Malcolm aurait été plus performant que le petit nouveau dont je n'arrive jamais à me souvenir du nom.

Lucas dans la piscine...je suis un peu déçue...on voit à peine un micro-bout de son tatouage à l'avant-bras gauche...

Lucas vu la tête qu' il a sur la seconde cap j' espére que c' est juste un rappel de son séjour en prison!

_ Le concept de la prise d'otage initialement m'a beaucoup fait penser aux épisodes traitant déjà de cette thématique, notamment ceux de la saison 5, il y avait des parallèles similaires. Là où l'intrigue trouve toute sa force, c'est dans l'utilisation d'internet pour organiser les "procès" des hommes d'affaires. Les scénaristes jouent sur les codes de la télé-réalité, exacerbant le voyeurisme malsain du public en ligne, qui non seulement assiste aux évènements par la vidéo, mais en plus y participe activement en "votant" pour le verdict. Coupable ou Innocent. Taper 1, taper 2. Le tout sous le regard impuissant des autorités. C'est glaçant !

_ Evidemment très marquée par le drame de l'épisode.
Mais la scène est absolument magistral. On a l'impression que le temps s'arrête, alors que cela ne dure que quelques secondes. Le dernier regard échangé entre Ros et Jo, qui ont fait la même analyse de la situation, est d'une telle intensité, qu'il bouleverse le téléspectateur avant même que le choc de la brutalité de la scène ne nous atteigne et vienne nous briser le coeur. Vraiment éprouvant...

_ Sur un plan plus léger, j'ai beaucoup apprécié le retour officiel de Ruth. C'est la reconstitution du duo qu'elle formait avec Harry, qui s'empresse de lui confier déjà des secrets qu'il n'a pas encore partagé avec le reste de son équipe. J'aime beaucoup la façon dont cette complicité se recrée presque naturellement à l'écran. Et vu toutes les épreuves que l'équipe doit traverser depuis quelques épisodes, j'avoue que retrouver Ruth apporter une certaine stabilité qui n'est pas pour me déplaire. Bref, au sein d'un MI-5 un peu déshumanisé par ses pertes, cela apporte une touche appréciable pour le téléspectateur.

_ En résumé, Spooks fait du Spooks dans ce que la séria a de plus éprouvant : tout y est, de la situation de crise à la mort d'un des personnages principaux, nous abandonnant essouflés et le coeur serré en fin d'épisode.
Sans être un épisode magistral, il restera dans les annales pour cet échange de regards. Eprouvant.

"Ros kills Jo"

En plus, je me doutais que certains des otages allaient être tués après leur "procès"

Lucas se bat dans l'eau des Bains

J'ai trouvé que la relation ambigüe entre Lucas et son tortionnaire aurait pu donner lieu à des passages plus prenants, plus terrifiants aussi. Mais là, j'ai seulement été frappée par l'extrême froideur et l'extrême dureté de Lucas, idem pour Sarah, idem pour le tortionnaire russe.

j'ai trouvé que les deux intrigues (celle de Lucas et celle qui va servir de fil conducteur à la saison -le meeting en Suisse) étaient mal menées l'une par rapport à l'autre

pas très original le fait que pour la énième fois le MI5 sauve Londres de l'explosion d'une bombe

de voir comment RA arrivait à jouer l'ambiguïté de son personnage : parfois dérouté, parfois complètement soumis, parfois avec une colère contenue, parfois meneur

ca se voyait que c'était une "bad girl", et je suis de moins en moins satisfaite par l'actrice, je trouve son jeu trop lisse... ou peut être que je ne suis pas contente de voir Lucas manipulé ?

-Les scénes de tortures sont vraiment difficiles à voir et celle où il veut se pendre va me poursuivre longtemps, je pense celle du "kitt off" voulu par Oleg pour humilier Lucas et le tenir sous son contrôle est particuliérement poignante... d' ailleurs toutes les scènes entre ses deux-là sont terribles... et la musique ajoute au dramatique....

-En ce qui concerne Sarah, c' est une sorte de Mata-Hari et Lucas ferait mieux de s' en méfier j' espère qu' il ne lui arrivera pas ce qui est arrivé au patron de Sarah (Je ne me souviens plus de son nom) C' est une femme very, very dangerous

-J' ai beaucoup aimé aussi les appartés entre Ruth et Harry qui est encore secoué par la mort de Jo ainsi que Ros! Je suis un peu inquiète pour Ros au vu de la fin du preview!

-Quand à l' intrigue, sans sous-titres, j' ai certainement dû zapper des choses mais j' attends avec impatience la suite ....quand Lucas dit à Harry ce que Oleg lui a dit au sujet de La Suisse, celui-çi lui répond "I' ve no idea", même réponse dans la saison 7 pour Sugar Horse! y a embrouille là-dessous, je parie

je partage ton inquiétude pour Lucas, pour l'épisode suivant la méchante agente de la CIA a intérêt à se calmer ! Et voir son patron s'écraser en bas, qui plus est l'acteur de Mr Bell, m'a vraiment glacée... Et Sarah quitte le bâtiment sans même un regard !

je sens que tout le monde va soupçonner tout le monde et qu'on va avoir de grosses frayeurs sur qui est coupable et qui ne l'est pas ! Au moins on est sur que Lucas est innocent ! Idem pour Ruth, Harry et Tarek -euh c'est bien ça son nom ?- Mais pour les autres...

Je n' étais pas spoiliée sur ce coup là et j' ai crié Aaaah!.. Mr. Bell... heureusement que je suis seule Et personne n' a rien vu dans l' immeuble y avait personne

(Oui, c' est bien Tarek, son nom ) J' espére qu' on ne va pas nous refaire le coup d' une deuxième Connie