Première lecture de groupe 2010 (résultat en page 6)

Artemis a écrit:

pour Dickens, en dehors d'un chant de Noël / Scrooge, avez-vous des idées de titres facilement disponible en français et surtout qui ne soient pas des pavés (parce qu'en mode pavé, du genre Oliver Twist ou David Copperfield, ce n'est pas du tout adapté pour une lecture de groupe !! )
:

Oui Mme ! The Pickwick Papers

Great ! Excellent ! Merci Miss !!!! Euh... pourrais-je abuser encore un peu de ta gentillesse et de m'indiquer une édition en français (facilement trouvable et pas trop chère ? parce qu'en cherchant, je tombe sur la Pléiade )


Et sinon, je garde les 560 pages de Station Victoria ??? (ça fait beaucoup pour une lecture de groupe je trouve...)

Sans parler de l'autobiographie d'Agatha Christie que j'ai trouve en livre de poche avec 985 pages Dites moi qu'il y a une erreur

Bon ... j'y retourne...

Pfffffft.... on oublier Dickens à mon avis. Les Papiers posthumes du Pickwick Club ne semblent pas exister autrement qu'à la Pléiade, effectivement.

Quant à Station Victoria ou la bio d'Agatha Christie, je suis d'accord avec toi, c'est trop long pour une lecture de groupe.

Je serai intéressée mais seulement en fonction du livre choisi (par exemple Papa Longues Jambes ou les 4 filles du Dr March, je les ai déjà lus et je ne trouve pas qu'ils soient très interessants pour une lecture de groupe....mais les autres me tentent pas mal! )

Voici la liste (provisoire) de vote. Avant d'ouvrir les votes, dites moi si j'ai oublié des œuvres !!!!!!!!! Et puis comme j'ai décidé de ne faire qu'un vote (parce que sinon on ne va jamais commencer !!!) j'ai choisi des oeuvres en fonction du nombre de pages (par exemple Jules Verne, il y a beaucoup de "pavés" ) donc n'hésitez pas à vite me dire si vous en voulez d'autres...

Le nombre de pages est indicatif (parfois il y a de grosses introductions, mais pour certains romans, ils sont plus longs que je pensais, et je crains qu'on se perde un peu en cours de route pour les livres de plus de 500 pages...)
J'ai donc été forcée, en suivant ce principe de lecture de groupe avec un bouquin de taille raisonnable de laisser de côté Station Victoria, L'histoire sans fin (quand même 490 p), Thomas Hardy (plus de 450 p pour Jude ou Tess), Dickens... Il faut bien faire des choix...

Les résumés viennent d'Amazon.fr.
Voici (enfin !) la liste dans l'ordre alphabétique des auteurs... Il reste quand même du choix !!!
Il y a 18 propositions provisoirement... J'attends lundi que vous puissiez me "corriger" cette liste, et je pense lancer le vote dès mardi ou mercredi. Pour info, il faudra que vous choisissiez 5 livres (en espérant ainsi ne pas avoir trop d'ex aequo !!!)

1. Alan Bennett, La Reine des Lectrices

Citation :

Que se passerait-il outre-Manche si, par le plus grand des hasards, Sa Majesté la Reine se découvrait une passion pour la lecture ? Si, tout d'un coup, plus rien n'arrêtait son insatiable soif de livres, au point qu'elle en vienne à négliger ses engagements royaux ? C'est à cette drôle de fiction que nous invite Alan Bennett, le plus grinçant des comiques anglais. Henry James, les sœurs Brontë, le sulfureux Jean Genet et bien d'autres défilent sous l'œil implacable d'Elizabeth, cependant que le monde empesé et so british de Buckingham Palace s'inquiète : du valet de chambre au prince Philip, d'aucuns grincent des dents tandis que la royale passion littéraire met sens dessus dessous l'implacable protocole de la maison Windsor. C'est en maître de l'humour décalé qu'Alain Bennett a concocté cette joyeuse farce qui, par-delà la drôlerie, est aussi une belle réflexion sur le pouvoir subversif de la lecture.

Environ 173 p / Disponible uniquement chez Denoël (édition)

2. Frances H. Burnett, Une petite princesse

Citation :

Sarah Crew, fille d'un riche Anglais installé aux Indes, vient parfaire son éducation dans un pensionnat de Londres, tenu par Miss Minchin. Le jour de ses onze ans, le destin de Sarah bascule : son père vient de mourir sans lui laisser le moindre sou. De princesse, Sarah devient une servante misérable.

Environ 370 p

3. Frances H. Burnett, Le jardin secret

Citation :

Mary Lennox, jeune Anglaise née et élevée aux Indes, est laide, tyrannique… et malheureuse. Privée d'affection, elle n'a jamais appris, dans son extrême solitude, à sourire ni à aimer. À la mort de ses parents, emportés par une épidémie de choléra, Mary part en Angleterre pour vivre désormais dans un étrange manoir perdu dans les landes du Yorkshire, chez un oncle toujours absent. Elle y trouve le réconfort de l'amitié et va partager un merveilleux secret avec ses amis Dickon et le rouge-gorge : un jardin oublié de tous, dont la clef, comme par magie, ouvre aussi la porte des cœurs…

Environ 320 p

4. Willa Cather, Mon Antonia

Citation :

À la fin du siècle dernier, sur les plaines du Nebraska recouvertes à l'infini des mêmes herbes rouges, s'implantent de nombreuses familles d'immigrés européens. Russes, Tchèques, Norvégiens se regroupent en communautés sur des terres qui restent à défricher. Jim a dix ans lorsqu'il vient vivre chez ses grands-parents, propriétaires d'une ferme. À quelques kilomètres s'installe la famille d'Àntonia, immigrés tchèques partagés entre la nostalgie de l'Europe et l'espoir en l'Amérique. Jim et Àntonia, unis par les mêmes valeurs humaines et une amitié mi-fraternelle, mi-amoureuse, connaîtront des destins différents.

Environ 330 p / Dispo chez Rivages Poche

5. Forster, Maurice

Citation :

Dès son plus jeune âge, Maurice Hall est hanté par des rêves dont il s'explique mal la nature étrange et mélancolique. Éveil à la conscience (amorcé à Cambridge, lieu du bonheur et de la tolérance pour Forster), Maurice est le récit de la lente progression du héros vers une véritable connaissance de soi. Au-delà de l'histoire d'amour et de la prise de conscience homosexuelle, Maurice se distingue des autres romans de Forster par son caractère plus intimiste et par la forme plus radicale que revêt l'expression de la liberté individuelle. Placée sous le signe de la gradation, cette œuvre est peuplée de personnages qui sont aux autres autant d'étapes vers l'accomplissement de soi. Maurice, jeune homme médiocre, devient par la grâce d'une liberté conquise de haute lutte contre lui-même un véritable héros forsterien.

Environ 279p

5 BIS. Forster, Howards end

Citation :

Observateur subtil de la société britannique, E.M. Forster n’a peut-être jamais mieux décrit les antagonismes et les entrelacs d’intérêts entre aristocratie et bourgeoisie que dans Howards End. Dans cette histoire d’héritage et de remariage s’affrontent deux familles, les Schlegel et les Wilcox, et à travers eux deux visions du monde. A la veille de la Première Guerre mondiale, la société victorienne se fissure et les idées féministes et progressistes gagnent du terrain, malgré la résistance aveugle et hautaine des tenants de la tradition. Comme le montre habilement et cruellement ce roman indémodable, cette opposition brutale destinée à façonner la société du XXème siècle ne se déroulera pas sans faire de victimes.

Environ 380p

6. Elizabeth Goudge, L’arche dans la tempête

Citation :

Guernesey, 1988. Tous les vents marins semblent s'être donné rendez-vous le long des côtes emblématiques de l'île, là ou s'accroche la vieille chaumière d'André du Frocq et de sa famille. Un lieu sauvage, miroir fidèle des sentiments de ceux qui l'habitent. Face aux assauts des éléments et aux difficultés financières, André pense quitter la ferme. Mais c'est sans compter l'attachement sans faille, presque viscéral, de sa femme Rachel pour cette terre : son havre de paix. Une nuit de tempête, un bateau fait naufrage au large de l'île, et la famille recueille, parmi les rescapés, Ranulph Mabier, un être plein de courage et d'amertume. De secrets aussi. Dès lors, la vie à la ferme change. L'espoir renaît.

Environ 310 p / Chez Phébus éditions

7. Gaston Leroux, Le fantôme de l’opéra

Citation :

«Le fantôme de l’Opéra a existé. J’avais été frappé dès l’abord que je commençai à compulser les archives de l’Académie nationale de musique par la coïncidence surprenante des phénomènes attribués au fantôme et du plus mystérieux, du plus fantastique des drames, et je devais bientôt être conduit à cette idée que l’on pourrait peut-être rationnellement expliquer celui-ci par celui-là.»
Avec l’art de l’intrigue parfaitement nouée et l’inspiration diabolique qui ont fait le succès de Gaston Leroux, le père de Rouletabille, Le Fantôme de l’Opéra nous entraîne dans une extraordinaire aventure qui nous tient en haleine de la première à la dernière ligne.

Environ 340 p

8. Daphné du Maurier, Rebecca

Citation :

Sur Manderley, superbe demeure de l'ouest de l'Angleterre, aux atours victoriens, planent l'angoisse, le doute : la nouvelle épouse de Maximilien de Winter, frêle et innocente jeune femme, réussira-t-elle à se substituer à l'ancienne madame de Winter, morte noyée quelque temps auparavant ? Daphné du Maurier plonge chaque page de son roman - popularisé par le film d'Hitchcock, tourné en 1940, avec Laurence Olivier et Joan Fontaine - dans une ambiance insoutenable, filigranée par un suspense admirablement distillé, touche après touche, comme pour mieux conserver à chaque nouvelle scène son rythme haletant, pour ne pas dire sa cadence infernale. Un récit d'une étrange rivalité entre une vivante - la nouvelle madame de Winter - et le fantôme d'une défunte, qui hante Maximilien, exerçant sur lui une psychose, dont un analyste aurait bien du mal à dessiner les contours avec certitude. Du grand art que l'écriture de Daphné du Maurier, qui signe là un véritable chef-d'oeuvre de la littérature du XXe siècle, mi-roman policier, mi-drame psychologique familial bourgeois.

Environ 370 p

9. Daphné du Maurier, Le général du roi

Citation :

Quel rôle reste-t-il à la femme quand les hommes font la guerre ? C’est à cette question, vieille comme Homère, que répond ce roman violemment secoué par l’Histoire (nous sommes dans l’Angleterre du XVIIe siècle, en pleine guerre civile). Un livre publié en 1945 et composé dans l’urgence… au sortir d’une tout autre guerre.
Soit une sorte de récit de cape et d’épée subtilement dévoyé… L’héroïne en est une femme, et les hommes –même ceux qui sont dans le «bon camp»– sont loin d’y avoir le beau rôle. Mieux (ou pis), la jeune femme en question, qui cultive un goût de la liberté ignorant toute entrave, se trouve dès le début du livre, et jusqu’à la fin de tout, condamnée à l’immobilité d’un fauteuil d’infirme. Une troublante méditation sur la fidélité et l’honneur, qui poussés à leur extrême n’hésitent pas à courir le plus beau risque : celui de l’indignité.

Environ 380 p / Disponible chez Phébus éditions

10. Daphné du Maurier, L’auberge de la Jamaïque

Citation :

Orpheline et pauvre, Mary Yellan n'a pas d'autre ressource que de quitter le pays de son enfance pour aller vivre chez sa tante, mariée à un aubergiste, sur une côte désolée de l'Atlantique. Dès son arrivée à l'Auberge de la Jamaïque, Mary soupçonne de terrifiants mystères. Cette tante qu'elle a connue jeune et gaie n'est plus qu'une malheureuse, terrorisée par Joss, son époux, un ivrogne menaçant, qui enjoint à Mary de ne pas poser de questions sur les visiteurs de l'auberge. Auberge dans laquelle, d'ailleurs, aucun vrai voyageur ne s'est arrêté depuis longtemps... De terribles épreuves attendent la jeune fille avant qu'elle ne trouve le salut en même temps que l'amour. Dans la grande tradition romantique des soeurs Brontë, la romancière anglaise, auteur de Rebecca, nous entraîne avec un sens prodigieux de l'ambiance et de l'intrigue au coeur d'un pays de landes et de marais battu par les tempêtes, où subsiste la sauvagerie ancestrale des pirates et des naufrageurs.

Environ 313 p

11. Louisa May Alcott, Les quatre filles du docteur March

Citation :

On est en Amérique, en pleine guerre de Sécession. Le docteur March est au front et sa petite famille doit survivre. Heureusement, les quatre soeurs March et leur mère forment un clan très uni qui affronte l'adversité avec courage et bonne humeur malgré tout.

Environ 270 p

12. Ian Mc Ewan, Expiation

Citation :

Sous la canicule qui frappe l'Angleterre en ce mois d'août 1935, la jeune Briony a trouvé sa vocation : elle sera romancière. Du haut de ses treize ans, elle voit dans le roman un moyen de déchiffrer le monde. Mais lorsqu'elle surprend sa grande sœur Cecilia avec Robbie, fils de domestique, sa réaction naïve aux désirs des adultes va provoquer une tragédie. Trois vies basculent et divergent, pour se recroiser cinq ans plus tard, dans le chaos de la guerre, entre la déroute de Dunkerque et les prémices du Blitz. Mais est-il encore temps d'expier un crime d'enfance ? Un roman dans la grande tradition romanesque, où Ian McEwan, tout en s'interrogeant sur les pouvoirs et les limites de la fiction, restitue, avec une égale maîtrise, les frémissements d'une conscience et les rapports de classes, la splendeur indifférente de la nature et les tourments d'une Histoire aveugle aux individus.

Environ 487p

13. Nancy Mitford, A la poursuite de l’amour

Citation :

Chronique brillante, spirituelle et gaie - émouvante aussi - de l'aristocratie anglaise de l'immédiat avant-guerre, La Poursuite de l'amour forme, avec L'Amour dans un climat froid un diptyque qui valut à Nancy Mitford (1904-1973) non seulement la faveur d'un large public (La poursuite de l'amour de vendit en 1945 à plus d'un million d'exemplaires), mais aussi l'admiration profonde d'un Evelyn Waugh comme d'un Henry Green. Deux jeunes femmes à la poursuite de l'amour, tel est le sujet définitivement intemporel de ce roman. Elles sont cousines germaines et s'aiment tendrement. Autant Fanny se montre prudente et raisonnable dans cette quête, autant Linda, romanesque et sans frein, risque son va-tout chaque fois qu'elle s'éprend d'un homme ! La morale de l'histoire est tirée par Lord Merlin pour qui l'on se trompe toujours quand on est jeune : « L'amour, c'est pour les grandes personnes. » Avec ses excentriques, ses belles, ses châteaux et sa campagne - bref tout ce qui fait le charme pas toujours discret mais éternel, de la verte Albion -, l'inoubliable fresque des Radlett et des Montdore compte au rang des joyaux de l'humour anglais

Environ 253 p

14. Pouchkine, Eugene Oneguine

Citation :

Le plus célèbre roman de la littérature russe était d’abord un poème en strophes rimées. L’auteur y a mis sa vie, et sa mort. L’héroïne, Tatiana, tombe amoureuse d’un héros byronien… Un jeune homme qui s’ennuie, la plus touchante des jeunes filles, un poète de 17 ans, un vieux mari, des créatures de rêve. C’est le roman des rencontres manquées, des amours perdues, des remords sanglants.

Environ 250p

15. Sam Savage, Firmin, Autobiographie d’un grignoteur de livres

Citation :

Autobiographie d'un grignoteur de livres, Firmin raconte l'histoire d'un rongeur érudit qui a vu le jour clans les sous-sols d'une librairie de Scollay Square, vieux quartier en péril du Boston des années 1960. Plein d'appétit pour les mots, épris de nourritures spirituelles autant que terrestres, Firmin ne peut communiquer tous ses coups de cœur ni exprimer ses détresses, et voit avec révolte se déliter sa race comme son quartier, cernés par l'incompréhension des hommes et par les mécanismes du profit. Mais la rencontre avec un romancier marginal le sauve du pessimisme ambiant. Superbe hommage aux valeurs de l'écrit et aux singularités de toutes espèces, l'aventure de Firmin est aussi un fabuleux trait d'union entre littérature, exclusion et résistance.

Environ 200p / Uniquement dispo chez Actes Sud

16. Jules Verne, Le tour du monde en 80 jours

Citation :

En 1872, un riche gentleman londonien, Phileas Fogg, parie vingt mille livres qu'il fera le tour du monde en quatre-vingts jours. Accompagné de son valet de chambre, le dévoué Passepartout, il quitte Londres pour une formidable course contre la montre. Et au prix de mille aventures, il va s'employer à gagner ce pari.

Environ 350 p

17. Jean Webster, Papa Longues Jambes

Citation :

Au début du XXe siècle, aux Etats-Unis, Jerusha Abbott ne connaît à dix-sept ans que son orphelinat ennuyeux, où elle a toujours vécu. Elle apprend qu'un donateur, qui veut rester anonyme, lui offre quatre années d'études supérieures à l'université de jeunes filles, en échange d'une lettre par mois. N'ayant aperçu de ce monsieur que son ombre portée à la lumière des phares, elle le surnomme affectueusement Papa-longues-jambes et lui écrit très souvent. C'est une nouvelle vie qui commence, pour elle qui découvre la liberté, rencontre la haute société américaine, et s'essaye au métier d'écrivain.

Environ 212 p

18. Edith Wharton, Le temps de l’innocence

Citation :

Newland Archer, symbole de toute une société imbue d'elle-même, devient, sous la plume d'Edith Wharton, l'incarnation d'un espoir avorté. A la veille de ses fiançailles avec la chaste May Welland, appartenant comme lui à la plus haute caste new-yorkaise des années 1870, il rencontre Ellen Olenska, comtesse désargentée, sensuelle et éprise de liberté. Mais il ne trahira jamais ses principes ; sa passion le condamne donc à une vie d'amertume. Dans ce conflit entre l'individu et le groupe, Wharton maîtrise à merveille l'art de la suggestion. Sans frasques, subtilement, sur un ton qui mêle ironie et observation clinique, la romancière invite le lecteur à relire le thème de l'innocence sous un jour nouveau et le surprend sans cesse, jusque dans l'ultime ressort dramatique par lequel elle ramène au premier plan le souvenir de May, signifiant ainsi que Le Temps de l'innocence est révolu et qu'une ère de liberté est désormais envisageable. Cette satire de l'hypocrisie et de la recherche du bon ton, prix Pulitzer en 1920, est donc l'illustration de ce à quoi la romancière a échappé en menant sa vie à l'inverse de son héros.

Environ 300 p

Merci beaucoup pour la liste Artemis ! Tout devient bien plus clair de cette façon.

J'espère que les votes ne tomberont pas sur le Fantôme de l'Opéra, c'est un roman superbe, mais je viens de le lire alors... Et j'ai quelques appréhensions vis à vis de Forster, après avoir été assez mal à l'aise à ma lecture de Howard's end. Et puis pour Eugene Oneguine, il va falloir savoir si je suis prête à lire un roman en vers.

Quoiqu'il en soit, on a une liste assez variée, et dont il faudrait finalement tout lire ! J'ai hâte de voter (même si ça promet d'être difficile de choisir) et de lire !

Annwvyn a écrit:

Et j'ai quelques appréhensions vis à vis de Forster, après avoir été assez mal à l'aise à ma lecture de Howard's end.

Je ne connais pas du tout... Je voulais aussi mettre Howard's end dans la liste, mais je n'ai pas réussi à trouver facilement une édition en français

Annwvyn a écrit:

Et puis pour Eugene Oneguine, il va falloir savoir si je suis prête à lire un roman en vers.

Les vers, ils proviennent de la VO russe en fait... Donc les vers sont maintenus ou non selon la traduction... Mais ce n'est pas comme lire un roman en alexandrins, je te rassure !!! Ca se lit très bien (en fait, j'y ai pensé seulement aujourd'hui, et je me suis dit que ça pouvait être intéressant pour la lecture de groupe )

Merci Artémis!!!

J'en ai déjà lu 10 dans cette liste donc sur les 8 qui restent, le choiw sera facile à faire, pour une fois

ps: pour Forster je suis entrain de lire Maurice et c'est très bien! Pareil pour Avec vue sur l'Arno, rien de dérangeant

Artemis a écrit:

Je voulais aussi mettre Howard's end dans la liste, mais je n'ai pas réussi à trouver facilement une édition en français

Je l'ai lu dans l'édition 10/18. Je sais qu'à l'auberge tout le monde n'est pas satisfait des traductions proposées par cette maison d'édition, mais si tu veux le rajouter, Artemis, je pense que tu peux.

@Nathy's : si j'ai été "dérangée" par Howard's end, c'est parce que je me suis sentie vraiment proche de certains personnages qui veulent découvrir des quantités de choses (art, littérature, musique...) mais, ou bien ils manquent ou de temps ou d'argent, ou bien ils n'ont plus les pieds sur terre et finissent par oublier de vivre dans leur monde (à savoir le notre). J'ai terriblement peur qu'une telle chose m'arrive, c'est pourquoi Howard's end m'a presque glacée.

Artemis a écrit:

Donc les vers sont maintenus ou non selon la traduction...

Je ne savais pas ! Comme la seule version disponible dans ma bibliothèque était en vers, j'étais partie du principe que ce seraient des vers. Cela dit, je n'ai pas essayé de lire, je ne peux même pas dire si c'est si déroutant que ça de lire un roman en vers.

Pas mal le choix de livres! J'en ai déjà lu quelques uns, et je rassure Annwvyn au sujet d'Eugène Onéguine, ça ne dérange pas du tout de lire en vers. En fait au bout de quelques lignes on ne s'en rend plus compte et ça va tout seul. Et puis l'histoire est si belle!

Merci Artémis pour ta liste, le choix va être difficile.
J'avais déjà fait une recherche de mon coté sur des auteurs cités que je ne connaissais pas, pour me faire une petite idée. Ta liste est vraiment intéressante, donc vivement le vote!

Sinon pour moi aussi, lire en vers ne me dérange pas.

Annwvyn a écrit:

Artemis a écrit:

Je voulais aussi mettre Howard's end dans la liste, mais je n'ai pas réussi à trouver facilement une édition en français

Je l'ai lu dans l'édition 10/18. Je sais qu'à l'auberge tout le monde n'est pas satisfait des traductions proposées par cette maison d'édition, mais si tu veux le rajouter, Artemis, je pense que tu peux.

Merci beaucoup ! Je vais le rajouter de ce pas

Merci d'avoir pris le temps de faire tous ces résumés chère Artémis, comme je l'ai déjà dit, je ne vote pas, j'essayerai de me greffer au groupe...

Tout comme ma chère Lady Clare, je ne vote pas, mais je serais ravie de participer à cette nouvelle lecture de groupe (si vous voulez bien de moi bien sûr)

Merci Artemis pour cette liste (très impressionnante ) qui va nous permettre de procéder à un douloureux choix qui ne pourra être que de qualité!

Testifly a écrit:

Tout comme ma chère Lady Clare, je ne vote pas, mais je serais ravie de participer à cette nouvelle lecture de groupe (si vous voulez bien de moi bien sûr)

Bien sûr Testifly !!! Tu es la très bienvenue !!!

Jusqu'à quand pourra-t-on voter? Parce que je ne vais pas avoir accès à Internet jusqu'à vendredi J'ai déjà une idée des livres qui me tentent (et qui sont dans ma PAL tant qu'à faire^^) et il y en a 5 que j'ai déjà lus !

Jolie liste en effet. J'en ai déjà lu un bon paquet moi aussi...
Si j'ai bien compris, on ne peut pas voter pour les titres qu'on a proposé, c'est juste ?

@ esperluette : Je vais laisser le vote au moins 7 jours dans ce cas...
Mais ayant la liste des participants, je ferais attention d'avoir le nombre de votant correspondant ! (enfin si tu préfères m'envoyer une liste classée de 5 titres par MP au cas où tu aurais peur de ne pas pouvoir voter, je peux faire une exception... Sache juste que peut être que demain j'ajouterai une ou deux oeuvres, ou plus, selon les commentaires... )

@ Cecilou : en fait, je crois que c'était comme ça les dernières fois... Mais vu qu'un petit nombre de personnes ont proposé beaucoup de titres, je pense qu'on peut passer outre cette règle ?

Serendipity ou une modo pourrait-elle m'aider sur ce point là ?

Merci c'est gentil je t'enverrai mon vote vendredi alors !

merci Artémis pour tout ce travail, mais je demandais comment on allait procéder au vote?

En fait, j'attends aujourdhui de voir (puisque beaucoup n'ont de connexion internet que la semaine), que ma liste soit "validée" (que je n'ai pas oublié un titre proposé, etc)...
Comme je le disais à Esperluette, je vous demanderai de m'envoyer, classés par ordre de préférence, 5 titres par MP...
Mais bien sûr je réexpliquerai tout correctement à ce moment là, et je remettrai la liste mise à jour !

Artemis a écrit:

Serendipity ou une modo pourrait-elle m'aider sur ce point là ?

En effet, lors de la dernière lecture de groupe, il avait été demandé aux votants de ne pas voter pour leurs propositions, mais cette règle n'est pas figée et tu peux t'en dispenser Artémis si tu la trouve trop restrictive (je trouve qu'elle met un peu de piquant dans le vote).

Je ne crois pas que certaines aient proposé trop de titre ce coup-ci, non ?
(mais le WE est passé par là entre-temps, donc je peux faire erreur).

Je t'envoie d'autres propositions de livres dans la journée, que tu seras libre de refuser

En fait, j'ai dû supprimer un bon paquet de livres, parce qu'ils faisaient plus de 400 pages (et pour une lecture de groupe, ça fait beaucoup quand même ... donc exit Anne Cuneo, Dickens, Hardy...) et parce qu'ils n'étaient pas facilement disponibles en français (par exemple Anne of the Green Gables, ou Elizabeth Gaskell...)

J'attends tes propositions alors ! (est ce que tu peux vérifier chaque fois le nombre de pages please ?)

Artemis a écrit:

J'attends tes propositions alors ! (est ce que tu peux vérifier chaque fois le nombre de pages please ?)

C'est exactement ce que je suis en train de faire
(et je te fais un copier/coller du petit résumé d'Amazon pour te faire gagner du temps)

Edith Wharton / Une affaire de charme/ 158 pages

Citation :

Un milliardaire de Wall Street se retrouve littéralement envahi par la très entreprenante famille de sa toute jeune et ô combien charmante épouse. Une femme mariée plante son amant à la gare pour rester avec son mari parce qu'elle s'est trompée de jour pour sa permanente. Jeunes intrigantes, maris trompés, de New York à Venise en passant par Paris, Edith Wharton plonge dans les profondeurs ténébreuses de ces coeurs amoureux, disséquant avec une savoureuse férocité cet univers cosmopolite et mondain.

A suivre ...