Quel est le dernier livre que vous n'avez pas eu envie de terminer ?

Quant au "Rêve Botticelli", lu sans grand enthousiasme en dépit d'un sujet qui m'intéresse et il ne m'en este absolument rien depuis

Merci de m'avoir permis de me sentir moins seule pour "Claudine à l'école" Léti

J'ai abandonné lâchement "Matthias Sandorff" de Jules Vernes, et aussi "la terre" de Zola !

Tout à fait dernièrement : la lettre oubliée de Nina George.

Un roman brésilien de Patricia Melo intitulé "Acqua Toffana", que j'avais choisi pour diversifier mes lectures

Je n'ai pas accroché d'entrée de jeu et j'ai laissé tomber très vite.

Citation :

Au commissariat de Rio, une jeune femme vient déballer les déboires d'un couple en dérive, entré dans l'ère de l'amour "industriel". Parcourue d'un frisson érotique, elle établit d'effroyables similitudes entre un serial killer et son mari volage. Pendant ce temps, un rond-de-cuir tout droit sorti des romans de Courteline voit rouge quand on trouble sa routine et se convertit en dangereux psychopathe. Venue jouer les trouble-fête, l'imprudente voisine du septième lui devient biologiquement insupportable.

"je reviendrai avec la pluie" de Takuji Ichikawa... Je ne sais pas comment ce bouquin a pu se vendre à plus de 3 millions d'exemplaires au Japon !! plus un film, une série télé et un manga !!!

lalitteraturejaponaise.com :
ICHIKAWA fait partie d’une génération d’écrivains très répandus en Occident qui tentent maladroitement de confondre la réalité et le surnaturel, mais qui ne possèdent pas une maîtrise et une profondeur suffisantes que pour pouvoir en tirer une œuvre originale et digne d’un intérêt quelconque pour la littérature en générale.

La confrérie des chasseurs de livres de Raphaël Jerusalmy

Le résumé était pourtant attrayant

Citation :

Le roman de Raphaël Jerusalmy commence là où calent les livres d'histoire : François Villon, premier poète des temps modernes et brigand notoire, croupit dans les geôles de Louis XI en attendant son exécution quand il reçoit la visite d'un émissaire du roi. Rebelle, méfiant, il passe pourtant un marché avec l'évêque de Paris et accepte une mission secrète qui consiste d'abord à convaincre un libraire et imprimeur de Mayence de venir s'installer à Paris.Un premier pas sur un chemin escarpé qui mènera notre poète, flanqué de son fidèle acolyte coquillard maître Colin, jusqu'aux entrailles les plus fantasmatiques de la Jérusalem d'en bas, dans un vaste jeu d'alliances, de complots et de contre-complots. Aussi joueur qu'érudit, Raphaël Jerusalmy met en scène un François Villon vif et intrépide, qui impose les forces de l'esprit contre la toute-puissance des dogmes et des armes, pour faire triompher l'humanisme et la liberté.

Et aussi Madame George de Noëlle Chatelet

The White Queen (La reine clandestine) de Philippa Gregory . J'ai tenu sur près de 150 pages mais malgré l'intérêt du sujet - la Guerre des Deux Roses que je connais peu - j'ai fini par le laisser tomber. En particulier à cause du récit au présent, toujours difficile à supporter.

Diderot, le génie débraillé, de Sophie Chauveau.

J'ai fait l'effort d'aller à près de 300 pages mais là c'est trop, je lâche prise. Le style de Sophie Chauveau m'agace, quant à la personnalité du "génie", franchement, elle m'exaspère. Comme il s'agit d'une biographie romancée, on n'est par ailleurs jamais sûr de ce qui est vrai.

L'admiration que l'on porte à un auteur ne devrait pas nous dispenser de porter un regard critique sur son parcours. En bref, je n'aurais souhaité être ni la mère de Diderot, ni son épouse, et encore moins son amie, ou pire, sa rivale. ^^

Cats40, copine de moi    Enfin, moi, c'est son Boticelli, que je n'avais jamais réussi à terminer. Mais tu me confortes dans l'idée que cela vient bien de l'auteure, et non du sujet (non que j'en doutais, mais enfin)

Cet automne, j'ai laissé tomber Les Cosaques, de Tolstoï, et récemment Four Feathers, de A.E.W. Mason. Depuis que je m'autorise à ranger dans ma bibliothèque sans les finir les livres qui me tombent des mains, la gestion de ma PAL s'améliore.

J'ai abandonné le roman Le secret de la manufacture de chaussettes inusables, de Annie Barrows, après une petite 100taine de pages. Je m'ennuyais beaucoup trop, c'est looong

Et moi, j'ai abandonné "le curé du village", de Balzac... Je suis déçue, mais je l'avais choisi au hasard, donc bon.

J'ai abandonné quelques livres cette année, mais en général, plus par incompatibilité d'humeur que par réel désintérêt.
Sont restés sur le bord de la route en 2018 :
- Mon Antonia de Willa Cather, trop descriptif et contemplatif pour moi au moment où je le lisais,
- La tache de Philip Roth, lecture tombée dans une période difficile et pendant laquelle je n'avais, par conséquent, pas envie d'une lecture cynique,
- Anna Karénine de Tolstoï, parce qu'après 200 pages je n'avais toujours pas le coup de cœur attendu et espéré, et que je l'ai donc mis de côté.

Mais je pense reprendre ces 3 livres un jour (le seul pour lequel je n'en suis pas sûre est le Willa Cather).

Dommage pour le Cather !
J'avais lu La tâche il y a très longtemps, sans plus pour moi et d'ailleurs aucun souvenir. Je ne crois pas que ce soit mon style de roman, mais j'ai peut-être évolué depuis.
Quant à Anna Karénine, si j'ai vu plusieurs adaptations, je n'ai jamais lu le livre, mais pourquoi pas un jour. C'est d'ailleurs le seul Tolstoï qui m'attire réellement.

De mon côté :

L'été avant la guerre de Helen Simonson, commencé et abandonné en cours d'été. J'ai quand même lu plus de 300 pages (mais il en reste tout autant ) alors j'aimerais bien le terminer, mais ça m'apparaît limite comme une corvée. D'autant plus qu'il s'agit d'un emprunt en bibliothèque. Je me demande franchement si je dois continuer de m'acharner à lire (même si rarement) des romans contemporains "historiques" parce que c'est quasiment chaque fois une déception.

Sinon, j'ai temporairement mis de côté La cité promise de Doris Lessing, un pavé de plus de 950 pages, ici non par manque d'intérêt - au contraire, mais parce que je me suis laissée emporter par mon envie foisonnante d'autres lectures et que je n'arrive pas à lui consacrer l'attention qu'il mérite.

Pour ma part, je lâche "Le bois du rossignol" de Stella Gibbons, malgré un tout début prometteur je n'ai pas accroché

Le monde de Sophie, j'avais vraiment envie de le lire et pourtant je n'y arrive pas... Il est coincé dans ma table de nuit, un peu caché parce que j'éprouve une certaine culpabilité de ne pas savoir l'apprécier...

Après en avoir lu la moitié, je lâche "Millenium People" de JG Ballard sentiment d'échec de ne pas avoir su mener cette lecture à bout (on dit que Ballard est un des plus grands auteurs britanniques encore en vie), mais je n'ai pas le temps et l'énergie de poursuivre cette histoire de révolte des classes moyennes qui m'avait pourtant attirée par son actualité
J'ajoute que j'ai un problème avec le style (même si je lis la traduction) que je ne trouve pas très fluide

La dame dans l'auto avec des lunettes de soleil et un fusil : impossible à terminer tellement je trouvais l'écriture du livre pas très fluide et l'histoire inintéressante ... J'ai vu qu'il y avait un film. Je me suis dit que j'allais le regarder pour voir si j'ai eu raison ou tort d'arrêter ma lecture, mais je n'ai pas encore eu le courage !

Tout récemment : Les saltimbanques ordinaires de l'Irlandaise Eimear McBride.
J'avais dit ne pas être emballée dans Que lisez-vous et pas certaine de terminer et en effet, il va retourner inachevé à la bibliothèque et je ne compte pas le reprendre.

J'ai quand même lu une centaine de pages mais voir qu'il en restait plus de 350 m'a découragée (surtout que j'ai feuilleté un peu la suite, mouais )

Pourtant le livre a eu de bonnes critiques sur internet (en même temps que d'abandons comme moi ). Si des personnes décident de le lire (ou déjà fait) à Lambton, je serais curieuse de leur avis.