Le cinéma asiatique

Darcy a écrit:

J'ai trouvé beaucoup moins de chuintantes dans cette langue que dans le mandarin. J'ai beaucoup de mal avec ces sons.

ah c'est sûr que le Thailandais n'est pas une langue chuintante comparé au mandarin mais je ne sais pas, j'ai eu beaucoup de mal avec cette langue!! j'avais vraiment l'impression qu'elle m'écorchait les oreilles!!!

Je viens de voir Oto-na-ri, recommandé ici. J'ai passé un bon moment, il y a beaucoup de bonnes choses mais je suis un peu gênée par la façon dont cette histoire se noue, j'ai trouvé ça trop rapide (et pourtant le film ne l'est pas) et un peu parachuté.

Je m'explique:

Spoiler:

Et sinon, j'ai trouvé que l'histoire de Shingo, qui occupe les deux tiers du film, tirait un peu en longueur (même si j'aime bien l'acteur et que Shingo fait de l'aviron*).

* d'ailleurs à ce propos Nojima-san apprendra avec profit qu'on ne court pas sur les pontons, c'est le meilleur moyen de finir dans l'eau...

Ah ! Justement c'est cette incertitude menée jusqu'au bruits de fond du générique sans image que j'ai beaucoup aimée dans ce film, la sensation que les personnages sont dans la main de leur destin, et qu'il s'en faut de si peu pour en sortir !!
De mon côté je viens de voir "Shingoo" (Friend) film coréen de 2001 qui a lancé Jang Dong Gun (retrouvé dans le film de guerre "My way" et dans quelques dramas) et qui a eu un énorme succès dans l'Asie du Sud-Est, et même ailleurs, car mon DVD est sous-titré en français !! Le rôle de Jang Dong Gun a été repris par Hyun Bin dans le drama qui en a été tiré, tourné d'ailleurs par le même réalisateur Kwak Kyung-taek et inspiré par ses propres souvenirs d'enfance. J'ai été fort surprise de reconnaître dans l'autre personnage principal Yu Oh-seong qui n'est autre que le Prince de la Cour de "Faith" (il est vraiment excellent d'ailleurs !! )

L'histoire de l'amitié de quatre garçons que la vie va séparer et même dresser les uns contre les autres est bien menée, de plus nous sommes à Busan, ce qui change au niveau du langage, plus musical et fluide. L'histoire est bien sûr très resserrée, bien centrée sur les quatre (deux surtout) mais le ton est tout aussi âpre, la vie aussi dure, les châtiments corporels aussi présents, les assassinats aussi sanglants... Le film est tourné dans les tons sépias des vieilles photo, raconté par l'un des quatre, celui qui réalise le film. C'est un très bon film, dense, remarquablement interprété (Yu Oh-seong ) qui dure à peu près deux heures, ce qui est plus cool que les 20 du drama .... mais le drama est un parfait remake, qui ne trahit rien, au contraire ...

Alors Jang Dong Gun :

Spoiler:

ah oui, l'acteur Jang Dong Gun est aussi celui qui a, disons, le rôle principal dans a Gentleman's Dignity. (drama que je n'ai pas fini ) et effectivement, l'autre était dans Faith!
merci pour ta présentation et ton avis sur ce film, Clinchamps!

Le prince frappadingue de Faith, Yu Oh Seong, j'adore.



Mais la bande annonce me fait dire que cela ne risque de n'être pas aussi attrayant que je le voulais, mais je reconnais là le goût de Clinchamps (sans m'avancer ).

Darcy a écrit:

Le prince frappadingue de Faith, Yu Oh Seong, j'adore.


Mais la bande annonce me fait dire que cela ne risque de n'être pas aussi attrayant que je le voulais, mais je reconnais là le goût de Clinchamps (sans m'avancer ).

Il est extraordinaire, flippant avec quelque chose qui touche dans ce film ...

clinchamps a écrit:

Ah ! Justement c'est cette incertitude menée jusqu'au bruits de fond du générique sans image que j'ai beaucoup aimée dans ce film, la sensation que les personnages sont dans la main de leur destin, et qu'il s'en faut de si peu pour en sortir !!

Pas une raison pour abuser de la coïncidence IMHO mais il faut bien que nous divergions de temps à autre chère Mizu-chan, trop d'unanimité nuit à l'intérêt de la discussion.

Je viens un peu de pub pour l'adaptation cinématographique du manga de Naoki Urazawa: 20th Century Boys.

La série de 23 tomes (que je vous recommande par ailleurs) est adaptée en trois films. J'ai vu le premier qui est vraiment bien, respectant l'histoire et l'esprit du manga et avec un impressionnant travail de casting puisqu'on a vraiment l'impression de retrouver les personnages dessinés par Urazawa.
J'espère que les deux autres sont à l'avenant.

En deux mots l'histoire:

Spoiler:

Nom français : 20th Century Boys Chapitre : L'avènement
Réalisateur : Yukihiko Tsutsumi
Date de sortie japonaise : 30 août 2008
Date de sortie française : 14 janvier 2009
Durée : 2 heures 20 minutes
Distribution française : Kaze/Eurozoom
Acteurs principaux : Toshiaki Karasawa, Takako Tokiwa, Etsushi Toyokawa
La fiche technique repiquée sur le site http://www.labasesecrete.fr consacré à Naoki Urazawa. Ils reprennent une critique de manga news qui n'a pas aimé (ils sont bien difficiles je trouve) mais avec qui je suis d'accord pour dire que même ceux qui n'ont pas lu le manga arrivent à suivre ce qui est déjà une performance car la trame est complexe et mystérieuse.
Dans les rôles secondaires on retrouve quelques vieilles connaissances des dramas: le proviseur adjoint d'Hana Kimi, le yakusa de Shinya Shokudo notamment.

Je reviendrai avec des photos...

Je rejoins Clinchamps pour Otonari, parce que perso, j'ai bien aimé le rythme et la fin.... et puis c'est une comédie romantique, alors les coïncidences (qui plus est, je n'ai pas l'impression qu'elle part puis revient dans son appart. La scène finale, je pense que quand elle va vraiment partir, qu'elle a fait déménagé toutes ses affaires et qu'elle vient de rendre ses clés... )

Sinon, je passe surtout ici pour poster le trailer du prochain film d'Ikuta Toma, qui va nous montrer plus activement la dark side de son jeu... Toma du côté obscur de la force... puisqu'il y joue un psychopathe, une machine à tuer sans émotion. C'est adapté d'un roman qui a eu le prix Edogawa au Japon (l'équivalent du Goncourt pour les romans policiers ^^) Nou Otoko de Urio Shûdo.
Le réalisateur est celui d'Ikigami, Tomoyuki Takimoto.



Et le petit Toma, qui s'est fortement entraîné en divers arts martiaux pour le rôle a gagner en épaisseur, ça c'est sûr...


(sinon, il fait un peu peur, quand même... et je remarque qu'il passe son temps à jouer dans des adaptations de romans....) (quand je vous dis qu'il a un côté britannique... )

Toma en psychopathe et tout musclé, je dis "pourquoi pas?"!
la bande annonce "déchire" bien déjà!!! et le gif aussi!!!

Il a l'air intéressant ce film Kusa. J'ai aussi bien envie de voir Ikigami.

Je repasse pour mettre quelques images et le trailer de 20th Century Boys film 1




Les acteurs et "Ami"


Kenji


Ocho


Les gamins (Kenji, Ocho, Yukiji, Yoshitune, Maruo, Donkey et les autres)

Kusanagi a écrit:

Je rejoins Clinchamps pour Otonari, parce que perso, j'ai bien aimé le rythme et la fin.... et puis c'est une comédie romantique, alors les coïncidences (qui plus est, je n'ai pas l'impression qu'elle part puis revient dans son appart. La scène finale, je pense que quand elle va vraiment partir, qu'elle a fait déménagé toutes ses affaires et qu'elle vient de rendre ses clés... )

Comédie romantique ou pas... un barbu c'est un barbu, trois barbus c'est des barbouzes Et il m'a bien semblé qu'elle est partie en laissant ses clés sur la porte plus une pancarte (c'est bien comme ça qu'il a su qu'elle était partie), puis elle est revenue dans le quartier (pour prendre un café ?), pas à l'appart' ce n'est que quand

Spoiler:

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Ben désolée mais la fin de ce film me fait un peu l'effet de la course poursuite de Anne Elliot dans Bath dans Persuasion 2007 (= "assez perdu de temps, faut qu'on boucle en 5 min, trouve une idée, coco !"). Le début et le milieu j'aime bien .

marie21 a écrit:

C'est donc une fort jolie comédie romantique, comme savent en ciselé les japonais. Une histoire toute douce, une tranche dans la vie des protagonistes, la vie dans ce qu'elle recèle de trésors, de drames, de surprises, de chemins de traverses...

Je viens de le finir et comme dit Marie, c'est un joli film. Le problème est que mon précédent film était une comédie sous fond de maladie orpheline (je ne me souviens plus du titre).
Mais, j'ai eu l'impression de voir une répétition de similitude de scènes new-yorkaises et c'est un peu mon coup de gueule. Les japonais filment toujours dans cette ville et de la même manière. Et il faut toujours que l'un des personnages principaux devienne photographe. New-York semble être la ville où l'on s'accomplit artistisquement, on l'aura compris. J'ai cru reconnaître aussi le même appartement.

Il manquait aussi un peu de souffle et il m'a fait penser un peu aux Parapluies de cherbourg, je ne sais pas pourquoi, c'est le fait qu'il manquait de peu que le destin les sépare à jamais et ces occasions manquées.

Darcy a écrit:

marie21 a écrit:

C'est donc une fort jolie comédie romantique, comme savent en ciselé les japonais. Une histoire toute douce, une tranche dans la vie des protagonistes, la vie dans ce qu'elle recèle de trésors, de drames, de surprises, de chemins de traverses...

Je viens de le finir et comme dit Marie, c'est un joli film.

c'est quel film déjà, Paradise Kiss ou Hanamizuki? c'est moi qui ai écrit ça? j'ai l'impression que ma critique ne convient à aucun des deux films!!

[quote="marie21"]J'ai fini hier soir le film Hanamizuki!
et je remercie Kusa d'avoir mâché mon travail à savoir un post constructif sur le film, car mon avis rejoint en tout point le sien!!!

Kusanagi a écrit:

C'est donc une fort jolie comédie romantique, comme savent en ciselé les japonais. Une histoire toute douce, une tranche dans la vie des protagonistes, la vie dans ce qu'elle recèle de trésors, de drames, de surprises, de chemins de traverses...

C'est Hanamizuki et c'est Kuza en haut de la page 9.
J'ai trop tronqué le message.

bon ben, je ne sais pas ce qui m'a poussée à dire que c'était une "comédie romantique"! car ça n'en est pas une!!! my bad!!!

Euh j'ai pas suivi ce que j'ai dit et marie a dit...

Mais si je maintien pour ma part qu'il s'agit d'une comédie romantique dans le style japonais de la chose

Après pour la partie new-yorkaise, ben c'est souvent à mon humble avis que des décors se retrouvent d'un film à l'autre (une question de studio, de location je suppose...). Maintenant, même dans les rom-com américaine, New-York est la ville de l'accomplissement culturel, pas étonnant que les Japonais reprennent ce thème. Les films français font la même chose...

Kusanagi a écrit:

Euh j'ai pas suivi ce que j'ai dit et marie a dit...

Mais si je maintien pour ma part qu'il s'agit d'une comédie romantique dans le style japonais de la chose

Maintenant, même dans les rom-com américaine, New-York est la ville de l'accomplissement culturel, pas étonnant que les Japonais reprennent ce thème. Les films français font la même chose...

je ne sais plus si c'est moi qui ai renchéri en disant que c'était une bonne petite comédie romantique parce qu'avec le recul, je ne vois pas le film comme ça...même pour une comédie romantique japonaise, pour moi, c'est Paradise Kiss qui me vient en 1er à l'esprit et pas vraiment Hanamizuki même si je suis d'accord sur le fait que c'est un film romantique, pas un drame mais pas non plus une comédie!
bref, peu importe!
en tout cas, je plussoie au sujet de NY! c'est la ville qui bouge, qui fait toujours rêver en terme d'accomplissement culturel et professionnel! s'ils n'y habitent pas encore, tous les héros que ce soit dans les rom-com ou les films et dramas asiatiques, rêvent d'aller au moins y faire leurs études ou trouver un emploi intéressant ... (sur un CV, si tu dis que tu as étudié ou travaillé à New York, ça en jette tout de suite!)

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Pfiouloulou... je viens de voir un film, les nanas, autant vous dire que je le rentre direct dans mon top ! Mais j'ai une flemme terrible (séquelles probablement dues à l'élaboration de mon top 10 ), alors je ne vous en fais qu'une présentation succinte :

Citation :

Midori (Lisa Goto), sujette à un cauchemar récurrent depuis toute petite, vient d'emménager avec sa mère dans la ville où elle a passée ses premières années. Elle intègre le lycée local où elle retrouve Ryusuke (Ryuhei Matsuda), son ami d'enfance qu'elle n'avait pas revu depuis 10 ans. Elle se lie aussi d'amitié avec un groupe de filles qui s'intéressent à la divination et notamment la pratique du Tsujiura, qui consiste à se tenir debout devant un petit autel extérieur (qui est justement l'un des éléments principaux du cauchemar de Midori) et interroger le premier passant venu au sujet de l'avenir. Mais très vite, d'inquiétants événements se produisent et un passé très sombre resurgit.

Encore un film de fantômes... Que voulez-vous, ça et les voyages dans le temps, c'est mon dada (version cheval de trait).

Au départ, je me suis intéressée à ce film pour Ryuhei Matsuda (le grand frère de Shôta), car je venais de regarder le trailer de Tabou (son premier film, daté de 1999, que je me suis fait une joie de rajouter sur ma PAV) et je l'ai trouvé si fascinant que j'ai sauté sur sa filmo. Et là, qu'ai-je lu ? "2001 - Love ghost" ! Du coup, j'ai lâché tout ce que j'étais en train de faire, parce que Fantôme + Amour = Pâmoison (avec le bonus "Agréables songes d'une nuit d'hiver").

C'est décrit comme un film d'horreur, mais bon, pour les beaux yeux (et quels yeux ! ) de Ryuhei, j'ai décidé de tenter le coup (et puis de toute façon, j'ai un mari très utile qui me sert de doudou en cas d'angoisses nocturnes, alors... ) ! Au final, c'est très légèrement sanglant mais pas trop, et la pétocharde que je suis a tout a fait supporté l'atmosphère parfois angoissante, notamment grâce à l'adorable histoire d'amour (qui, je le précise, n'est pas du tout au centre de l'histoire), portée par une musique absolument envoûtante...

Le scénario est vraiment très efficace et si l'on devine très vite le rôle de certains personnages, le dénouement est déroutant et rend la tragédie encore plus douloureuse. Bref, j'ai fini en larmes (alors que j'ai pas réussi à en verser une seule pour Heaven's tree qui est pourtant, d'après les innombrables avis qui germent sur la toile, l'un des tire-larmes les plus efficaces qu'ont pu produire nos amis coréens... enfin bref, je vais pas gâcher la présentation de cette pépite qu'est Shibito no Koiwazurai pour la bouillie inepte pré-citée). J'insiste à nouveau sur la beauté (et surtout l'efficacité) de la musique qui accompagne cette jolie fin, parce que je crois qu'elle a carrément contribué à l'entrée de ce film dans mon top 10.







Bon finalement, c'était moins succint que prévu... Ah, l'enthousiasme fait des miracles, c'est sûr !


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Je ne vois pas tes cap, mais ton film m'intéresse (et je n'ai pas du tout aimé Heaven's tree non plus, tu n'es pas la seule !!

Je sais pas ce qui se passe pour les photos, déjà dans mon post sur le drama Zeni Geba, il y en a plusieurs qui ne sont pas apparues.

Je vais essayer d'éditer pour voir...




Edit : Bon, je comprends pas pourquoi, mais je les vois maintenant. Et toi Clinchamps ?

Oh Ryuhei Matsuda... vu dernièrement je ne sais plus pourquoi, dans quoi, mais il vieillit bien lui aussi

Et euh, moi non plus je ne vois pas les photos

(petite incursion technique : je pense qu'on ne voit pas tes images, Acubens, parce que ce sont des liens directs, et les liens directs, c'est le maaaaaal .

Je remets l'explication que j'avais écrite ... un jour ... :

mimidd a écrit:

En (très) gros , mettre un lien direct, c'est comme si tu te glisses en catimini chez ton voisin, que tu te branches sur son réseau électrique via une rallonge (heu ... je suis nulle en électricité, çà doit se voir ) et que de chez toi, tu profites de son courant pour faire marcher tous tes appareils ménagers.

Ou alors, avec une comparaison plus "informatique" : Imagine que ton voisin a le wifi (internet sans fil), qu'il n'a pas bloqué sa connexion, et que toi tu en profites pour télécharger plein de truc via sa connexion

C'est pareil pour les images. Dans le cas du lien direct, l'image s'affiche sur le forum, mais elle est hébergée sur un autre forum/blog/site. Nous, on en profite, mais on ne paye pas la facture. Il s'agit donc d'un vol de bande passante (en gros, les sites/blogs/forum sont hébergés par des serveurs qui contrôlent les passages sur le site/blog/forum en question, d'autant plus quand ce serveur est payant)

C'est pour cette raison que tu as le droit de prendre des images sur d'autres sites, mais qu'avant de les reposter sur le forum, tu dois passer par des sites qui hébergent gratuitement les images, comme imageshack ou servimg pour ne citer qu'eux.

Concrètement, si l'adresse d'une image postée sur le forum est du style

Code:

http://www.crevettesonline.com/image blablabla

il s'agit d'un lien direct (l'adresse mène directement au site où l'on a pris l'image), et c'est donc interdit.
Si l'image a une adresse du type

Code:

[URL=http://img14.imageshack.us/my.php?image=bablabla

c'est parfait

voilà voilà ... [retourne hibernationner dans sa grotte]

Je viens de voir un film qui date de 2011, Qiú Jǐn la guerrière, une poétesse chinoise. Très belle histoire d'une femme engagée pour la liberté de pensée des femmes au début du 20 e siècle.

En gros, Qiu Jin est née dans une famille d’érudits. C'est une fille déterminée qui, dès son jeune âge, montre son fort caractère. Douée en équitation, au tir à l’arc et à la poésie, elle aime la rivalité. Ayant été témoin de la souffrance des Chinois dans la capitale, la haine de Qiu Jin à l’égard du gouvernement Qing s’amplifie. Sa détermination à renverser le pouvoir et sauver la nation est de plus en plus grande. Pour cela, elle se joint à un parti révolutionnaire secret. Ils ont l’intention d’assassiner le gouverneur de Qing. Mais les choses vont être toutes autres… (résumé Allo ciné)
J'ai adoré l'ambiance, les costumes et l'interprétation de l'actrice principale Yi Huang.

Oooh, c'est pour ça... Merci Mimidd pour le coup de main, je vais modifier tout ça.

Et merci Valmont pour ta présentation, ça fait envie... Qu'est-ce-qu'elle était belle Qiú Jǐn !

(et magnifique ban, au passage )

Merci Acubens ! Un très beau film et surtout une histoire vraie...

Je viens de regarder un film coréen récent ( 2012) basé sur des faits réels et est inspiré de l'oeuvre "Noseoa Gabi" de Kim Tak Hwan . Je ne connaissais pas cette période du Joseon et je ne me suis pas ennuyée une seconde...l' histoire est prenante.... il y a de l' action, de l' espionnage, une trés belle musique et les deux acteurs principaux jouent magnifiquement

Avec dans les rôles principaux:
Kim So Yeon as Tanya

Spoiler:

Ju Jin Mo as Ilyich / Sakamoto Yusuke (il faut que je me penche sur la filmo de cette gambas )

Spoiler:

Synopsis:
Corée, 1896 - Dynastie Joseon.
Après l'assassinat de l'impératrice Myeong Seong par les japonais, et sous la menace d'un coup d'état, le roi Go Jong, trouve refuge au sein du consulat de Russie.

Au même moment, 2 escrocs et amants connus sous les noms de Tanya et Ilyich, se font intercepter par l'armée russe et livrer aux japonais. Sous peine de mort, ils se voient contraints d'accepter une mission visant à assassiner le roi Go Jong.

Au milieu de ce complot, mené par Sadako, une coréenne vendue dès son plus jeune âge aux japonais, Tanya va se faire embaucher au consulat de Russie en tant que serveuse spécialiste du café, boisson dont raffole le roi Go Jong, afin de mieux l'approcher.
Ilyich, quant à lui, prend les traits d'un officier japonais espion, sous le nom de Sakamoto Yusuke.

Les 2 amants doivent désormais faire comme s'ils ne s'étaient jamais vus...
source Nautiljon