Charlotte Hawkins -The Tempest - A Guy of Gisborne Story - (Attention spoilers)

C'est pas seulement le mot, c'est l'action qui est répétitive... Bon d'accord je baisse la barre du sautoir à 0,5 mètres: ça commence par un "t".

Throw alors? Elle l'utilise si souvent?

Nan... je baisse la barre à 0, 20 cm et tu me promets de te mettre au poisson deux fois par semaine pour phosphorer mieux que ça soeurette!

Alors... vers la fin de la première "intrication" de nos héros, on va trouver ce terme à trois sauces différentes: le verbe, qui est la forme que l'auteur utilise le plus souvent, le nom et le participe présent, le tout sur quinze lignes!

April et Miss Marian, où êtes-vous? Est-ce qu'on commente les chapitres 10-11-12 à partir d'aujourd'hui, Miss Marian?

Je suis désolé je n'ai pas encore fini le chap 10

Si vous voulez commenter allez-y, ça me motivera peut être plus pour avancer davantage

J'ai lu hier soir les chapitres 7 et 8 et je ferai mes commentaires tout à l'heure.

Bon, voici déjà mes commentaires pour le chapitre 7. Ceux pour le 8 suivront.

Tout d'abord, c'est vraiment embêtant cette histoire d'éditions différentes, ce n'est vraiment pas pratique quand on veut citer un passage dans telle ou telle page.

Tant pis, on fera avec... même si je ne comprends pas la grande différence du nombre de pages, par exemple entre mon édition du 26 juin 2010 et celle de Miss Marian du 18 octobre 2010. Mon livre fait 286 pages et le sien 407, mais pourtant, la taille de l'écriture semble le même.

Il y a peut-être des scènes "bonus" plus détaillées ???


Chapitre 7

Ah la la, Guy qui parle de boire du thé avec les villageois... c'est d'un drôle. Surtout que vu le personnage, l'auteur aurait dû remplacer le thé par la bière ou le vin. Bon, c'était une "image" de sa part, mais quand même...

Encore et toujours le jeu de la provocation entre Cassia et Guy. Ils sont comme les lapins de la pub pour les piles Duracell : ils n'arrêtent jamais.

C'est vraiment bizarre qu'après plusieurs semaines passé en leur compagnie, Gisborne croit toujours que Cassia veut le droguer ou l'empoisonner, quand elle lui propose à boire. Si elle avait voulu le faire, elle l'aurait fait depuis longtemps, non ?

Cela me fait rire quand Cassia se dit qu'à une époque, elle aurait fait n'importe quoi pour qu'il la regarde comme ça, quand à un moment, elle le surprend à la reluquer.

Elle se dit aussi qu'une partie d'elle voudrait enlacer Guy et l'embraser.

Ben alors ma fille, qu'est-ce que tu attends ??? Ce type est en train de te déshabiller du regard, toi tu n'attends que ça... et tu ne fais rien ???

Vraiment, je ne la comprends pas... Mrs Hawkins fait que ses personnages ont vraiment un comportement hors du commun. Viennent-ils de Mars ???

J'ai rigolé quand je suis tombée sur la fameuse phrase de Guy "Did your husband satisfy you ?".

C'est d'un goût... tout en finesse le monsieur...

Bon, Gisborne n'est pas tout à fait nunuche, il voit bien que Cassia le veut autant qu'il la veut. Il a enfin compris cela à la fin du chapitre.

Et voici mes commentaires pour le chapitre 8 (sorry pour le double post).

Chapitre 8

Marrant le coup de "Je veux du vin, allez m'en chercher". Et hop du coup, Guy se débarrasse du vieux... heu, du papounet.

Quoique, je ne pense pas que cela gênerait Gisborne de culbuter Cassia alors que daddy est à côté.

Décidément, l'auteur a une affection tout particulière pour le mot "smirk". Je "smirk", tu "smirk", il-elle-on "smirk", etc. Quoique, c'est plutôt Guy qui ne semble qu'avoir cette expression faciale.

Je ne comprends pas pourquoi Cassia ne veut pas rester seule avec Gisborne alors qu'en réalité elle en meure d'envie. Normalement, elle devrait se dire "Yessss, mon vieux se casse, allez, viens par ici chéri". Parce que bon, le chéri, il n'attend que ça aussi.

Ca me fait penser à une de mes répliques dans une pièce de théâtre "Fuis-moi je te suis, suis-moi je te fuis".

Ahhhh, la phrase de Guy "All alone are we ? Hmmm. I wonder what we shall do to pass the time ?". Quelle classe...

J'ai une idée de réponse : "Pourquoi ne pas faire un peu de ménage ou de la lessive ???".

J'ai bien rigolé à cet échange :

Guy : You would rather lie with vermin than with me ?

Cassia : Vermin in the hay, vermin in the house. One is no different to the other. Except that the ones in the barn do not speak.

Et là, la fameuse Sophie arrive et c'est à partir de là que j'ai commencé à bien rigoler toute seule sur mon canapé.

Par contre, un truc que je ne comprends pas. Guy arrive à se déplacer tout seule avec des béquilles, mais il a quand même besoin que quelqu'un vienne le laver ? Qu'on le mette dans la bassine avec une éponge-brosse-bref-le-truc-pour-se-laver-à-l'-époque et qu'il se débrouille, c'est un grand garçon. Ou alors, c'est qu'il n'a pas envie de se laver (beurk ! ) car il est fâché avec le shampoing-savon-autre et qu'il croit que l'eau, ça fait rouiller.

Mais non, il dit même que c'est agréable de voir la crasse partir...

Je ne comprends plus rien... ou alors, c'est moi qui au final, je comprends pas aussi bien l'anglais que je le pensais.... ou encore, c'est ce livre qui est trop "intellectuel" pour moi.

J'ai adoré ce passage du livre, je me suis bien divertie en le lisant, surtout le passage où Cassia raconte comment elle mate à fond la séance de bains de Guy, tout en étant planquée.

Par contre, loin de me faire swooner ou fantasmer, les descriptions du physique de Gisborne qui est bâti comme un Dieu grec, avec l'eau qui ruissèle sur son joli derrière, qu'il a d'enfer d'ailleurs, désolée, mais moi, ça m'a fait plutôt rire et j'ai imaginé la scène comme une pub genre "Tahiti douche", avec Guy sous une cascade d'eau qui se savonne langoureusement...

D'ailleurs je suis toujours en train de rigoler.

A croire que c'est la première fois qu'elle voit un homme en petite tenue... heu, sans tenue du tout. Bon, elle dit qu'elle n'a pas eu souvent l'occasion d'avoir de l'intimité avec son mari, mais quand même...

Ahhhh, enfin un peu "'d'action" quand Gisborne coince Cassia dans la pièce. Il doit être hyper motivé, car bon, il a encore bobo au pied le pauvre chéri.

Très drôle quand ledit chéri renifle le cou de la belle en disant "The scent is lavender, is it not ? I have come to enjoy that fragrence very much". Vive les fleurs !!!

Elle aurait du répondre : "Non, c'est du Chanel no 69, because je le vaux bien !".

Zuuuut, daddy est sur le point de faire son retour, alors la miss repousse son compagnon de roulage de pelle.

Le pauvre, j'imagine l'état de frustration dans lequel il doit être...


J'ai attaqué aussi le chapitre 9, il me reste encore 3 pages que je vais essayer de finir ce soir.

April a écrit:

Si elle avait voulu le faire, elle l'aurait fait depuis longtemps, non ?

Effectivement elle aurait pas attendu ça fait des mois qu'il est chez elle (ou alors elle avait peur de représailles )

Un peu parano le Guy

April a écrit:

Mrs Hawkins fait que ses personnages ont vraiment un comportement hors du commun

ça tourne un peu en rond heureusement ça va s'arranger par la suite

April a écrit:

J'ai rigolé quand je suis tombée sur la fameuse phrase de Guy "Did your husband satisfy you ?".

un comportement très gentleman tout ça

EDIT :

April a écrit:

Par contre, un truc que je ne comprends pas. Guy arrive à se déplacer tout seule avec des béquille, mais il a quand même besoin que quelqu'un vienne le laver ? Qu'on le mette dans la bassine avec une éponge-brosse-bref-le-truc-pour-se-laver-à-l'-époque et qu'il se débrouille, c'est un grand garçon. Ou alors, c'est qu'il n'a pas envie de se laver (beurk ! Suspect ) car il est fâché avec le shampoing-savon-autre et qu'il croit que l'eau, ça fait rouiller

Je me suis posée la même question mais à cette époque les seigneurs n'avaient pas quelqu'un qui les lavaient

April a écrit:

Par contre, loin de me faire swooner ou fantasmer, les descriptions du physique de Gisborne qui est bâti comme un Dieu grec, avec l'eau qui ruissèle sur son joli derrière, qu'il a d'enfer d'ailleurs, désolée, mais moi, ça m'a fait plutôt rire et j'ai imaginé la scène comme un pub genre "Tahiti douche", avec Guy sous une cascade d'eau qui se savonne langoureusement...

J'ai bien rigolé en te lisant le parallèle entre Guy et la pub Tahiti douche était bien trouvé

Moi quand j'ai lu le passage, j'avais la scène : je vois les pieds de Guy, l'eau qui ruissèle sur ses jambes puis on remonte jusqu'à son derrière avec l'eau qui perle

April a écrit:

Je l'imagine bien lui répondre : "Non, c'était un nul dans ce domaine, mais maintenant que vous êtes là, rassurez-moi... ça va changer, n'est-ce pas ???". Histoire de lui mettre un peu la pression.

En même temps je pense que le bonhomme doit avoir un peu la grosse tête, il doit se prendre pour un Apollon

Miss Marian a écrit:

April a écrit:

J'ai rigolé quand je suis tombée sur la fameuse phrase de Guy "Did your husband satisfy you ?".

un comportement très gentleman tout ça

Tout passe, tout lasse... sauf la classe.

Je l'imagine bien lui répondre : "Non, c'était un nul dans ce domaine, mais maintenant que vous êtes là, rassurez-moi... ça va changer, n'est-ce pas ???". Histoire de lui mettre un peu la pression.

April a écrit:

Par contre, loin de me faire swooner ou fantasmer, les descriptions du physique de Gisborne qui est bâti comme un Dieu grec, avec l'eau qui ruissèle sur son joli derrière, qu'il a d'enfer d'ailleurs, désolée, mais moi, ça m'a fait plutôt rire et j'ai imaginé la scène comme un pub genre "Tahiti douche", avec Guy sous une cascade d'eau qui se savonne langoureusement...

D'ailleurs je suis toujours en train de rigoler.

Ca me rassure! Je croyais être la seule à qui ça fasse cet effet! C'était pas à la pub que ça m'a fait penser mais à ces film des années 50 où les demoiselles détournent, gênées, les yeux du héros qu'on filme en contre-plongée (pour qu'il paraisse encore plus grand et plus costaud)... mais qu'elles matent quand même à travers leurs longs cils!

Si je ne le prenais pas à la rigolade, je serais atterrée par la collection de clichés à deux balles qu'on a dû subir jusque là. J'ai eu l'impression que l'auteur a écrit des scènes obligatoires du genre et a tenté de les relier par la suite. Cette scène du bain (Cassia joue les voyeuses) et la suivante (où elle essaye de lui échapper, bon, pas longtemps mais quand même!) en est l'illustration.

Miss Marian a écrit:

Moi quand j'ai lu le passage, j'avais la scène : je vois les pieds de Guy, l'eau qui ruissèle sur ses jambes puis on remonte jusqu'à son derrière avec l'eau qui perle

C'est drôle, ce genre de description devrait nous faire rêver mais là, moi je rigole toujours.


Fred, moi aussi je suis rassurée de ne pas être la seule.

En forme April, dis-donc ! Je préfère de loin le style de tes commentaires à celui du chapitre en fait.

Ben oui Fred, enfin t'as trouvé, mais comme il a fallu te souffler misérablement tu auras un gage à donner si tu veux ton prix: compte combien de fois thrust ou mots de la même famille se retrouvent en tout dans les trois "intrications" suivantes.

Bon, si je comprends bien faut que je trouve un mot caché pour April au niveau du chapitre... HUIT! Bon sang mais c'est bien sûr, c'est un signe, elle n'arrive pas à le lire parce qu'elle en écrit un OUR CHAPTER HEIGHT ! Dieu existe, alors?

Bon, Miss Marian, si tu ne veux pas de ma dernière énigme chapter 10 je lâche Fred dessus, hein...
Je la rappelle en tout cas:

Citation :

Cassia ne veut pas que sa réputation soit salie aux yeux de son père et
des villageois. Expliquant ceci à Guy elle emploie souvent le mot
"whore", et une seule fois un synonyme moins fréquent, et plus
"médiéval", en tout cas dans sa traduction française. Alors, quel est
ce mot?

Je dois pas être doué parce que j'ai pas encore trouvé

Peut être "mistress" mais comme tu dis que c'est plus "médiéval", en tout cas dans sa traduction française, je ne crois pas que ce soit ça

Non, d'autant que "mistress" c'est plutôt Guy qui l'emploie, non ? Allez, c'est dans la discussion sur la question de n'être pas déshonorée aux yeux de tous, le passage n'est pas si long... et le mot se trouve plutôt au début. En vieux français je le traduirais par "catin".

Et on y a déjà fait allusion avec April dans ce topic;

Selenh a écrit:

En forme April, dis-donc ! Je préfère de loin le style de tes commentaires à celui du chapitre en fait.

C'est gentil mais bon, je n'ai aucune mérite, je me contente de recopier ce que j'ai écrit dans mon cahier pendant ma lecture.

Finalement, malgré ma déception, je l'aime bien ce livre, il me divertit.


J'ai lu hier soir les chapitres 9 et 10 et je posterai mes commentaires dès que je les aurais mis au propre.

Pour ma part, j'ai enfin fini le chap 10

Il y a quand même un grand changement après que Guy ait "assouvi" ses désirs

Cassia qui s'interdisait cette relation avec lui, et après avoir succombé au charme de ce cher Guy et qui lui demande quand es-ce qu'ils se reverront, elle lui sort

"soon, I pray. But not here."

Voila qu'elle peut plus s'en passer faut savoir ce qu'elle veut

Le passage quand il pense à Marian, je trouve qu'il l'a vite oublié quand même, parce qu'il éprouvait une vrai passion pour elle

Par contre à la fin, je n'ai pas bien compris, il veut partir pour retrouver sa place auprès du Shérif ?

Effectivement, elle ne sait pas ce qu'elle veut.

En fait, à la fin du chapitre 10, c'est Cassia qui lui demande de partir car après ce qu'il s'est passé entre eux, c'est, selon elle, la seule solution... surtout vis-à-vis de papounet. Il comprendrait tout de suite que sa fille adoré à fait du "roulage de foin" avec le grand méchant monsieur de Nottingham.

Et je suis d'accord avec toi Miss Marian : Guy oublie bien vite Marian.

Inconstance, ton nom est Gisborne...

Je reviens tout à l'heure avec mes commentaires.

April a écrit:

Il comprendrait tout de suite que sa fille adoré à fait du "roulage de foin" avec le grand méchant monsieur de Nottingham

Ah ba fallait y penser avant

Là je te trouve sévère ! Si vous savez toujours ce que vous voulez avant quand il y a du désir dans l'air, moi ce n'est pas toujours mon cas...
En tout cas il n'y a pas que GG qui "assouvit", c'est relativement égalitaire concernant la sexualité, ce bouquin, et s'il sont passés à l'acte c'est quand même parce qu'il l'a quasiment amenée à lui faire une déclaration.
Quand à Marian... on a pour le moment presque uniquement le point de vue de Cassia, très peu celui de GG depuis qu'en se réveillant il a rêvé que c'était elle (Marian)qui était auprès de lui. Après il a passé son temps dans son lit à faire des caprices, à jouer des mauvais tours ou à reluquer Cassia, mais rien ne dit qu'il n'a pas pensé à Marian et que son humeur massacrante ne soit pas due à cela en plus de sa... mauvaise éducation? Cela dit, du vivant de Marian il ne s'empêchait pas non plus de reluquer (et plus si affinités) les donzelles que je sache, ce n'est pas parce qu'il arrive à rouler avec Cassia dans le foin que cela signifie qu'il en soit amoureux et qu'il ait oublié Marian. D'ailleurs Cassia est même obligée de lui demander de ne pas casser l'ambiance avec ses grossières déclarations.

Leur séparation à ce stade est effectivement logique : ils ont passé un marché, il doit lui installer un "cottage" (bon, anachronisme bien sûr) discretos pour liaison clandestine, donc il faut bien qu'il se refasse des finances et engage les maçons, pour ça. Logique de retourner vers son boss et récupérer sa situation.

Et quand au moment il n'est pas si mal choisi, papounet est de plus en plus crispé d'avoir GG à la maison surtout que sa situation sanitaire ne le justifie plus.
Cassia tient à ne pas désespérer son papa en se déshonorant à ses yeux, c'est tout de même louable et elle sait très bien que (c'était déjà quasiment le cas quelques pages avant) ça va se lire sur leurs figures, qu'ils ont fait dans l'intrication, d'où l'urgence de renvoyer GG là d'où il vient.
Elle ne veut pas passer pour sa... quel est ce mot au fait, Miss Marian, April? (Fred a déjà trouvé, visiblement, mais elle se retient, April aussi avait trouvé dans une autre vie, mais elle a oublié.) Allons, un petit effort, ou sinon que celles qui ne veulent pas faire joujou me le fasse savoir sous pli discret (MP autrement dit! )

Selenh, j'ai effectivement totalement oublié, avec ma


Voici mes commentaires pour les chapitres 9 et 10.

Y va y avoir du sport...

Petite précision, afin d'éviter que de futures lectrices pensent que je me fiche totalement du livre, en le "descendant" gratuitement. Ce n'est pas du tout le cas, si vraiment je n'aimais pas du tout ce livre, je ne prendrais même pas la peine de faire autant de commentaires.

Mes réflexions sont à prendre à la rigolade, ce n'est que mon avis personnel. Finalement, je trouve juste dommage que les "défauts" de l'histoire prennent le dessus sur ses "qualités", car bon, le sujet de départ était vraiment intéressant.

C'est que j'ai fini par me prendre d'affection pour ce livre...


Chapitre 9

Ah, enfin, Cassia est sur le point d'avouer ses sentiments pour Gisborne. Hé ben, ce n'est pas trop tôt.

Je suis impressionné, mais alors là, vraiment impressionnée par Sir Guy. Il est blessé, mais à lui tout seul, il arrive à venir à bout de trois gardes du Shérif en les mettant hors d'état de nuire. Le terme "ad patres" serait plus juste pour deux d'entre eux...

Rahhhh, il est vraiment trop fort, je suis sous le charme... Naaaan, je rigole !

Bon, si les soldats de Briwere sont aussi "capables" que ceux de Vaisey dans la série de la BBC, ce n'était effectivement pas trop dur d'en venir à bout.

Sympa Gisborne, on pense qu'il a fait tout cela dans l'unique but de protéger Cassia et son père... que nenni, il veut quelque chose en retour, genre un paiement en nature.

Des pots de confiture fait maison, ça vous irait Sir Guy en guise de paiement en nature ???


Chapitre 10

Ah, quand même, elle le remet à sa place quand il vient réclamer sa "récompense". Elle lui répond "Et la mienne, lorsque mon père et moi vous avons sauvé ? On est quitte à présent.". C'est bien ma fille, continue...

Ah la la, la dispute "d'amoureux", quand elle lui lance "I was a fool to thing that I was ever in..." et qu'elle s'enfuit dans la grange, ne voulait pas lui dire ce à quoi elle pensait. Elle est vraiment naïve de croire qu'il ne va pas la suivre.

Tiens, il la suit... étrange non ?

Je trouve la jalousie de Cassia envers Marian tout à fait déplacée et puérile. Elle se permet de la critiquer vertement car elle n'aimait pas Guy comme elle l'aurait dû, selon elle, genre "C'est pôôôô juste, il l'aime elle alors qu'elle a rien fait pour lui et moi, il m'aime pas, snif, alors que je fais tout pour lui". Caliméro, le retour...

Elle est vraiment trop changeante, parfois, elle a des réaction d'adulte et d'autres fois, celle d'une gamine. Pas facile à suivre.

J'adore leur échange (sorry, je n'ai plus les dialogues en anglais en tête) :

Lui : Tu me hais ?

Elle : Oui.

Lui : Alors pourquoi tu es d'accord d'être ma maîtresse ?

Elle : Parce que je ne veux pas te perdre.

Et là, ENFIN les choses sérieuses commencent et ils passent à l'action. Ce n'est pas que j'étais impatiente de lire comment les deux tourtereaux savent super bien se faire des papouilles tout en se roulant dans le foin, mais bon, après 2 mois où il ne se passe rien, je n'avais rien contre le fait d'avoir un peu "d'action".

Hé bien, hé bien, dire qu'elle ne voulait pas le faire au début. Et là, elle se jette sur lui... et son pantalon avec impatience.. Même lui doit être quelque peu "surpris".

J'adore son "Eager, are we ?".

Ben tu m'étonnes qu'elle est impatiente. 2 mois sans qu'il ne se passe rien, y a de quoi être affamée au final, non ? Ah ben non, ça c'est sa tête à lui. Celle de Cassia, c'est ça : (ben oui, c'est une fille non ? )

Cela m'a fait rire, car j'ai imaginé Cassia se jeter sur les aiguillettes du pantalon de Guy, tout en s'acharnant sur les cordons en se disant "Rahhhh, ça m'énerve ce genre de fermeture qui ne veut pas s'ouvrir !!! Pourquoi ils n'ont pas encore inventé la fermeture éclair ?".

Excellent le "Do not speak. When you do, you have a tendency to ruin a pleasant moment. I will not allow that now" de Cassia à Guy, en pleine "action".

C'est pas faux...

Hé ben, il est précoce le petit Guy. Il a commencé à 13 ans. Bon, il faut dire qu'à l'époque, pas de télé, pas de console WII, pas de cinéma, il faut bien s'occuper. Heureusement, il y avait les filles !!!

Vous allez rire, mais à la fin, je m'attendais presque à ce que Guy lance un "Alors, heureuse ?" à Cassia.

Wouahhhh, Gisborne c'est le Dieu du pieu... heu, de la paille. Car bon, recommencer le "roulage de foin" une deuxième fois tout de suite après la première, sans même un minimum de temps de récupération, il faut le faire... Trop fort Sir Guy. Cela m'a fait rire, car j'ai pensé à la réflexion d'une amie à ce sujet. D'ailleurs, si elle passe par là, ça va aussi la faire rigoler.

Très classe sa réflexion quand il se rhabille : "When I will have you again ?".

Cela aurait été plus délicat de lui demander "Quand allons nous nous revoir ?" au lieu de "C'est quand la prochaine fois que je peux te culbuter à nouveau ?".

Ah la la, si Mrs Cartland lisait cela, elle en ferait une syncope.

Deux "roulages de foin" et une sieste plus tard... Tiens, Guy est capable de faire du cheval et de rentrer tout seul à la maison comme un grand. Il aurait pu donc retourner auprès de tonton Briewere depuis longtemps alors...

Hé oui, Cassia veut qu'il parte, car bon, si Guy reste, son papounet va savoir qu'elle a fait de "very bad things dont la morale réprouve" avec le vilain monsieur.

Bon, en guise d'au revoir, Gisborne aurait pu faire un effort, parce que bon, dire "I will come back for you Cassia. You are mine now and I will have you again", il y a quand même plus romantique, non ?

Ah, mais quelle cruche je suis... j'oublie de qui on parle. Guy doit certainement croire que le romantisme, c'est un truc qui se mange avec de la mayonnaise.


En ce qui concerne les répétitions de mots, j'ai remarqué que l'auteur utilisait aussi plusieurs fois le mot "lust". A croire que Guy ne peut regarder Cassia que de cette façon. En fait, c'est un gros obsédé, et puis c'est tout...

Excellente prestation, April ! MDR

April a écrit:

Finalement, je trouve juste dommage que les "défauts" de l'histoire prennent le dessus sur ses "qualités", car bon, le sujet de départ était vraiment intéressant.

Citation :

C'est que j'ai fini par me prendre d'affection pour ce livre...

Moi aussi... C'est qu'on rigole bien !

Citation :

Des pots de confiture fait maison, ça vous irait Sir Guy en guise de paiement en nature ?

Citation :

Je trouve la jalousie de Cassia envers Marian tout à fait déplacée et puérile. Elle se permet de la critiquer vertement car elle n'aimait pas Guy comme elle l'aurait dû, selon elle, genre "C'est pôôôô juste, il l'aime elle alors qu'elle a rien fait pour lui et moi, il m'aime pas, snif, alors que je fais tout pour lui". Caliméro, le retour...

Mais je te citerais bien la Charlotte de P&P 2005: "Quand nous aimons nous sommes tous idiots". Et puis quand je vois certains commentaires de fans de GG je trouve qu'elles ne sont pas très loin d'éprouver la même chose vis à vis de Marian.

Citation :

Elle est vraiment trop changeante, parfois, elle a des réaction d'adulte et d'autres fois, celle d'une gamine. Pas facile à suivre.

À ce niveau je trouve que cela relève plus des défauts de l'auteur: elle n'arrive pas à faire vivre son personnage, à lui donner une véritable personnalité.

Citation :

"Rahhhh, ça m'énerve ce genre de fermeture qui ne veut pas s'ouvrir !!! Pourquoi ils n'ont pas encore inventé la fermeture éclair ?".

D'où l'expression d'époque "avoir les aiguillettes nouées" pour dire qu'on était impuissant.

Citation :

Bon, il faut dire qu'à l'époque, pas de télé, pas de console WII, pas de cinéma,

Même pas des masses de livres...

Citation :

Wouahhhh, Gisborne c'est le Dieu du pieu... heu, de la paille. Car bon, recommencer le "roulage de foin" une deuxième fois tout de suite après la première, sans même un minimum de temps de récupération, il faut le faire...

Heu? Va falloir qu'on en discute par MP, là, si tu trouves pas réaliste, je ne suis pas d'accord...

Citation :

Ah, mais quelle cruche je suis... j'oublie de qui on parle. Guy doit certainement croire que le romantisme, c'est un truc qui se mange avec de la mayonnaise.

Non, car aucun des deux (romantisme et mayonnaise) n'existe à l'époque. Ils sont tous deux du XIXe.

Citation :

En ce qui concerne les répétitions de mots, j'ai remarqué que l'auteur utilisait aussi plusieurs fois le mot "lust"

Je voulais vous le sortir, celui-là, bon, alors je transforme un peu: À quel mot de la langue française (de la même origine en fait) vous fait-il penser? (facile, ça commence pareil! sans tricher en regardant dans le dictionnaire, bien sûr.)

Selenh a écrit:

Heu? Va falloir qu'on en discute par MP, là, si tu trouves pas réaliste, je ne suis pas d'accord...

A ta disposition.

Selenh a écrit:

Je voulais vous le sortir, celui-là, bon, alors je transforme un peu: À quel mot de la langue française (de la même origine en fait) vous fait-il penser? (facile, ça commence pareil! sans tricher en regardant dans le dictionnaire, bien sûr.)

Heu... lot mot "luxure" ???

Je ne suis pas bien sûr d'avoir compris la question. Oui, parfois, il m'arrive d'être neu-neu.