Jeu littéraire pour chasser les idées noires

Merci Clinchamps  de m'avoir comprise !
 Roz, tu voulais savoir si c'était  château  qui m'avait inspirée pour le démarrage  .Eh bien  non.Au contraire  , il m'a bien  embarrassée ! J 'ai  adoré  les 3 verbes qui m'ont aidée à  écrire  le texte, ainsi que l'adjectif  illisible que j'ai voulu mettre en relief et pourquoi pas écrire  un poème  ? Château  fut le point de chute pour ce jeune homme.J'ai hésité  longtemps entre chevalier et cavalier.


L'Ami : pauvre mousse toujours des mésaventures. Sacrée  tirade !!! Bravo🤩
 
Selenh :  j'ai adoré ton texte, il sent tellement  le printemps, il est coloré  et poétique : les cortèges d'abeilles...les calices...les chatons désinvolte...

Et voilà, une bêtise de plus ! En voulant mettre un s à désinvolte , j'ai dû appuyer sur envoyer !
Selenh
Annwyn, quel beau texte à la Zola qu'on ne peut qu'arriver ! Tu as l'art des grandes envolées
Clinchamps : c 'est la grand-messe de célébration du vin avec un vocabulaire religieux qui accentue cet effet ! Et soudain coup de théâtre, Mistigri casse!! cette belle ordonnance ! Nous passons du Sacré au théâtre comique .Félicitations Clinchamps.
Elianor , bravo pour le château de cartes chatouillé par un souffle d'air taquin.Ta superposition des verbes épouse parfaitement
la superposition des livres.
Rosalind ,c'est une scène digne d'une pro de la montagne,théâtral à souhait. Je pense à Premier de Cordée.

Selenh, un seul mot = Bravo !!!

Les copine/copains bon courage !!

Ah merci beaucoup Aquarelle, c'est un bien joli compliment que tu me fais.

Selenh, magnifique !

Ouaip, on peut pas mieux

mais on peut grave, voici ma participation:

Citation :

Le sept* en pogne ou l’biffin d’chiffonnier c’est qu’un crochet d’misères pour aller d’Paname aux fortifs. Au mat’, les bourges pioncent encore ou s’ils vous lorgnent, l’regard de mépris vaut l’bonjour du matin. Dès l’aube, faut harponner immédiatement, loque, chiffon, ferraille, et souvent le rat, porteur d’peste, pas bon pour l’homme. Avec un peu d’bol, devant des magasins on troque les invendus, histoire d’préparer le rata du soir et d’réveiller les yeux d’nos mioches. Puis, on s’pieute, on oublie tout, pour quatre heures de sommeil.

*Le « sept »: Bâton clouté de chiffonnier ou encore le « biffin »

Selenh , quel magnifique poème avec des mots qui coulent comme un ruisseau joyeux.
L Ami,t'es registres de langage sont tellement nombreux qu'on ne peut que s'incliner une fois de plus devant ton talent. Tu pourrais faire un one man show à la façon Lucini.

Aquarelle: Merci

Excellent, L'Ami, je découvre ce qu'est un "sept" !!

Clinchamps, Annwvyn, L'Ami et Aquarelle : merci !

Tu nous as organisé une virée bien roborative chez les biffins, L'Ami, super !

Clinchamps, Selenh: Merci.

En revanche de 1900 à 1920, plusieurs personnes ont été contaminées par le bacille de la peste dans le milieu des chiffonniers par piqûres de puces de rongeurs infectés.

Aquarelle merci pour tes commentaires, que tu as galéré pour poster !

Bien vu pour "Premier de cordée", c'est bien ce roman qui m'a inspirée. Je l'ai lu adolescente et le passage de l'orage m'avait impressionnée, je n'ai jamais oublié le bourdonnement des abeilles

Selenh encore un merveilleux poème

L'Ami tu nous fais retomber sur terre, dans un univers bien glauque

Je suppose que tu es parti du mot "sept" ?

J'ignore pourquoi mais le texte de Rosalind n'est pas appru sur ma page !! Je viens de revérifier pour la 3ème fois, mais je ne le vois pas !

Oui Dame Rosalind, je voulais sortir de l’adjectif numéral, malgré tout je n’y échappais pas pour autant. Le sept est un grand bâton traversé par un gros clou pour crocheter les textiles ça et là, revendus aux fabricants de papier. De profil on pense à un sept, d'où son nom.

Voici mon texte, inspiré par le film Boléro que je viens de voir au cinéma.

Annwvyn a écrit:

« Dans l'immédiat, ne vous laissez pas aller, c'est tout. L'homme est pointilleux. S'il vous dit qu'il arrive à sept heures, c'est sept heures. Il est soigneux, il se réveille toujours avant la sonnerie du réveil-matin, sa tête est ordonnée comme le magasin d'une garnison.
- On m'a dit qu'il était aimable, pourtant, bredouilla la bonne dame. Elle hésitait, la réputation de son nouvel employeur l'effrayait soudain.
- Oh, ça pour sûr, c'est une crème. Seulement, n'oubliez pas ses souliers vernis les soirs de concert. Parce qu'alors, bonjour le drame ! Il refuse tout bonnement de diriger l'orchestre ! »

Excellente idée, Annwvyn !! Ce chef d'orchestre me rappelle un personnage d'un vieux drama !!

Annwvyn: Merci pour ce clin d’oeil à notre compositeur national.

De rien L'Ami !
Et oui, Clinchamps, ce cher chef d'orchestre n'est jamais bien loin !

Comme tu as raison Annwyn, les chefs d'orchestre sont si pointilleux avec les musiciens de l'orchestre et si intransigeants lorsqu'il s'agit de leur ego.

Voici le texte que Aquarelle m'avait demandé de poster hier soir, pardon pour le retard  

Aquarelle a écrit:

Il était une fois, un, deux, trois, quatre , cinq, six, sept petits nains de la CHAUMIÈRE  Au BOIS DORMANT qui allèrent au magasin du village voisin : "Bonjour" dirent- ils en chœur à l'homme affalé sur sa chaise, ce qui le réveilla en sursaut.
"Oui, bonjour !" répondit-il immédiatement.  - Avez- vous oublié quelque chose ? - Oui, nous avons oublié l'attrape-rêves pour Simplet.  - Ah ça alors, il va falloir en commander un ; j'ai été dévalisé ces temps-ci avec tous ces touristes qui viennent voir votre Blanche- Neige."
Dépité, Prof le chef de bande repartit vers la Chaumière avec tous ses compagnons.
1.2.3.4.5.6.7.  Sept petits nains retournèrent en silence dans la forêt.

Annwvyn encore un texte très évocateur.

A qui faites-vous allusion Clinchamps et toi ?

Très joli texte, Aquarelle, avec un petit effet comptine très charmant !!
Rosalind, Annwvyn et moi faisons allusion à un chef d'orchestre caractériel d'un drama coéren déjà ancien "beethoven virus" ! En tous cas moi c'est à lui que je pense !

Un petit texte pour le fun   :


Sept ans au Tibet pour aller dompter le Nanga Parbat ; Danger immédiat garanti. Pour la famille, c’est vraiment Bonjour tristesse ! Une Chasse à l’homme faillit avoir raison de sa vie, mais Une Rencontre, changea son destin. Il est vrai que le bonheur simple, ne s’achète pas forcement dans Le Grand Magasin des rêves. N'oublie jamais, La réalité finit toujours par réveiller Les âmes vagabondes.

Excellent Ysabelle !!! Vraiment bien trouvé ! j'adore ! je vais avoir du mal à choisir !!

Merci Clinchamps  

Selenh, que c'est magnifique.   J'ai envie de prendre une guitare pour t'accompagner

clinchamps a écrit:

Excellent, L'Ami, je découvre ce qu'est un "sept" !!

L'Ami, je suis en admiration  

Annwvyn, bravo pour ce portrait du talentueux chef d'orchestre. Je suppose qu'il s'agit du personnage que représente le beau Raphaël de ton look?

clinchamps a écrit:

Excellente idée, Annwvyn !! Ce chef d'orchestre me rappelle un personnage d'un vieux drama !!

Bien vu Clinchamps   A moi, il rappelle deux vieux dramas différents

Aquarelle, très joli texte

J'aime beaucoup les petits nains d'Aquarelle ! Et Ysabelle, quelle efficacité ton texte !

Pour répondre à Rosalind, j'ai hésité entre deux chefs d'orchestre de drama en lisant Clinchamps, il y a Kang Ma-E, chef coréen insupportable, de Beethoven Virus, et Chiaki Senpai, chef japonais exigeant et passionné, de Nodame Cantabile. J'ai finalement décidé que Clinchamps parlait du second , c'est pourquoi j'ai parlé de "cher" chef d'orchestre, car c'est un personnage que j'aime beaucoup. Et Ysabelle, bien-sûr : mon look est Maurice Ravel, incarné par Raphaël Personnaz ! Au bout du compte, c'est en pensant à Ravel que j'ai écrit mon texte !