Semaine 1 : Chapitre 1 à 7

Disons que même en quête de rupture, si c'était moi, je réfléchirais quand même à 2 fois avant de m'embarquer dans une aventure avec une folle dingue personne que je viens tout juste de rencontrer
D'où pour moi ce léger sentiment de facilité en début de livre. Après, je dirais que pour l'instant ça n'entache pas le reste de la lecture.

Aï, aï, aï... j'ai dépassé les 7 premiers chapitres, je ne sais pas m'arrêter . Je dois avouer que je n'aurai pas acheté le livre sans cette lecture de groupe car le résumé ne m'attirait pas plus que ça mais c'est une très belle surprise car je me régale de cette lecture en VO .
J'aime ce style léger et j'aime ces descriptions et ce lieu enchanteur. Les personnages sont délicieux même si Mme Fisher m'insupporte au plus haut point . J'aime cet humour, ce second degré - j'aime Lotty qui VOIT les choses et la réaction des autres personnages à ce genre de vision. Je n'ai pas lu dans vos postes d'allusion à la servante Francesca et à sa recherche de maitresse de maison ou à Domenico et à son travail très rapproché de Lady Caroline (les haies doivent être particulièrement raccourcies près de la chaise longue de cette dernière si j'ai bien compris) - les comportements et les pensées des personnages secondaires face à ces 4 femmes sont très drôles .

Mais cette Mme Fisher.... Brrrr

J'ai hâte de connaître la suite . Merci pour cette découverte

Pas d'inquiétude Blue! Tu n'es pas la seule à avoir avancé, nous sommes plusieurs apparement. Sinon, tu as raison de parler des personnages secondaires, Domenico qui ne peut s'empêcher de trouver des excuses pour ne pas lâcher des yeux Lady Caroline (l'avantage, si on cherche Domenico, cherchons d'abord Lady Caroline, on est sûr de le trouver pas très loin) et Francesca qui aimerait un peu plus d'action. C'est dommage, je n'ai pas pris de notes par rapport à eux.

Blue a écrit:

Je n'ai pas lu dans vos postes d'allusion à la servante Francesca et à sa recherche de maitresse de maison ou à Domenico et à son travail très rapproché de Lady Caroline (les haies doivent être particulièrement raccourcies près de la chaise longue de cette dernière si j'ai bien compris) - les comportements et les pensées des personnages secondaires face à ces 4 femmes sont très drôles .

Argh, je voulais te répondre Blue, mais je viens de vérifier et l''exemple que je m'apprêtais à citer appartient au chapitre 9 alors RDV dans le topic n° 2

Je crois que j'ai un problème avec ce livre. J'apprécie l'humour et les mises en situations ainsi que les descriptions du paysage (se peut-il qu'il y ait autant de fleurs en avril, des lys en même temps que des freesias? ).
Je visualise très bien l'arrivée rocambolesque au château, la mesquinerie des premières arrivées qui squattent les meilleures places, les domestiques cherchant la tête du groupe sans la trouver, la rivalité d'hôtesse entre Rose et Mrs Fisher (à mourir de rire, EF Benson n'est pas très loin), Lady Caroline dont les mimiques sont toujours interprétées de façon contraire...

Mais, je ne comprends pas la psychologie des personnages. Lottie m'énerve avec ses "visions", par exemple. Et Rose se montre moins efficace en Italie qu'elle ne l'a été à Londres, pourquoi?
J'ai avancé dans ma lecture et je ne veux pas faire de spoiler, mais je me sens un peu refroidie.

@ Pouchkinet : le topic consacré à la deuxième semaine est ouvert, si tu veux développer plus sans crainte de spoiler

Quant aux lys qui cohabitent avec les freesias, j'espère que des mains vertes passeront par ici pour nous donner leur avis

Avec un peu de retard, je me joins aux commentaires des premiers chapitres. J'ai énormément aimé cette entrée en matière.
Le style, tellement anglo-saxon, de douce ironie de l'auteur et la description de situations cocasses m'ont totalement séduite. J'aime beaucoup le duo formé par mesdames wilkins et Arbuthnot. En particulier Lotty et sa gentille folie.
Je n'ai pas encore d'avis tranché quant à Lady Caroline et Mrs Ficher. Je vais leur accorder encore un chapitre ou deux avant de les condamner .

Je retrouve moi aussi certaines similtudes avec Chambre avec vuede Forster, dans la délicieuse description de ces anglaises confrontées à la culture italienne.

Si je ne me suis pas identifiée aux personnages en revanche j'ai adhéré totalement à leur projet de location. Car moi aussi je me serais volontiers laissée tenter par cette annonce et par ce désir de "lâcher-prise"que chacune des 4 femmes éprouve à sa manière.
El Salvator semble bel et bien être le paradis! Elizabeth Von Arnim le décrit à merveille. J'ai hâte de replonger dans ma lecture!

serendipity a écrit:

Quant aux lys qui cohabitent avec les freesias, j'espère que des mains vertes passeront par ici pour nous donner leur avis

Je ne sais pas si je peux me considérer comme ayant les mains vertes mais il est vrai que je comprends les interrogation botaniques de Pouchkinet. Je crois qu'Elizabeth von Arnim a un peu exagéré à ce niveau, mais il semble qu'au niveau du jardinage, ce n'est pas la première fois. En effet, son premier succès littéraire, Elizabeth et son jardin allemand, avait pour thème la création d'un jardin. Or Forster justement, qui avait été le précepteur des enfants von Arnim au moment de la création de ce fameux jardin, n'avait remarqué que quelques arpents peu soignés, bref, pas de quoi fouetter un chat. Les exagérations de la romancière à ce niveau ne m'ont donc pas trop étonnée.

Comme finalement la
deuxième partie de juillet est ce qu’il y a de pire pour moi quand à
l’accès à un ordinateur, je vais vous demander humblement de m’excuser
de passer par la méthode courte. Au contraire de la plupart, je vais
commencer par lire vos commentaires et n’ajouter de mes impressions que
ce qui n’a pas été déjà formulé par quelqu’un d’autre.

Au début du mois j’ai
rédigé ça:

Chapitre I :
Rencontre entre deux
extra-terrestres : la petite souris et la sainte atteinte de manie
classificatrice. La compréhension entre les deux dames semble quasiment
impossible, au delà du moment de hardiesse qui permet à Mrs Wilkins
d’aborder Mrs Arbuthnot.

D’ailleurs elle ne va pas vraiment essayer de
communiquer avec Mrs Arbuthnot, car la petite souris est déjà en pleine
mutation et plane en pleine obsession. C’est à peine si elle cherche à
convaincre: elle est tellement convaincue, elle même, qu’elle ne songe
pas une minute que l’autre doive être persuadée. Son désir la pousse
très fort, elle ne peut douter que celui de Mrs Arbuthnot soit identique
et elle a raison.

Mrs
Arbuthnot. de son côté résiste en essayant de classer Mrs Wilkins et
c’est un double échec : comme elle n’y arrive pas, ce système de
sécurité défaillant contribue à la déstabiliser encore plus. Et en se
défendant ainsi elle n’a pas pensé à se défendre du côté de son propre
désir, elle est particulièrement vulnérable à l’enchantement jeté par
la petite annonce et multiplié par la ferveur de Mrs Wilkins.

J’ajoute, en ce qui
concerne cette première partie que j’ai particulièrement aimé les
dévoilements progressifs, à commencer par celui du “mystère Frédérick”,
l’énigme du mariage perdu de Rose. L’auteur commence par des notations
très discrètes (comme celle à l’enfant), et finit par développer un
sujet complet d’une façon de plus en plus complexe, qui ne permet pas de
savoir pourtant où résident exactement les causes de cet échec, ni s’il
est irrémédiable.

J’ai
beaucoup aimé aussi voir se dévoiler tout un autre personnage dans
celui que l’on croyait déjà connaître, par des changements de point de
vue.

Celui du narrateur au
début nous fait rencontrer deux misérables exemplaires de petites
bourgeoises londoniennes frustrées et aliénées, anéanties même, dans
leurs mariages. Et tout d’un coup on découvre, dans un autre regard,
qu’il s’agit de deux très jolies jeunes femmes, à peine trentenaires
(quand je les voyais au moins quadragénaires dans le premier chapitre!).
Quelqu’un a déjà parlé
de la redécouverte de sa propre beauté par Lottie quand elle brosse ses
cheveux devant son miroir... Quant à la Mrs Arbuthnot que nous
connaissons, elle classe les pauvres en espérant que dans son grand âge
elle retrouvera peut-être le mari qu’elle avait aimé... et voilà qu’un
Mr Briggs, le propriétaire du château, fait soudain exister une Rose “plus que fascinante à
regarder”: “de doux yeux noirs”, “une belle voix grave”, “un sourire
angélique”. Elle fait partie de ces “créatures faites pour la douceur et
la tendresse” dont la main est de celles que “les enfants aiment à
retenir dans le noir”. La bigote devient dans les yeux de son futur
propriétaire “une Madone”, “une sainte couronnée de son auréole” qu’il
laisse repartir à grand peine.
Ainsi dès le chapitre trois le personnage de
Rose se révèle riche de deux belles histoires d’amour potentielles: la
reconquête de Frédérick, le grand amour perdu, ou les suites du coup de
foudre ressenti par Mr Briggs... Et dès lors le narrateur l’appelle
Rose, et lui attribue après cette brillante démonstration (sans doute
est-ce aussi le point de vue de Mrs Wilkins) “audace” et “esprit de
décision”.
Les
personnages des deux autres femmes me semblent pour le moment moins
convaincants, leur for intérieur est trop caricatural en ce qui concerne
Mrs Fisher, et la psychologie de Caroline m’échappe complètement. Les
deux seconds portraits bénéficient d’un traitement différent de delui
des premiers de la part de l’auteur: elle ne dessine plus avec les mêms
outils. Cela dit, il ne s’agit peut-être, effectivement, que de deux
éléments de décor destinés à mettre en valeur les deux véritables
héroïnes.

Selen pourrais-tu STP mettre des balises anti-spoilers pour les parties qui évoquent l'après-chapitre 7 ?

Ta contribution est très intéressante mais elle anticipe toutes les futures discussions sur le livre

Il me semble que les commentaires de Selen ne se rapportent qu'à la première partie, telle que définie dans le découpage, en fait, Serenity.

Au temps pour moi, les allusions à Mr Briggs m'ont plus évoqué la 3è partie que la 1ère désolée

Ben oui, il me semblait aussi , sinon soit je suis tellement gaga que je ne sais plus lire un numéro de chapitre... soit j'ai le don de voir l'avenir du roman (note que ça m'arrive hélas un peu trop souvent à mon goût, mais j'appelle plutôt ce phénomène une intrigue "téléphonée", et jusque là ce bouquin ne me fait heureusement pas cet effet!).
Après tout Lottie a bien des visions, serais-je contaminée?
Donc Mr Briggs ne va pas disparaître du décor, hein?
Qui c'est-i' qui fait du spoiler, my dear Serendipity hé hé?

En attendant, le passage, magistral, dont je parle est au chapitre trois, pages 44 à 46 de 10/18 si tu veux le relire, car il révolutionne vraiment notre vision de Mrs A. à travers le regard... (comment le classe-t-elle déjà? dans les "artistes exaltés"!) d'un homme soudain illuminé par une sainte et adorable apparition. C'est le passage qui nous introduit à l'intimité de son prénom avec un art consommé:

A rose is a rose is a rose:

J'en suis au chapitre 13 et Mr Briggs ça ne me dit rien du tout!

Natacha : même punition que moi relis le tout début du chapitre 3 et en effet, Mr Briggs était déjà présent

Mais si Natacha, c'est le propriétaire qui leur loue la maison...et qui est fasciné par Rose et son profil de madonne.

Merci les filles!

J'ai relu hier soir les parties du chapitre 3 se rapportant à Mr Briggs et je souhaitais si vous le voulez bien revenir sur un point :

Selen a écrit:

(...) et voilà qu’un Mr Briggs, le propriétaire du château, fait soudain exister une Rose “plus que fascinante à regarder”: “de doux yeux noirs”, “une belle voix grave”, “un sourire angélique”. Elle fait partie de ces “créatures faites pour la douceur et la tendresse” dont la main est de celles que “les enfants aiment à retenir dans le noir”. La bigote devient dans les yeux de son future propriétaire “une Madone”, “une sainte couronnée de son auréole” qu’il laisse repartir à grand peine.

Ainsi dès le chapitre trois le personnage de Rose se révèle riche de deux belles histoires d’amour potentielles: la reconquête de Frédérick, le grand amour perdu, ou les suites du coup de foudre ressenti par Mr Briggs...

J'aurais souhaité savoir si vous partagez ce point de vue. Je suis peut-être naïve mais dès ma première lecture, je n'y ai pas vu un "coup de foudre" de la part de Mr Briggs mais plus une attirance envers une figure maternelle

Ma relecture m'a confortée dans ce sentiment mais peut-être suis-je passée à côté de quelque chose ?

serendipity a écrit:

J'ai relu hier soir les parties du chapitre 3 se rapportant à Mr Briggs.

J'aurais souhaité savoir si vous partagez ce point de vue. Je suis peut-être naïve mais dès ma première lecture, je n'y ai pas vu un "coup de foudre" de la part de Mr Briggs mais plus une attirance envers une figure maternelle

Ma relecture m'a confortée dans ce sentiment mais peut-être suis-je passée à côté de quelque chose ?

Je partage ton point de vue.
Rose représente la figure maternelle, réconfortante, l'auteur insiste beaucoup sur cette nature là du personnage.
Mrs Wilkins représente la soeur qu'il n'a jamais eu.
Mrs Fischer pourrait être la grand-mère car elle voit Mr Briggs comme un petit fils qu'on chéri et à qui on fait tout passer.
Et devinez quoi pour Lady Caroline...l'épouse idéale.

En fait Mr Briggs est au centre ou le pivot de cette famille reconstituée qui a permis de réunir ces 4 femmes.

Attention, je me plaçais pour ce commentaire uniquement du point de vue du chapitre 3 (ton analyse de sa vision des autres personnages est à mon sens influencée par la 3è partie du livre )

Je vous donnerai mon point de vue sur la suite des relations Briggs/ Rose à partir de lundi prochain

Encore en retard, comme d’habitude, je devrais aller prendre le thé avec le lapin d’Alice Au Pays Des Merveilles parce que je suis sûre qu’on serait super potes !

J’ai beaucoup aimé cette première partie. Toutefois je regrette de ne pas avoir choisi la version originale. J’imagine que le traducteur laisse plusieurs subtilités de côté.

Je m’excuse d’avance, je n’ai lu les posts précédents qu’en diagonale, vous risquez de vous ennuyer en lisant le mien. J’ai apprécié l’introduction qui est assez directe. La petite annonce m’a laissé rêveuse, je m’imaginais moi-même lézardant dans un jardin luxuriant, merci à Serendipity et à ses photos. Mais après je trouve que l’introduction traîne un peu en longueur, elle s’essouffle à force de remarques juridiques et autres, et je trouve que passer presque un tiers du roman à Hampstead est un peu trop. Et je trouve le comique de répétition "San Salvatore ? Si si !" un peu lourd à mon goût et il ridiculise nos deux héroïnes au lieu de nous attacher à elles.

Quant aux personnages, j’ai comme l’impression que l’auteure s’est réalisé un mini Secret Story (désolée pour la référence de mauvais goût ), elle lance quatre parfaites inconnues à l’aventure alors que leurs caractères sont loin d’être compatibles.
J’ai beaucoup de compassion pour Mrs Wilkins. Elle se prive personnellement de vêtements, de plaisir, de bonheur tout simplement pour les soles et pour le profit de son mari (qui a un prénom effroyable au passage ). Je comprends qu’elle puisse friser la folie, comme quand elle s’imagine voir John Keats se promener, par exemple. Son besoin de chercher l’amitié chez quelqu’un qui lui est quasiment étranger m’a touché ; elle est si désespérée qu’elle n’hésite pas à aborder une femme qu’elle n’aperçoit qu’à l’église afin d’échapper à sa sordide existence. J’appréhende le traitement que vont lui infliger les deux "invitées".
En revanche je suis assez intriguée par le personnage de Mrs Arbuthnot. C’est une vieille bigote hystérique. Sa vie tourne autour de quatre points cardinaux Dieu, son mari, sa maison, ses devoirs ce que je trouve absolument triste. D’après ce que j’ai compris, son mariage est tombé en ruine à la mort de son enfant, mais ce n’est pas une raison pour son mari de la délaisser (elle part en voyage pendant une semaine et il ne s’interroge même pas sur la destination ?! ). Mais je soupçonne une future et éventuelle infidélité de sa part avec le propriétaire Mr Briggs qui la flattait avec de biens mièvres compliments.
Bien entendu, je déteste Mrs Fischer, elle est tout simplement insupportable. Elle est assez handicapée pour se faire servir par les autres et choisir la meilleure chambre de la villa, mais pas assez pour s’y rendre avant tout le monde ; sa maladie et sa canne ne sont que des prétextes pour se conduire de la façon la plus odieuse possible.
Je crois que Lady Caroline me plaît, ce serait sûrement le personnage auquel je m’identifie le plus, je ressens comme une sorte d’innocence chez elle. Elle est trop belle pour se marier, trop riche pour se plier aux souhaits d’autrui, mais je ne crois pas qu’elle pense à mal au fond.

Bon eh bien voilà un avis bien bref encore une fois, mon excuse est que j’ai du reprendre mon post une fois qu’internet s’est coupé et que mon avis ait disparu, mais j’ai bien peur d’avoir répété la majeure partie de ce qui a déjà été énoncé.

Pas de souci, Testifly, ton avis est très intéressant et tu ne dois pas avoir peur de la répétition. On est en lecture de groupe, chacun dit ce qu'il ressent et seulement ensuite on compare.

Et je crois que personne n'avait encore trouvé autant de charme à Lady Caroline.

Je me réjouis de savoir ce que tu penseras de l'évolution des personnages par la suite.

Merci pour tes paroles gentilles Cat

Dès demain je me précipite sur le topic de la deuxième partie

[Mode HS on] Et en me relisant, je viens de lire quelque chose qui m'a presque choquée et que je voudrais mettre au clair ; quand je dis que je m'identifie à lady Caroline et qu'elle est trop belle et trop riche, je ne veux pas sous-entendre que je suis une princesse d'une beauté incroyable , je ne suis pas si prétentieuse ! Disons que je la comprends dans son "malheur". Il m'arrive d'écrire des absurdités à des heures si tardives !! [Mode HS off]

Testifly a écrit:

[Mode HS on] Et en me relisant, je viens de lire quelque chose qui m'a presque choquée et que je voudrais mettre au clair ; quand je dis que je m'identifie à lady Caroline et qu'elle est trop belle et trop riche, je ne veux pas sous-entendre que je suis une princesse d'une beauté incroyable , je ne suis pas si prétentieuse ! Disons que je la comprends dans son "malheur". Il m'arrive d'écrire des absurdités à des heures si tardives !! [Mode HS off]

Pas d'inquiétude Testifly, je pense que nous avions bien compris tes propos!

Je crois que tu es la première à exprimer que cette partie "exposition" te semble trop longue : peut-être à la fin de la lecture, après avoir pris connaissance de la construction entière du roman, réviserons-nous les unes et les autres notre approche par rapport à cette première partie!
Pour ma part, le style et l'humour m'ont tellement charmée que je suis peut-être passée à côté de certaines "longueurs"!!!

Tu as raison Malethane, ce premier tiers en Angleterre me semble long car pour le moment j'ai l'impression que les deux autres tiers se dérouleront en Italie ; mais comme je n'avais jamais lu ce roman aupravant, je peux très bien me tromper, le denrier tiers pourrait très bien se situer en Albion.