Que lisez-vous en ce moment ?

Juliette2a a écrit:

Zakath Nath a écrit:

En ce moment, je lis Blackwater de Michael McDowell, une histoire se situant en Alabama dans les années 20/30, avec une bonne dose de fantastique, saga familiale en six tomes qui est publié au rythme d'un livre tous les quinze jours, j'en suis au troisième et j'aime beaucoup.

Je l'ai croisée en librairie, la couverture est magnifique et a attiré mon attention !

Vous m'intriguez, j'ouvrirai l’œil lors de mon prochain passage en librairie.
Intéressée par un retour en fin de lecture Zakath Nath

Juliette2a a écrit:

Clinchamps, bonne lecture, j'espère que ce roman te plaira !

Bonne lecture clinchamps!

J'ai repris ma lecture des enquêtes d'Enola Holmes, avec le quatrième opus, L'énigme du message perdu et c'est comme une friandise Enola est toujours aussi inventive, amusante et indépendante

J'ai terminé Mister Pip de Lloyd Jones et j'avoue qu'après une telle claque, il est difficile d'envisager tout de suite une autre lecture. je vais donc poursuivre avec Edmonde, la biographie romancée d'Edmonde Charles-Roux, ce sera parfait pour "redescendre un peu"

serendipity a écrit:

J'ai terminé Mister Pip de Lloyd Jones et j'avoue qu'après une telle claque, il est difficile d'envisager tout de suite une autre lecture.

Bonne lecture de transition!

Pour les mêmes raisons que toi, je vais intercaler une lecture que j'espère plus "sereine" entre la claque d'Andrus Kivirähk et celle à venir de Lloyd Jones.

Je vais lire Le fil des kilomètres, de Christian Guay-Poliquin (tome précédant le premier livre que j'avais découvert de cet auteur).

Petit Faucon a écrit:

De mon côté, je suis revenue à Fantômas   avec Le mort qui tue (t3) ; j'adore ces titres kitsch 

Je suis justement en train de me regarder les muets et Le mort qui tue est le prochain que je dois voir J'adore

@ cleopatre : je crois que c'est le meilleur de Feuillade ! de mon côté j'ai commencé à regarder le 1er de Feuillade : A l'ombre de la guillotine


Pour en revenir aux lectures, j'ai commencé ce matin Récits de la Kolyma de Varlam Chalamov 
voici la présentation qu'en fait l'éditeur : 

Citation :

Les Récits de Varlam Chalamov, réunis pour la première fois en français, retracent l’expérience de Varlam Chalamov dans les camps du Goulag où se sont écoulées dix-sept années de sa vie, dans les années 30 à 50.
Fragments qui doivent se lire comme les chapitres d’une œuvre unique, un tableau de la Kolyma, ces récits dessinent une construction complexe, qui s’élabore à travers six recueils. Chaque texte s’ouvre sur une scène du camp. Il n’y a jamais de préambule, jamais d’explication. Le lecteur pénètre de plain-pied dans cet univers. Les premiers recueils, écrits peu après la libération, portent en eux toute la charge du vécu. À mesure que le narrateur s’éloigne de l’expérience, le travail de la mémoire se porte aussi sur la possibilité ou l’impossibilité de raconter le camp. Certains thèmes sont alors repris et transformés. La circulation des mêmes motifs entre différents récits, différentes périodes, constitue à elle seule un élément capital pour le décryptage de la réalité du camp ; on y retrouve la grande préoccupation de Chalamov : comment traduire dans la langue des hommes libres une expérience vécue dans une langue de détenu, de « crevard », composée de vingt vocables à peine ?
Les récits s’agencent selon une esthétique moderne, celle du fragment, tout en remontant aux sources archaïques du texte, au mythe primitif de la mort provisoire, du séjour au tombeau et de la renaissance. On y apprend que le texte est avant tout matière : il est corps, pain, sépulture. C’est un texte agissant. À l’inverse, la matière du camp, les objets, la nature, le corps des détenus, sont en eux-mêmes un texte, car le réel s’inscrit en eux. Le camp aura servi à l’écrivain de laboratoire pour capter la langue des choses.
Le camp, dit Chalamov, est une école négative de la vie. Aucun homme ne devrait voir ce qui s’y passe, ni même le savoir. Il s’agit en fait d’une connaissance essentielle, une connaissance de l’être, de l’état ultime de l’homme, mais acquise à un prix trop élevé.
C’est aussi un savoir que l’art, désormais, ne saurait éluder.

cléopatre a écrit:

Je suis justement en train de me regarder les muets et Le mort qui tue est le prochain que je dois voir J'adore

Oh, c'est bien que tu retournes du côté des films muets !

Je relis Procrastination, de Terry Pratchett, avant de me lancer d'ici la fin du mois de mai-début juin dans Mister Pip, de Lloyd Jones (deuxième escale du challenge Wentworth).

Avant de me lancer aussi dans la lecture du challenge, je lis Le Crime du Golf d'Agatha Christie.

En parallèle de ma relecture pratchettienne, j'ai commencé Anne de Windy Willows, de LM Montgomery.

Bonnes retrouvailles avec Anne, Vavyala

Pour ma part, j'ai entamé Edmonde, l'envolée, le deuxième tome du roman biographique consacré à Edmonde Charles-Roux, et en parallèle un court roman de l'irlandaise Claire Keegan, Foster

Ayant enfin réussi à mettre la main sur L'homme en rouge de Julian Barnes hier soir, je me suis jetée dessus, depuis le temps que je veux le lire! Pour le moment ça me plait bien, le style est vif, l'auteur passe d'anecdotes à d'autres anecdotes, et de personnes à d'autres personnes et ainsi de suite, puis il revient à son point de départ. Ca rend le style très vivant, limite conversationnel. Perso ça me convient bien, mais je pense que ça peut en déconcerter certaines.

Bonne lecture Cléo je fais partie de celles qui n'ont pas accroché, mais je reconnais que c'est brillant.

Après L'homme qui savait la langue des serpents, je fais une pose avant Mister Pip et je lis Vocation fatale de Anne Perry (une enquête de Monk)

@ cléopatre : bonne lecture, j'ai adoré ce livre . Dommage que tu n'aies pas accroché, Rosalind (je serais curieuse de savoir pourquoi, si tu as envie de donner un retour plus détaillé).

Je lis Mister Pip de Lloyd Jones, et l'aurai fini ce week-end.

Après 2 (DEUX ! ) mois passés dans Le Docteur Jivago (qui était pourtant très bien, mais j'ai manqué de temps et d'envie pour lire ), je vous rejoins enfin sur la lecture de L'Homme qui savait la langue des serpents. Vos avis m'ont donné hâte, même si je me prépare du coup à la "claque" dont plusieurs d'entre vous parlent.

@Tatiana
Les essais sont un genre littéraire avec lequel j'ai du mal, je préfère lire de la fiction. J'ai tenté celui-ci, dont vous disiez beaucoup de bien, mais j'ai flanché devant la surabondance de personnages et d'anecdotes, dans lesquelles je me suis un peu perdue. Je regrette car apparemment il s'agit d'une oeuvre riche et très documentée, pour moi ce n'était sans doute pas le bon moment.

@ Tsundoku bravo pour avoir tenu jusqu'au bout, c'est un pavé bonne lecture de L'homme qui savait la langue des serpents

Merci Rosalind ! Oui, 700 pages en police 10..  J'essaierai d'aller poster un petit retour sur le topic dédié, si j'ai le temps et si je trouve les mots !
Bonne lecture à toi d'Anne Perry. D'elle, je n'avais lu que des aventures de Charlotte Ellison et Thomas Pitt mais j'ai des livres avec Monk dans ma PAL.

Tsundoku a écrit:

je vous rejoins enfin sur la lecture de L'Homme qui savait la langue des serpents. Vos avis m'ont donné hâte, même si je me prépare du coup à la "claque" dont plusieurs d'entre vous parlent.

Bonne lecture, j'espère qu'il te plaira !

serendipity a écrit:

Bonnes retrouvailles avec Anne, Vavyala

Merci serendipity! C'est un type de lecture réconfortante, un roman-doudou.

Juliette2a a écrit:

Tsundoku a écrit:

je vous rejoins enfin sur la lecture de L'Homme qui savait la langue des serpents. Vos avis m'ont donné hâte, même si je me prépare du coup à la "claque" dont plusieurs d'entre vous parlent.

Bonne lecture, j'espère qu'il te plaira !

Bonne lecture! Hâte de lire ton avis.

Ma prochaine lecture sera J'ai toujours ton cœur avec moi, de Soffía Bjarnadóttir.

Citation :

Phénix excentrique tant de fois ressurgi de ses cendres, Siggý n'est plus. Elle qui n'a jamais été là pour personne a légué à sa fille Hildur son mal étrange et une petite maison jaune sur l'île de Flatey.
Une lettre de sa mère pour seul viatique, Hildur s'embarque vers ce point minuscule perdu dans l'océan. Avec pour ange tutélaire l'homme aux yeux vairons. Et une foule de souvenirs sans pareils - les extravagances de Siggý et de son voisin Kafka, les mantras de grand-mère Láretta contre les idées noires, l'appel des phoques sacrés ou les fantômes de la rue Klapparstígur... Qui tous portent la promesse d'une singulière renaissance.
Comme une consolation venue d'ailleurs, J'ai toujours ton cœur avec moi est la belle chronique de ces jours sans boussole - mélancolique, insolite et décalée.

Je lis les enfants de Venise de Luca di Fulvio. Je le lis car ça se déroule à Venise en 1515-1516, ça se laisse lire mais je ne suis pas plus emballée que ça

Vavyala, bonne lecture ! Ce roman m'est inconnu !

De mon côté, je suis en train de lire Ce que murmure le vent, d'Amy Harmon

J'ai commencé L'infini des possibles, de Lori Nelson Spielman

Paulina Fontana, vieille dame pleine de fantaisie et de créativité en rupture de ban avec sa famille américaine, invite ses petites-nièces, Emilia et Lucy, à visiter son pays natal, l'Italie. Elle leur fait une déclaration fracassante : le jour de son quatre-vingtième anniversaire, elle rencontrera l'amour de sa vie et mettra fin une fois pour toutes à la « malédiction de la deuxième fille de la famille Fontana ». Cette « malédiction » n'est probablement rien d'autre qu'une coïncidence, un vieux mythe. Pourtant, personne ne peut nier que pendant des siècles, pas une seule deuxième née de la famille Fontana n'a trouvé l'amour. Que se passerait-il si ce supposé sort était brisé ? Emilia, qui, à 29 ans, semble accepter cette malédiction, trouverait-elle à son tour le grand amour ? Au coeur de la campagne Toscane, Paulina va finalement révéler des secrets de famille autrement plus troublants qu'une malédiction vieille de plusieurs siècles...

[quote="Vavyala"]Ma prochaine lecture sera J'ai toujours ton cœur avec moi, de Soffía Bjarnadóttir.

Je suis toujours intéressée par les romans islandais, mais celui-ci semble bien sombre. J'attends ton avis !

Après une visite à Uzès, je lis La libraire de la place aux herbes de Éric de Kermel. Une lecture légère avant de commencer Mister Pip

Petit Faucon a écrit:

@ cleopatre : je crois que c'est le meilleur de Feuillade ! de mon côté j'ai commencé à regarder le 1er de Feuillade : A l'ombre de la guillotine

Je viens de le regarder (je parle de Le mort qui tue) et pour le moment j'ai trouvé que c'était le moins bien Il dure 20 min de plus que les autres mais ces 20 min ne servent qu'à rendre les différentes intrigues trop longues et trop lentes.
Désolée pour le HS cinéma muet

Pour en revenir à la lecture, je fais une pause dans L'homme en rouge, rebutée par la surabondance de détails et l'écriture trop "fouillis" (encore une fois, il passe d'un détail à un autre puis à un autre, pour revenir 5 pages après à ce qu'il disait. C'est fatigant. Et pourtant j'ai l'esprit plutôt bordélique   Par exemple il passe d'un personnage de roman à son auteur, à la personne qui a inspiré l'auteur, puis à un auteur que l'auteur a inspiré, pour revenir au pote de l'inspiration, pour ensuite raconter une anecdote sur sa maitresse, puis l'amant de sa maitresse, le tout en 5 pages, et toi tu te dis ayez pitié   )